Jusqu'au milieu du XXe siècle, les tanukis, emprunts d'habitudes frivoles, partageaient aisément leur espace vital avec les paysans. Leur existence était douce et paisible.Mais le gouvernement amorce la construction de la ville nouvelle de Tama. On commence à détruire fermes et forêts. Leur habitat devenu trop étroit, les tanukis jadis prospères et pacifistes se font la guerre, l'enjeu étant de conserver son bout de territoire. Efforts dérisoires car la forêt continue de disparaître...Les humains, avec qui ils ont appris à cohabiter, font preuve d'un expansionnisme inexpliqué. Les chefs de clans coordonnent la riposte. Un plan est établi sur cinq ans : le temps pour les animaux d'étudier les humains et de réveiller leur pouvoir de transformation. Il va falloir tenter d'effrayer les humains en évoquant peurs et superstitions. Les solutions les plus farfelues sont expérimentées...
Rôle principal
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Merci à Franz26 qui a créé cette fiche
Sympa, mais parfois un peu brouillon. C'est pas mon préféré de Myazaki, ça c'est sûr.
J'ADORE ce film. Vu et revu, et rerevu.
Assez drôle, mais pas mon préféré du studio, loin de là.
Sans aucun doute mon préféré, c'est vrai que le scénario est brouillon, mais il est aussi intelligent, malin... est génial.
Je me suis ennuyée durant tout le film, tellement que j'ai fini par faire autre chose et laisser le film en fond sonore... Certainement pas mon préféré !
Aux vues de certaines critiques, j'avais un peu peur de voir ce film. Et puis, au premier abord, une histoire de raton-laveurs, ça m'inspirait moyennement... Quoi ? Ce sont des tanukis ? Désolée, il ressemblaient quand même un peu à des ratons-laveurs, au premier abord !
Alors, que dire de Pompoko, un Ghibli qui ne m'attirait pas franchement ? J'ai encore une fois été très agréablement surprise. Les graphismes sont, comme souvent, impeccables. Le scénario est bien mené, avec une juste dose de magie. Les tanukis sont des créatures simples et attachantes dont on se plait à suivre le quotidien et la lutte. Au passage, je n'ai pas trouvé le scénario aussi brouillon que ça : il retrace juste la lutte, les vaines tentatives de la communauté des tanukis à préserver son cadre de vie pour finalement être réduite à cohabiter avec les hommes. Le cheminement suit le fil des saisons et la narration reste fluide. Aucun faux pas scénaristique, selon moi. Un dessin-animé qui se fait le porte-parole de la Nature et s'encre assez clairement dans une optique de défense de l'environnement. Cela dit, la fin reste ouverte, de par les voies diverses que choisissent les différents tanukis, et le spectateur lui-même est invité à se demander quelle conception de la vie et quel cadre de vie seraient les plus appréciables. Pompoko est un dessin-animé qui s'adresse à un très large public : les tanukis tous mignons seront sans doute très appréciés des enfants mais les réflexions qu'ils soulèvent parleront même aux plus adultes d'entre nous. Un film à apprécier et à méditer. J'ai passé un très bon moment, et maintenant j'ai envie de lui mettre une bonne note.
Un animé étrange, oscillant entre mignon et vulgaire. Les tanukis sont effectivement de petits êtres bien curieux pour lesquels on se prend rapidement d'affection. Leur point de vu est si bien détaillé et travaillé que l'on se place immédiatement de leur côté et l'on en vient à détester les humains pour les actions de défrichement et d'aménagement qu'ils mènent.
Pour autant, le film est par moment cruel, ne s'encombrant pas de traiter avec douceur son spectateur. Les périodes amoureuses laissent planer le doux mystère de la vie, les paroles sont parfois crues ("roubignoles", par-exemple) et les morts violentes ne peuvent que marquer de jeunes (et de moins jeunes) esprits.
Finalement, les tanukis représentent tous ces peuples victimes de l'envahisseur humain, défendant bec et ongle leur territoire, armés de leur courage et de leur ténacité et prêts à tout pour s'imposer face à l'Homme, parfois à un prix sanglant pas toujours réfléchi.
Aveuglés par la haine, les tanukis révèlent alors une personnalité étonnante et l'on pourra se plaindre de leur esprit lunatique. Pour autant, lorsqu'ils sont joyeux, les tanukis se révèlent être de parfaites petites créatures, charmantes, pleines de vie et de bonne humeur. Le fait qu'ils puissent se changer à volonté ajouter une touche de charme au film et l'on se captive pour leur entraînement à la transformation. Néanmoins, avec une durée de presque 2h00, ce film comporte des longueurs.
"Pompoko" se révèle être un hymne à la nature, une invitation à un retour à la pureté et aux sources de la vie, un chemin vers un havre de paix.
Magnifique, très bien scenarisé contrairement à ce que j'ai pu lire plus haut, crû et cruel comme la vie. Pour une fois, on ne prend pas les amateurs de de films d'animation pour des décérébrés. Un bel hymne à la vie et à l'écologie entre rires et larmes.
Le message écolo est universel, mais le reste est tellement ancré dans la culture japonaise que ça semble juste être du nawak en puissance. C'est dépaysant au moins.
C'était sympa, mais il y avait des graphismes bof pour moi et des constructions bizarres dans l'histoire.
Le tapis rouge en peau de roubignoles! ^-^