Rôle principal
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Rôle secondaire
Rôle secondaire
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Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
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Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
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Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
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Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Merci à Key qui a créé cette fiche
Les images et la musique sont magnifiques mais l'histoire ne m'a pas emporté voire même ennuyé, sûrement par manque d'enjeux.
Le film m'a complètement laissé en dehors, pour la 1er fois pour un film Ghibli :(
J'ai pas compris le caractère de Mahito, comme ceux de la plupart des personnages, je trouve le récit vraiment trop bordélique, on passe de scène en scène qui n'ont quasiment aucun suivi entre elles...
Bref, le film m'a très vite perdu, et sorti du cinéma un fort sentiment de déception est arrivé.
Ceci dit, le film a quand même de très beaux visuels, ça on ne pourra pas lui enlever.
Meh / 20 au final :/
Il a des réalisateurs qui sont entrés dans la légende. Au point où quand ils créent un nouveau film, on parle du "Nouveau Untel" comme si c'était le gage de qualité ultime. Remarque... Quand on parle du nouveau "Paul W.S. Anderson" ça peut aussi sonner comme un avertissement...
Bref, le nouveau Miyazaki fait forcément partie de ces moments du 7è art. D'autant que ce 12è long-métrage, fruit d'une gestation de 7 ans, est tombé sans prévenir dans le paysage cinématographique. Autant dire que dès son annonce et sa sortie imminente dans les à peine deux mois suivants, il y avait de quoi chauffer les attentes. Joli coup marketing, ça évite le tabassage promotionnel abrutissant façon gros studios au moins.
Enfin bon on est là pour parler du Garçon et du Héron ou quoi ?
C'est pas facile d'en parler. Vous voyez ce que ça fait quand vous essayez de raconter vos rêves ? Et ben là c'est pareil. Et je suis persuadé que c'était l'effet escompté. Attention si vous n'avez pas encore vu ce film, ça spoile à partir de là.
"De toute façon, tu finiras par tout oublier" et "Tous ceux qui cherchent à comprendre périront".
Ces deux phrases ne sont pas balancées gratuitement. Pour moi, l'histoire de Mahito est un rêve, ou un cauchemar... Dans tous les cas, ça se passe dans sa tête alors qu'il dort. Le film démarre d'ailleurs par l'éveil du héros, mais, s'éveille-t-il vraiment en fait ?
C'est la seule raison logique à toutes les incohérences qui rendent le récit totalement décousu. On passe plus d'une fois d'une scène à une autre sans transition, sans explication et c'est assez déconcertant. Mais chaque scène prise à part, juste dans son tout unique sans contexte, pourrait être une petite histoire à elle seule.
C'est là que le tout est indigeste car on s'attend à être pris par la main et à recevoir une leçon de vie, une morale et une tape sur les fesses avant de rentrer à la maison. Et bien non. La narration nous prend à rebours, pas de voyage initiatique, pas de codes narratifs auxquels nous sommes habitués. Tout est emmêlé. Comme dans un rêve.
J'ajoute une autre pièce sur ma théorie et j'en profite pour enchaîner sur l'aspect visuel du film, merveilleusement abouti et d'une beauté infinie. C'est le premier Miyazaki qui propose des plans presque psychédéliques, et aussi éthérés. Même "Le Voyage de Chihiro" n'allait pas jusque là. Et ces plans là, où le sol se dérobe sous les pieds des protagonistes font penser à ces rêves récurrents chez certaines personnes.
Techniquement et visuellement c'est une prouesse artistique incontestable, que j'ai trouvée habilement mise en valeur par la musique de Joe Hisaishi.
Je pense que c'est un film qui gagne à être revu, mais à froid, pas à chaud. Et il est possible qu'à chaque visionnage, une autre interprétation émerge. Peut-être que dans quelques années, je reviendrai ici pour incendier "Le Garçon et le Héron" ? Ou pas...
Allez, il est temps de se lever !
Déjà, la direction artistique est magnifique, les images sont sublimes et voir ça sur grand écran ça laisse bouche bée.
Pour ce qui est de l'histoire, elle peut déstabiliser un peu car c'est très métaphorique, rempli de symboles, de références, y compris à la vie de Miyazaki lui-même. Je suis allée lire les explications après ma séance et même si j'avais déjà beaucoup aimé, je me suis rendue compte grâce à ça de toute la profondeur de l'histoire.
Mais que l'on comprenne ou non tous les enjeux du film, il n'empêche que c'est à mes yeux un très beau film à la hauteur du studio, qui traite de thématiques variées avec une grande sensibilité et une vraie poésie.
Je n'aurais qu'une petite déception qui serait le traitement du personnage du Héron qui, bien qu'étant très prometteur à premier vue et très intéressant sur le papier, était un petit peu trop loufoque finalement en plus de ne pas prendre autant de place que je ne l'aurais cru avec le titre.
Dans l'ensemble je comprends que ce film ne fasse pas l'unanimité car il ne s'agit pas d'une histoire totalement linéaire, mais j'ai vraiment passé un très bon moment aux côtés d'un héros par ailleurs très touchant grâce aux thématiques traitées à travers lui.
Ah par contre juste un petit truc : je pense qu'il vaut mieux le voir en vo parce que la vf n'était pas très bonne.
Eh bien... je suis très déçue. Sûrement pour moi le pire miyasaki. C'était très beau au début et après ça parti en sucette.
Un très beau film qui aborde [spoiler] le deuil [/spoiler]d'une manière singulière et bien évidement magnifique à l'instar des autres films de Miyazaki.
J'ai malheureusement été trop souvent sortie du film par des éléments de l'histoire qui à mon sens méritaient plus d'explications, notamment sur tout ce qui est "magique", les histoires dans l'histoire, je suis sortie de la salle avec mille interrogations :
[spoiler]
- Pourquoi Natsuko va dans la tour pour accoucher
- Pourquoi ce sont les perruches qui s'en occupe (accessoirement pourquoi mangent t'elles les humains ?)
- Qui est vraiment le grand oncle, pourquoi est-ce lui qui s'occupe du monde où les esprits des nouveaux né naissent
-Pourquoi des cubes qui a décidé de ce système et maintenant que ce monde n'existe plus car Mahito n'a pas reprit le relais/ le roi perruche à tout cassé, l'humanité va disparaître ?!
- La tour vient de l'espace et existe dans différents monde, d'accord mais pourquoi ?
- Quelle est le rôle de Kiriko dans ce monde exactement et les statuettes des vieilles ?
- Hisako/Himi pareil pourquoiiiiiii d'où lui vient le pouvoir du feu, parce qu'elle meure dedans plus tard ?
(Trop de pourquoi désolé)
[/spoiler]
ça fait plus d'une semaine que je l'ai vu et ce que je retient le plus c'est ces questions si quelqu'un à une piste je suis vraiment intéressé, peut-être que comme suggéré par d'autre il faudrait le revoir pour en avoir une autre lecture ou lire les livres qui ont inspiré le film.
Comme d'habitude avec Miyazaki, ce film était très beau -aussi bien visuellement que dans les messages- bien qu'un peu trop compliqué à mon goût...
Le film est pas compliqué, c'est a mes yeux juste un délire d'un réalisateur qui a voulu faire l'intéressant en faisant partie le récit dans tous les sens parce que "Ça laisse libre l'interprétation :)))))"
Bah oui mais non. Vous êtes justes feignants ou hautains, les fins ouvertes c'est très cool hein, mais quand le film est ENTIÈREMENT sujet à interprétation alors c'est de l'art contemporain pompeux et pour moi c'est non.
Et surtout la fin avec la pierre et le vieux sage qui met des formes géométriques pour régler son monde la... Mais c'est interdit de faire ça seigneur c'était ridicule
Plus énigmatique, voire peut-être hermétique, que les précédents opus de Miyazaki, le Garçon et le Héron est d'abord une splendeur visuelle, confirmant si c'était encore nécessaire que son réalisateur reste le plus grand maître de l'animation. Bien que le mutisme de Mahito puisse déconcerter, le film n'en est pas moins puissant psychologiquement, notamment du fait de la résonance particulière avec l'histoire personnelle de son auteur. Malgré quelques séquences très poétiques, on ressent tout de même moins d'empathie pour les personnages, à commencer par le garçon, la volonté d'être très peu démonstratif dans les sentiments créant une distance avec le spectateur difficilement surmontable.
Très énigmatique, tout doit avoir un double sens voir un sens caché ou tout simplement inexplicable.
J'ai trouvé le film très beau et poétique !
Beau, poétique et pourtant je le mettrais clairement pas dans mon top 5 des films de Miyazaki. Je pense que c'est une belle métaphore [spoiler] du deuil [/spoiler] et ca reste très énigmatique sur beaucoup de choses et pareil que Vinkel, je me pose plein de questions qui resteront sans doute sans réponse.