James Bond n'est plus en service et profite d'une vie tranquille en Jamaïque. Mais son répit est de courte durée car l'agent de la CIA Felix Leiter fait son retour pour lui demander son aide. Sa mission, qui est de secourir un scientifique kidnappé, va se révéler plus traître que prévu, et mener 007 sur la piste d'un méchant possédant une nouvelle technologie particulièrement dangereuse. (Source: Allociné.com)
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Apparition
Merci à Bon Scott qui a créé cette fiche
Pas du niveau de Casino Royale ou Skyfall, mais une conclusion fort convenable à l'ère Daniel Craig. Il me manquera, c'était mon petit préféré. Mention spéciale à la séquence cubaine avec Ana De Armas très convaincante.
Une fin à laquelle je m’y attendais pas. Mais exécutée de manière excellente. Dommage quand même, c’est la fin d’un James Bond iconique qui m’a bercer de mon enfance à ma vie adulte. J’aurais bien voulue une fin plus heureuse.
Un très bon film qui clôture le James Bond de Daniel Craig, ce n’est pas le meilleur de la saga mais c’est une belle fin pour Daniel et son James. Je tiens à souligner le jeu d’acteur qui est remarquable, et qui nous fait entrer dans le film
Un magnifique point final sur le James Bond de Craig, pour ma part je m’attendais à cette fin mais je n’en suis pas déçu et je ne voulais pas que cela ne se termine autrement. Si le film met du temps à démarrer, nous sommes vite conquis par la trame, l’action et bien que dans ce genre de film je trouve cela inutile mais la relation James/Madeleine est si parfaite dans ce film. Peut-être le méchant moins crédible que tous les autres. Des plans magnifiques, une musique toujours aussi classe et ici signée Billie Eilish juste magnifique. Je ne sais pas lequel je préfère mais celui-ci va vraiment me marquer.
De beaux clins d'oeil à la saga, tant par l'humour que par les plans (belle référence au générique dans le dernier quart d'heure), mais Rami Malek peine à convaincre en grand méchant ...
Pas non plus fan de Léa Seydoux
La fin est critiquable, mais elle a le mérite d'innover !
Mitigée
Comme le relèvent les commentaires précédents, No Time to Die n'atteint pas la virtuosité de Casino Royale ou Skyfall mais constitue tout de même une belle conclusion pour l'ère Daniel Craig.
C'est un magnifique chant du cygne pour l'acteur qui aura incarné 007 pendant 15 années.
Ce n'est pas mon film préféré de la saga (j'ai une préférence pour les deux premiers). Mais il y a quand même des choses intéressantes, que ce soit la fin de Bond, le fait de revoir Félix, les personnages de Nomi et Paloma (j'aurais TELLEMENT aimé voir Ana de Armas davantage !! C'était sympa de la retrouver avec Craig après À couteaux tirés).
Par contre, je ne suis toujours pas fan de Léa Seydoux, et les motivation du personnage de Rami Malek auraient mérités d'être développé davantage.
Bye bye Daniel Craig, ton James Bond me manquera !
Mouais, sympa mais frustrant notamment niveau caractérisation du bad Guy clairement sous exploité. Pas fan de l'évolution de James Bond et de la fin.
Quelle fin minable... x)
C'est dur d'attribuer une note à ce film, parce que techniquement les images, la réalisation, la musique, les effets spéciaux, les cascades... Tout est superbe. C'est un peu comme pour Dune, on peut aimer ou ne pas aimer le traitement de l'histoire, mais on ne peut pas retirer le côté extraordinairement propre et esthétique du film et la claque visuelle qu'on se prend. (La 3D était réussie en plus, pour une fois !)
Reste que le scénario aurait mérité d'être moins cliché que ça, parce que franchement, ça ne volait pas très haut. Bon film, mauvais scénar...
Et tous les acteurs sont bons, sauf Seydoux qui s'est un peu plantée sur ce film.
Voulant à la fois contenter les aficionados du diptyque Skyfall/Spectre - centrés sur la volonté de traiter Bond comme un mort parmi les vivants - et les fans du côté action quasi inhérent à la saga, Mourir peut attendre devient un film curieux et glouton. Parce que 2h45, c'est quand même très, très long, pour un film jonché de scènes d'actions, et qui ne brille peut être dans aucun des 2 domaines, mais qui ne les rate pas particulièrement non plus.
Disons le tout de suite, Mourir peut attendre est la suite logique de la volonté de faire de James Bond, une figure du héros tourmenté. Dans celui ci, et encore une fois, Bond coule des jours "heureux". Mais Bond est seul, n'a plus son boulot, les gens l'ont oublié, et il n'a même plus le mérite qui lui est dû, et cerise sur le gâteau, est toujours aussi traumatisé par Vesper. Bonne nouvelle, quelqu'un se souvient de lui et l'estime à nouveau, le début de la reconquête de Bond passe donc par les Américains qui continuent de voir en lui, la figure qu'il représente pour tout le monde (spectateurs, j'entends) exceptés les personnages du film.
La scène de Cuba qui suit implique 2 choses dans la personnalité de Bond, la première est qu'il reste le meilleur dans ce qu'il fait. La deuxième est qu'il ne se lâche pas à corps perdu dans les bras de la jeune demoiselle dont on lui fait croiser le chemin. Et ça, forcément, ça en dit long, et ca enclenche ce qui va suivre. Passons sur la séquence a Cuba d'un pur de point de vue action/mise en scène, à mon sens la meilleure de tout le film, avec une Ana de Armas qui irradie le film durant ses trop peu nombreuses apparitions.
Passé Cuba, Mourir peut attendre va traiter James Bond comme ce personnage cherchant à tout reconquérir. Nous commençons avec un homme seul à la retraite, dépossédé de tout, même de son légendaire matricule, 007. Ça commence par l'utilisation de la fameuse réplique "Bond, James Bond" utilisé pour se présenter à un guichet, comme un citoyen quelconque, puis par une série "d'humiliations" professionnelles, et personnelles. La suite du film traitera alors de la rédemption personnelle de Bond, avec Madeleine Swann, et professionnelle, avec un Bond qui en apprenant à se faire aider, réussit à gagner le respect de ses pairs. La présence de 007-2 d'ailleurs est plutôt limite, elle n'existe que pour être la serpillère de Bond, qui finira par récupérer tout ce qui lui est dû.
De la même manière, Safin, le méchant représente -comme Silva dans Skyfall et Blofeld dans Spectre- le miroir négatif de James Bond, ce qu'il aurait pu être, s'il avait décidé de sacrifier son humanité. Malheureusement, contrairement à Silva par exemple, ses motivations peinent à exister durant tout le film, malgré un début très prometteur. Pour paradoxalement être le méchant des 25 James Bond à avoir fait le plus de dégâts.
Mourir peut attendre, c'est donc la conclusion, imparfaite, traitant particulièrement de la légende James Bond, expurgé de tous ses démons (présents depuis Casino Royale, voire avant), il devient l'espion parfait, celui conjuguant physique hors du commun, mental, vie personnelle et respect de ses pairs. Et si la fin, surprenante, fera couler de l'encre, la dernière réplique, encore une fois le mythique "Bond, James Bond" est un formidable écho aux anciens James Bond, qui ne se souciaient pas d'apporter une justification particulière à ce côté "espion parfait" de James Bond en faisant de lui une légende pré-existente.
Dommage cependant, d'avoir un film à la mise en scène légèrement balourde durant les scènes d'action, malgré quelques bonnes idées (je pense à la séquence avec l'Aston Martin dans l'introduction). Dommage également que l'histoire à proprement parler ne repose que sur une séries de coïncidences un peu énormes, par exemple, littéralement tout le film n'existe que parce que le plan de Blofeld est complètement claqué au sol (digne héritier de Spectre). Le film n'a ni l'élégance de Skyfall/Spectre, ni la puissance d'un Casino Royale. Mais il a le mérite de tenter quelque chose, et reste globalement un bon moment, bien qu'un peu long.
(Comme ce texte, finalement)
Super fin pour conclure l'ère Daniel Craig même si mon côté midinette aurait aimé le voir finir heureux mais bon, on peut pas tout avoir ! J'ai d'ailleurs préféré celui là a Spectre, mais par contre désolée mais Léa Seydoux, je n'arrive pas ! Je la trouve toujours a côté de la plaque par rapport au reste du casting
Si ce dernier opus en date de la saga n'est pas exempt de quelques imperfections, on ne peut qu'être époustouflé par l'ambition de son scénario et la qualité de sa réalisation. D'abord parce qu'il clôt parfaitement l'arc Daniel Craig, qui restera le plus cohérent de toute la série. Ensuite, parce qu'il introduit de nombreux rebondissements et disruptions tout en maintenant de bout en bout un récit fluide et crédible (et pourtant les inconditionnels de James Bond ne sont pas au bout de leurs émotions !), ceci étant largement lié à l'équilibre quasi miraculeux trouvé entre courses poursuites, scènes de combat et passages davantage tournés vers l'introspection et les relations entre les personnages, sans jamais verser dans l'outrance ni le pathos. La séquence pré générique, exceptionnellement longue, toute en contraste, en est la parfaite illustration et une des mieux réussies. Elle souligne avec brio l'esthétique soignée qui caractérise le film, comme la séquence dans la forêt finlandaise entre autres. Le scénario deroule quelques idées géniales : la compétition entre MI6 et CIA au début du film sur fond de remplacement de 007, la vendetta de Safin contre le SPECTRE, l'élimination de Blofeld tout aussi spectaculaire qu'elle est le produit du hasard (il y a d'ailleurs un rapport quasi métaphysique à la fatalité pendant tout le film), la mort de Félix Leiter, les circonstances personnelles de Bond... Mourir peut attendre brille aussi par ses Bond girls: Nomi en nouvelle 007, la pétillante Paloma incarnée par l'excellente Ana de Armas et bien sûr Madeleine Swann, où Léa Seydoux prend de l'épaisseur par rapport à son rôle dans Spectre. L'humour est très présent, moins par les dialogues que par une utilisation pertinente de l'autodérision suscitée par les situations, le meilleur exemple étant cette scène lunaire où Bond est obligé de décliner son identité à l'accueil du MI6. A cet égard, contrairement à certaines réactions outrées qu'on a pu lire ici et là sur le remplacement de Bond, son interaction avec la nouvelle 007 est intelligemment mise en scène et apporte une véritable profondeur. Côté fan service, c'est un vrai festival, le film étant truffé de références non seulement aux autres films avec Daniel Craig mais aussi à des épisodes plus anciens. Évidemment à Au service secret de Sa Majesté, référence qui s'avère être lourde de signification (ressortir "we have all the time in the world" en générique de fin, mais aussi discrètement pendant la séquence initiale, est une vraie trouvaille). La base sur l'île de Safin s'inscrit dans la grande tradition des décors de Ken Adam et fait furieusement penser à l'antre du Dr No (auquel le générique de début fait d'ailleurs un clin d'oeil) ou au sous-marin de Stromberg dans l'espion qui m'aimait. Toute la panoplie des Aston Martins est de sortie, depuis la légendaire DB5 jusqu'aux modèles les plus modernes, tout comme la fameuse montre magique, jusqu'à la galerie de portraits des anciens "M". Seul petit bémol, sur le personnage du méchant. Non que Rami Malek ne soit pas à son aise dans le rôle de Safin, mais ses motivations dans la 2nde moitié du film auraient mérité un approfondissement (la 1ere moitié étant à l'inverse implacablement limpide), tout comme les raisons de la puissance de Safin. A mon sens, sans doute le meilleur Bond de Daniel Craig, peut-être le meilleur Bond tout court. En tout état de cause un formidable épilogue de "l'ère" Craig.
La nouvelle 007 est juste là car on parle d'un 007 féminin depuis quelque temps mais malheureusement elle ne fait que de la figuration.
J'aime beaucoup r. Malek mais pour le coup bof, son perso n'est pas assez travailler.
Dans le sillage des autres 007 rien de plus !
Voilà un Bond qui me réconcilie (un peu) avec une saga que j'ai toujours trouvé... et bien trop "Bondienne" justement. Dans les vieux films de la franchise, on pouvait expliquer l'humour et les situations loufoques par la naïveté de l'époque, puis vint l'ère Brosnan qui cherchait au début à s'émanciper de l'image du "dinosaure misogyne" avant de s'éclater misérablement dans une purée de merde dans sa conclusion. Avec le nouveau Bond de Craig, la saga voulait s'ancrer dans un renouveau plus mature, plus sombre et plus réaliste mais c'était, à mon sens à la fois sa plus grande force et sa plus grande faiblesse car on pouvait alors lui reprocher ses moindres écueils, plus excusables.
"No Time to Die" est là pour remettre les pendules à l'heure, mais disons le d'emblée, il y a encore quelques minutes de retard dans toute cette horlogerie.
Tout d'abord, les bons points. Dans "Skyfall" je reprochais notamment au MI6 de brancher sur leur réseau informatique, un PC en provenance de l'ennemi. Ici, on arrête de jouer les débiles, et Q dispose d'une sandbox pour tester la clé USB que lui refile Bond. C'est pas grand chose mais c'est le genre de détail technique que j'apprécie.
Bond est plus que jamais dépeint comme un être (sur)humain, avec des sentiments, et une carapace qui s'effrite. De mémoire, mais je peux me tromper, c'est la première fois qu'il se prend non pas une mais deux balles (dont une en plein poumon). Il va même mettre sa libido et côté, et demander à une femme de se retourner pendant qu'il se change.
Côté image, c'est beau. C'est esthétique et léché, mais on est quand même loin d'une démarche artistique originale. En même temps ce n'est pas ce que l'on recherche dans un Bond me direz-vous. Les scènes d'action sont efficaces et violentes, ça claque et ça pète dans tous les sens, c'est très bien fait. Je pense surtout à toute la séquence de Cuba, absolument magnifique.
Côté musique, on reconnaît la patte de Hans Zimmer tout de suite, avec des sonorités issues de "Inception", mais aussi de "Pirates of the Caribbean 3". Le résultat est plutôt bon, mais relativement discret, probablement pour ne pas faire d'ombre au thème phare de la licence.
Malgré tout, le scénario est un peu idiot. Par exemple, Bond demande au début du film à Madeleine comment Spectre l'a retrouvé... alors qu'il descend dans un hôtel sous son propre "nom". Madeleine dont on découvre les origines dans une scène pré-introduction, qui nous présente le méchant du film, masqué... pour quelle raison ? Certes il est défiguré mais on sait tous qu'il s'agit de Rami Malek. A la limite, laisser son visage hors champ pourquoi pas, mais lui mettre un masque ? Et d'ailleurs, ce "méchant de James Bond" va se révéler aussi fade que la longue liste de grands tarés des films précédents, suivant un schéma connu et établi, dont Bond se moquera par ailleurs dans le présent film.
Je passe rapidement sur les incohérences, dont la plus grossière est certainement le laboratoire virologique situé dans les plus hauts étages d'un gratte-ciel en plein milieu de Londres... Même le laboratoire P4 de Wuhan est souterrain !
C'est donc la fin d'une ère, et comment mieux enfoncer le clou et enfermer à jamais l'image que l'on connaît tous et toutes de 007, qu'en lui vouant le destin qui l'attend à la fin de cet épisode ?
Mais "James Bond va revenir" c'est promis par la fin du générique. Sous quelle forme ? Quelles mutations vont personnifier la prochaine génération de l'agent le moins secret du monde ?
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PS @Snakier, j'ai adoré lire ton texte !
Je rejoins les commentaires pour dire que ça n'est pas le meilleur de la saga, loin de là. Il fallait bien une fin pour DC mais celle ci me laisse perplexe. Ca reste un bon divertissement mais sur les 5 avec DC, ce dernier opus est dispensable
Je pense que c'est la seule fois où je note un james bond aussi bas...
Pas que j'ai détesté, mais je me suis ennuyée... Et l'histoire ne m'a pas plu.
Un film clairement en dessous des précédents.
Film plus personnel que les autres volets avec Daniel Craig, j’ai beaucoup aimé le fait que le personnage de James Bond soit plus exposé aux événements de la vie et aux sentiments qu’il peut éprouver.
Je conseille ce film.
Plutôt un bon film. Malgré la séquence d'intro assez conne.
Et Léa Seydoux qui joue aussi bien qu'une fille de 5 ans....
(hormis des fulgurances dans la dernière partie du film)