Accusé à tort d'avoir volé le Livre de la Paix, l'audacieux et légendaire Sinbad est chargé de retrouver et de restituer le précieux ouvrage, faute de quoi son meilleur ami, Proteus, mourra. L'aventurier refuse cette chance et opte pour une croisière et un plan bronzette aux îles Fidji. Pas si vite ! Car la belle fiancée de Proteus, Marina, s'est glissée à bord du bateau de Sinbad pour veiller à ce qu'il remplisse sa mission, et le premier bad boy de l'histoire va se trouver confronté à un incroyable déluge de dangers. Eris, déesse du chaos, s'acharne en effet contre lui, envoyant à sa rencontre un essaim de monstres et déclenchant à tout moment d'épouvantables tempêtes. Et tout cela n'est encore rien à côté des défis que lance à notre héros la frêle mais redoutable Marina...
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Apparition
Merci à vaan38 qui a créé cette fiche
Un dessin animé correct mais qui ne restera pas dans les annales de l'Ordre XD. Esthétiquement, le constat est mitigé : de beaux décors, un design honnête, mais une faute de goût incroyable avec certains monstres en images de synthèse ! Bref, si l'aventure se suit avec plaisir, la voix complètement inadaptée de Monica Bellucci finit de laisser un goût amer. Sans plus.
C'est vrai que pour les images de synthèse, c'est assez bizarre ! Mais j'ai quand même trouvé le scénario assez original, avec certains rebondissements que je n'attendais pas.
Visuellement et narrativement très poussif, « Sinbad : La légende des sept mers » est probablement le plus décevant des films de l’écurie Dreamworks. Alors marqué par la réussite surprise de son héros « Shrek », le studio ne prend que trois ans pour sortir un second volet dédié à l’ogre vert, et ces deux films transition (« Sinbad » et « Spirit ») subissent les foudres d’une complaisance mal gérée. Si tout n’est pas forcément à jeter, le film d’animation de Patrick Gilmore et Tim Johnson n’est jamais surprenant, ni même palpitant. Son personnage principal est aussi agaçant qu’inégal dans ses intentions et les images de synthèses ne sont pas pour le mettre en avant ! Il en va de même pour des seconds rôles pas forcément utiles à l’avancée de la narration, alors que les honneurs étaient clairement louables. Si l’erreur est humaine, un second visionnement n’est pas utile, et l’impression d’inachevé ne sera que paradoxale.
Ça faisait longtemps que je l'avais pas revu celui-ci !
J'ai beaucoup aimé le début qui est assez intéressant mais plus ça avance, plus le récit s'étiole.
Un bon moment mais pas forcément mémorable.
J'ai passé un agréable moment avec ce petit film d'animation, un peu vieillot visuellement et avec sa romance forcée, néanmoins certaines scènes sont belles (la chanson des sirènes), de chouettes trouvailles scénaristiques, une méchante charismatique et une héroïne badass. Pas le meilleur de chez Dreamworks, c'est sûr, mais j'ai bien aimé.