Quelques heures après les terribles événements qui ont ravagé le vieil immeuble de Barcelone. Passé le chaos initial, l’armée décide d’intervenir et envoie un groupe d’élite dans l’immeuble pour poser des détonateurs et mettre un terme à ce cauchemar. Mais quelques instants avant l’explosion, les soldats découvrent une ultime survivante : Angéla Vidal… Elle est amenée dans un quartier de haute-sécurité pour être mise en quarantaine et isolée du monde afin de subir une batterie de tests médicaux. Un endroit parfait pour la renaissance du Mal… L'Apocalypse peut commencer !
(Source : Allociné)
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Non renseigné
Là où Rec 3 savait être original avec son parti pris second degré, Rec 4 se plante à 200%, d'autant que la réalisation fait que l'action est ILLISIBLE en plus d'être inintéressante... Pourvu qu'ils s'arrêtent là
Mouais.
Il faut attendre environs quarante minutes avant de voir l'action démarrer et les infectés pointer le bout de leur nez. Sur un film d'une heure et demi, je trouve ça limite... Et une fois que c'est fait, je retiens surtout qu'Angela Vidal a de sacrées cordes vocales : elle passe tout le restant du film à brailler. Dommage que le film se termine quand ça commence à devenir un temps soit peu intéressant.
Que ce soit pour l'action, l'horreur ou l'humour, on repassera.
oh la méchante déception.
Ce film est plein de bonnes intentions (ça se sent) et de bonnes idées (ça se voit). Mais a trop vouloir en mettre, on ressort avec un mix film d'action/horreur/parodie/comédie ultra référentielle au rythme totalement batard. On s'ennuie ferme pendant la première heure, on n'apprend absolument rien sur le scénario et on a un peu l'impression, au final, d'avoir perdu notre temps.
Je comprends les gens qui n'ont pas aimé REC3, mais au moins lui avait un parti pris. ici ba... on sait pas vraiment comment prendre ce film.
Tellement décevant...
Ca se regarde bien, sans génie mais bon détente neurone.
Quatrième et dernier volet de la parenthèse Rec, « [REC] 4 : Apocalypse » est cette fois-ci réalisé par Jaume Balagueró qui, après avoir co-réalisé les deux premiers épisodes et laissé le champ libre à son compère Paco Plaza pour le troisième, se lance seul dans l’aventure comme pour vouloir démontrer que rien ne lui est impossible. Et, comme une évidence, l’exercice contraint le public à souffrir de manque de fraicheur sept ans après que le marathon ait été lancé. En matière de trame scénaristique, « Rec 4 » n’est pas aussi platonique que son prédécesseur mais prêche par son manque d’ambition et par sa volonté de rendre la claustrophobie malheur de tous (le bateau représentant à merveille la peur viscérale de l’abandon et de la tourmente) alors que le mal n’était pas forcément nécessaire de se faire sentir. Toutefois, le réalisateur espagnol se rattrape lorsqu’arrive le moment de l’affrontement et va de climax en climax dès lors que la vérité désinhibe et force le naturel à prendre le pied sur l’éducation. Dans la plus grande perdition, Balagueró capte l’intention grâce à son utilisation subtile de la caméra et fait vivre une tempête émotionnelle au commun des mortels. Et pour cela, il convient de saluer son esprit critique qui n’a pas cherché à entourlouper son public dont il aime à revendiquer son attachement. La déception se fait finalement ressentir alors que les dernières minutes du film d’épouvante défilent au compte goûte : « Rec 4 » est irrémédiablement bâclé et pêche par un final très décevant qui aurait pourtant gagné à se montrer plus imaginatif et personnel.
Un REC en demi-teinte qui ne se donne même plus la peine de proposer un style caméra à l'épaule pendant les premières minutes.
Ici, le scénario n'est même plus un prétexte, il vaut mieux ne pas s'embêter à chercher une logique ou une once de réflexion car il n'y en a pas.
Pourtant, on notera un travail soigné sur les effets de lumière, notamment lors du passage dans la cale avec les cages, et une tentative d'autodérision à la Dead Rising avec le coup du moteur de bateau en arme de mêlée improvisée.
Au final on a donc droit à un film horrifique sans surprise mais qui remplit néanmoins son contrat : ça pisse du sang partout, c'est nanar et assumé, et l'heure et demie passe vite.
Au visionnage, j'ai beaucoup apprécié, grâce à l'ambiance et au coup des animaux infectés. Avec le recul, je me suis rendu compte que des animaux infectés, il n'y en avait pas tant que ça, et que ça se résumait plutôt à des zombies dans des couloirs étroits. Pareil pour le parasite, j'étais content qu'il revienne pour qu'on en sache plus et que ça se relier à la possession démoniaque, mais finalement on n'en a pas su plus.