Holt Farrier, une ancienne star du cirque, voit sa vie changer au retour de la guerre. Le gérant Max Medici engage le père de famille pour s'occuper de leur nouveau éléphanteau, Dumbo, dont les larges oreilles sont déjà une source de moquerie auprès des visiteurs. Mais quand les enfants de Holt découvrent que l'éléphant peut voler, l'entrepreneur très persuasif V.A. Vandevere et la trapéziste Colette Marchant entrent en piste afin de faire de Dumbo une véritable star.
(Source : Disney Next)
Adaptation en film live du film d'animation Dumbo.
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Apparition
Merci à Tomy qui a créé cette fiche
Déjà c'est Tim Burton, donc ça va être obligatoirement bien et surtout WTF. Burton a su gérer l'humour et la tristesse. J'ai beaucoup pleuré mais aussi adoré. Un film à voir, en plus avec Eva Green :))
Très beau film !!! Je suis réconciliée avec les live-action Disney !! Par contre seul petit bémol... on ne sent pas assez la plume Burton à mon goût. C’est plus Disney que Burton, mais ça n'enlève Rien au charme du film
Le premier long-métrage de 1941 ne durait qu'à peine une petite heure alors que le nouveau atteint presque les deux heures ! Même si l'histoire emprunte la même structure que son prédécesseur, les nouvelles péripéties en font sa faiblesse.
Le cirque et le parc sont magiquement illustrés. Les miracles des effets spéciaux. Des couleurs qui font pétiller les yeux et des attractions qui ne manqueront pas de rappeler le célèbre parc à thème Disneyland lui-même. On regrettera des dialogues simples, sans subtilités, ciblés pour les plus jeunes sans double lecture. Tim Burton n'est également pas au rendez-vous, excepté visuellement et ses plans ingénieux bien sûr, mais son cynisme sur le monde et la société qu'il apportait dans ces anciennes réalisations a complètement disparu. Ce n'est plus l'homme derrière "Edward aux mains d'argents", son plus grand chef-d'œuvre", et il ne l'a pas été depuis un moment. On dit que les éléphants ont peurs des souris. Peut-être que Tim Burton, qui se reconnaît en Dumbo, le paria qui ne rentre pas dans les rangs, devrait prendre ses distances avec la souris aux grandes oreilles. Il serait peut-être temps d'arrêter de travailler avec la fabrique Disney pour retrouver une certaine liberté ainsi que son univers sombre et poétique.
La mise en scène reste impeccable et imaginative. Certaines séquences dans le cirque sont de merveilleuses trouvailles. Notamment, les scènes d'envol de Dumbo qui resteront ancrés dans vos cœurs enfantins. Mais l'histoire et les personnages, malgré de très bons acteurs, ne sont pas au même niveau. Néanmoins, la nostalgie frappe toujours droit au cœur et voir Dumbo, et ses yeux bleus, si attachant ne peut que vous arracher un sourire tant il est mignon et innocent. Tim Burton, en vrai showman, délivre un vrai spectacle visuel et fera rêvasser malgré tout les enfants et les parents tant le facteur nostalgique est puissant même si ce nouveau long-métrage manque malheureusement de personnalité.
Bon ben tout comme @Lostounet. Le grand Burton du passé me manque !
Très déçue. Les ajouts par rapport au dessin animé sont inutiles. Ils ont simplement grossi à l’extrême le côté sombre, et le côté heureux pour finalement en faire un mélodrame qui se finit tellement bien qu'on en vomit des arc-en-ciels à paillettes...
Je conçois que traiter de la maltraitance animale aujourd'hui est un sujet sensible, mais détruire un grand classique comme ça...
Par contre, bon point à Éva Green qui est magnifique (à part en belle-mère méga gentille minute quoi...)
Il y a de l'idée, de bonnes trouvailles, des intentions louables. Louable aussi, le parti pris de ne pas faire un copier/coller du dessin-animé original, comme trop de films live Disney se contentent paresseusement de le faire.
Je salue la réalisation de Burton, qui a su ici imposer sa patte distinctive sans pour autant nous claquer une palette de couleurs imbuvables en pleine figure.
Toutefois, la qualité du film est hautement contrariée par des personnages insipides et une intrigue convenue.
J'approuve tout à fait la volonté du film de s'opposer à l'exploitation animale dans les cirques. La réalisation du personnage de Dumbo en images de synthèse, outre l'intérêt pratique et économique de la chose, présente de fait un véritable sens.
Cependant, les deux "parties" du film s'accordent mal entre elles. On oublie un peu le message que porte depuis toujours ce petit éléphant volant : "Ce dont on a honte chez nous est peut-être ce qui finalement nous rend exceptionnel.". La deuxième partie du film suggère en effet que ce qui rend Dumbo ridicule, ce n'est pas ce qu'il est intrinsèquement mais le regard que le public a porté sur lui; que ce fabuleux éléphant volant ne mérite pas d'être donné en spectacle.
Voilà très justement ce que le film n'arrive pas à mettre en avant : la spectacularisation de l'animal comme acte de cruauté. Parce que ce qui rend Vandevere "méchant" ici, ce n'est pas à proprement parler l'exploitation qu'il fait de Dumbo, mais plutôt le traitement qu'il inflige à sa mère. Erreur de dramatisation, selon moi. Ériger un éléphant en star en dépit de son bien-être aurait amplement suffi, et aurait été d'autant plus percutant si les exploitants en question n'avaient pas été animés des pires intentions.
C'était très beau, très poétique. Ça m'a rappelé le Tim Burton de "Big Fish", je ne sais pas trop pourquoi.
J'ai quand même pleuré et j'ai trouvé Dumbo adorablement mignon (comment ils peuvent le trouver laid sérieux ? C'est IMPOSSIBLE ! Une incohérence sans nom !)
Bref, j'ai passé un excellent moment devant ce film ! :)
À quoi bon vilipender le père et créateur de Edward aux mains d'argent, de Ed Wood, de Charlie et la chocolaterie... Ne nous y trompons pas, certes Burton, ce jeune père castor qui savait nous raconter ses propres histoires avec la maestria d'un conteur africain, a vécut de la même manière que Benjamin Button, à contre courant du temps c'est-à-dire à l'envers. Rajeunissant au fil des ans jusqu'à pourrir son mûrissement intellectuel et artistique. Pourtant, à la lecture de ces critiques acerbes, je me croirais presque un vendredi soir, au Stade Francis Le Basser où les supporters chauvins ne peuvent s'empêcher de remarquer qu'il y a plus de quarante ans, leur équipe de cœur du Stade Lavallois était en coupe UEFA. Il faut maintenant faire avec son époque, avec ses moyens et le faire remarquer ne permettra certainement pas au Stade Lavallois de remonter du National 1 jusqu'en Ligue 1 au même titre que la descente de divisions de Burton il y a des années de cela. Peut-être que se rappeler les rêves du jeune Burton permet au moins de se rassurer et qu'en souvenirs du bon temps, cette nostalgie nous ramène à des moments magiques de notre enfance. Dans cette affaire, Burton a sa part de responsabilité mais peut-être que le spectateur tente en vain de colmater ses aspirations à une vie heureuse, revenant dans le passé, là où tout était encore possible pour lui. Car soyons franc et sincère avec nous même : Burton reste un grand réalisateur, certes très éloigné de ses premières aspirations.
Disney sera ridicule avec l’adaptation en prises de vue réelles de son patrimoine qu'il dépoussière avec trois films : Dumbo, Le roi Lion et Aladin ? Oui ! L’indigestion est presque assurée d’avance. Le numérique et les fonds verts ont lissés et détruit l’art plastique de Burton ? Oui ! L’adaptation se détache pleinement de l’œuvre originale ? Oui ! Les acteurs se démènent bon gré mal gré devant les fonds verts ? Oui ! Tous les thèmes propres à Burton sont cochés ? Oui ! Ode à la différence, des personnages marginaux, une bo envoûtante, des décors merveilleux, ces acteurs fétiches...
En collaborant avec Disney, Burton revient là où tout avait commencé pour lui puisqu'après avoir été engagé par les studios il travailla sur les concepts de Taram et le Chaudron magique. Jamais la relation ne fut cordiale ni évidente puisque les dessins artistiques sombres et poétiques de Burton furent trop souvent négligés par Disney, ne répondant pas à leur ligne éditoriale. En adaptant avec E.Kruger au scénario l'histoire de Dumbo pour les studios Disney, Burton attaque directement l'empire de Mickey depuis l'intérieur. En effet, ce grand parc d’attraction nommé Dreamland, qui est censé proposer une alternative durable aux cirques itinérants peut être perçu comme une allégorie de Disney face à la troupe d’artistes saltimbanques. Rapidement, Burton se place du côté des marginaux et va même jusqu’à faire brûler Disney, calciné par sa cupidité et sa démesure économique. Il critique également le droit à la concurrence de ce mastodonte dirigé par V.A.Vandevere (joué par Michael Keaton) qui rachète les meilleurs cirques itinérants quitte à mettre de nombreux artistes au chômage. Tiens, tiens, Disney n'est-il pas devenu le plus puissant studio de cinéma d'Hollywood après le rachat de Pixar, de LucasFilm ou encore de la Fox ? Avec Dumbo, Burton tacle la finalité de la cupidité et l'arrogance du business mis à mal par les valeurs artisanales et humanistes de la troupe de cirque Medici Brothers. Bien plus qu'une troupe, ces hommes et femmes, artistes et marginaux se remontent les manches pour venir à bout du roc cinématographique afin de nous renvoyer là où l'artisanat est maître, là où la magie règne, là où l'enfance pullule. Burton sacrifie-t-il son art pour parler à tous, diffusant son message engagé face au mastodonte Disney qui brise de nombreux rêves, comme ceux de Burton, touché au plus profond de lui-même ?
@Thotho, merci pour l'analyse en seconde partie de ton commentaire, c'est un truc auquel j'avais pas pensé mais qui apparait en effet assez évident.
Pour le reste, je suis un peu comme les "vieux cons" (il faut appeler un chat un chat ^^) que tu décris en première partie, je dois le reconnaitre. Les adaptations en live action des disney, je m'en tamponne, et j'ai clairement regardé ce Dumbo uniquement parce qu'il était réalisé par Tim Burton, et qu'à chacun de ses films j'ai l'espoir de retrouver ces univers fantastiques qu'il nous présentait. Et j'ai été à nouveau déçu. Ces personnages, vides. Cette ambiance ratée : on sent qu'il y a eu une tentative d'entre-deux entre les univers colorés à la disney et les créations sombres de Burton, mais cet entre-deux n'a rien de satisfaisant, aucune magie, aucune féérie (héritée de Disney) ni aucune "beauté glauque" (Burton). Bref, un film complètement lisse, pas mauvais, pas bon, et qui n'arrive pas à être "magnifié" par quoi que ce soit. Décevant.
Aux détracteurs et pseudo critiques : vous vous prenez vraiment Le choux.... j’ai passé un très bon moment et j’ai retrouvé une âme d’enfant. Vous êtes pires que les pires critiques cinéma, la palme revenant à thotho53 grand critique mayennais
Aux détracteurs et pseudo critiques : vous vous prenez vraiment Le choux.... j’ai passé un très bon moment et j’ai retrouvé une âme d’enfant. Vous êtes pires que les pires critiques cinéma.
La musique de Danny Elfman rend le tout encore plus beau !
Ce live-action du film de 1941 est pour moi une réussite grâce à toute l'imagination de Tim Burton !
En effet, dans ce film, on se concentre principalement sur la petite famille du cirque qui va élever le petit éléphanteau, qui ne possède pas de paroles. C'est un choix risqué mais qui est payant pour moi ! Les personnages sont touchants et le contexte (au sortir de la Seconde Guerre Mondiale) permet une émotion totale ! Les scènes mythiques sont respectés (la scène des éléphants roses, la musique de la maman de Dumbo...) et on est plongé dans l'univers du cirque comme jamais ! Plusieurs passages sont touchants et les méchants capitalistes sont une bonne idée pour pimenter l'histoire !
Les acteurs sont également très bons !
Bref, un live-action qui revisite (et oui je préfère au film du Roi Lion qui avait simplement superposé les images...) l'histoire original en nous emmenant dans un univers fantastique qui transportera petits et grands !
Ce live-action du film de 1941 est pour moi une réussite grâce à toute l'imagination de Tim Burton !
En effet, dans ce film, on se concentre principalement sur la petite famille du cirque qui va élever le petit éléphanteau, qui ne possède pas de paroles. C'est un choix risqué mais qui est payant pour moi ! Les personnages sont touchants et le contexte (au sortir de la Seconde Guerre Mondiale) permet une émotion totale ! Les scènes mythiques sont respectés (la scène des éléphants roses, la musique de la maman de Dumbo...) et on est plongé dans l'univers du cirque comme jamais ! Plusieurs passages sont touchants et les méchants capitalistes sont une bonne idée pour pimenter l'histoire !
Les acteurs sont également très bons !
Bref, un live-action qui revisite (et oui je préfère au film du Roi Lion qui avait simplement superposé les images...) l'histoire original en nous emmenant dans un univers fantastique qui transportera petits et grands !