Kristen, la vingtaine, se réveille couverte de bleus, blessée, droguée et maintenue contre sa volonté dans un institut psychiatrique. Complètement désorientée, elle semble avoir perdu la mémoire et ne sait rien des raisons de sa présence dans cet établissement.
Les autres patientes rencontrées dans la cour, quatre jeunes filles toutes aussi troublées, ne lui apportent aucune réponse et Kristen se rend rapidement compte que quelque chose de terrifiant se trame en ces murs austères : l'atmosphère est lourde de secrets et, une fois la nuit tombée, des bruits étranges et dérangeants la tiennent en éveil. Les filles disparaissent une à une et Kristen doit s’échapper de cet enfer avant que le spectre ne s’en prenne à elle. Elle va cependant découvrir une réalité bien plus dangereuse et horrible que ce qu’elle n’aurait pu imaginer.
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Merci à baba qui a créé cette fiche
Amber Heard et Lyndsy Fonseca, forcément un bon film ^^
Ultra prévisible ! C'est ce qui me vient en tête immédiatement. Pour le reste, c'est pas mal, ya rien de révolutionnaire mais c'est plutôt efficace.
Même avis que Mystic : convenu et prévisible mais suffisamment bien réalisé pour maintenir un intérêt constant. Sympa.
Du Carpenter, un fantôme dans un hôpital psychiatrique, une fin à vous retourner le cerveau, ce film a tout pour être génial. Mais il ne l'est pas. J'ai l'impression que c'est la mise en scène trop planplan qui m'a gêné.
Surtout une pale copie version horreur de une vie volée.
Dernier long-métrage de Carpenter à ce jour, et fort probablement derniere réalisation de sa carrière tout court, "The Ward" signe un retour aux sources et un renouveau dans sa filmographie.
Retour au source car la thématique exploitée, à savoir le délire psychiatrique, a déjà été abordé dans "Halloween" mais aussi dans "In The Mouth of Madness". Retour également du personnage principal féminin, déterminé et courageux (même si dans "Ghost of Mars" on retrouvait globalement déjà cela mais la nullité du film passait bien avant le reste). Et enfin, retour de la fameuse thématique d'enfermement, ici dans un hôpital psychiatrique d'une part et dans la psyché d'autre part.
Le renouveau se fait ressentir au niveau de l'image. Carpenter s'entoure d'une toute nouvelle équipe technique et de nouveaux producteurs et cela se ressent. La photographie est bien plus propre qu'auparavant, certains plans sont d'ailleurs superbes, la réalisation dans son ensemble s'éloigne des standards "fait maison" habituels pour se tourner vers un rendu beaucoup plus "pro", et du coup bien moins percutante.
Le scénario est sympathique quoique prévisible, mais l'idée est bonne et bien racontée. Point de gore ou de moments vraiment horrifiques, l'ambiance est donc plus portée sur le suspens, et apporte quelques passages fort bien maîtrisés.
Pas de casting récurrent cette fois-ci, que de nouvelles têtes !