Henry Barthes est un professeur remplaçant. Il est assigné pendant trois semaines dans un lycée difficile de la banlieue new-yorkaise. Lui qui s'efforce de toujours prendre ses distances va voir sa vie bouleversée par son passage dans cet établissement...
(Source : Allociné)
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Merci à Klemocius qui a créé cette fiche
Adrien Brody joue superbement bien dans ce film ! J'ai trouvé le film assez puissant, il aborde plusieurs sujets intéressant, seul bémol, il est assez lent, ce qui rebutera certaines personnes !
J'ai également beaucoup aimé, l'histoire est prenante et Adrien fait encore preuve d'un immense talent. Je n'ai pas trouvé de longueur, chaque intrigue accroche et tous les personnages ont leur intérêt.
Magistral, à tous points de vue !
Pwaaaaa ! Super histoire. Et puis Adrien Brody, est magistral.
Je penses que je vais regarder The Pianist Prochainement ! =)
Un film très intelligent qui peine à se détacher complétement des clichés. C'est servi par un Adrien Brody excellent, pour faire dans le pléonasme, et par une réalisation vraiment originale.
Mais qu'est-ce que c'est sombre ! Les compositions sont pesantes, les dialogues sont moroses, les regards sont vitreux... Les trois histoires rivalisent de tristesse et font paraître l'heure et demi bien plus longue.
Un étalage de malheurs et de tristesse porté par un casting certes excellent, freiné par un film à l'ambition obscure. Tant de situations dramatiques sans jamais s'appesantir plus de dix minutes sur les acteurs de ces situations qu'il n'y aucun moyen de s'y intéresser. Il semblerait que ce soit voulu, il peut difficilement en être autrement, mais je ne vois pas l'intérêt de présenter un éventail de malheurs, clichés au possible, juste pour nous dire que oui, la vie, c'est pas simple.
Rien de surprenant cela dit quand on connaît la subtilité légendaire de Tony Kaye.