"Ce cours est ouvert à tous, et aucune connaissance musicale n'est requise." Après la série Kaamelott, Alexandre Astier devient Jean-Sébastien Bach. Le compositeur donne enfin en 2012 une master class. Mais il peut déraper. Que ma joie demeure ! , hommage savoureux et déglingué à J.-S. B., décortique gaiement la musique de Bach comme on ouvre un capot de bagnole pour comprendre un moteur...
Rôle principal
Merci à Glorfindeul qui a créé cette fiche
Spécial, original et plutôt réussi.
Quelques petites références à Kaamelott (le coup du sauciflard dans l'orgue, un personnage principal déprimé...) et l'humour si particulier d'Astier... Un très bon spectacle, décalé et rafraîchissant. J'ai eu la chance de le voir en vrai, et à Lyon, patrie d'Astier et je peux vous assurer que le bonhomme est sur scène comme un poisson dans l'eau.
Quel plaisir de le voir sur scène !
Le thème et l'humour sont très sympa, mais certains sketches m'ont moins intéressé et m'ont paru un peu long, sur la fin notamment. Quoi qu'il en soit j'aime beaucoup son style.
Rien ne peut me faire plus plaisir que de voir et revoir le DVD de ce film, sans jamais me lasser... Je suis une fan totalement inconditionnelle de cet art du rire.
J'adore Astier... mais là, non.