Los Angeles dans les années 1970. Tandis qu’une vague de meurtres défraie la chronique , une jeune femme qui aspire à devenir comédienne et un tueur en série se croisent à l’occasion d’un épisode de l’émission The Dating Game (Tournez Manège). (Source : themoviedb)
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Apparition
Apparition
Apparition
Merci à MoonFace qui a créé cette fiche
J'ai beaucoup aimé la prestation de Daniel Zovatto (Rodney Alcala) que je ne connaissais pas du tout !
Bonne tension nerveuse, néanmoins c'est dommage que Netflix nous livre une fin en kit.
A un moment donné, on est au taquet prêts pour la grande résolution, et là non, le film nous raconte la fin de l'histoire, qui est une histoire tirée de faits réels, par quelques panneaux de texte.
Raaaah.
Effectivement, la fin est un baclée, on reste sur sa faim. Dommage...
La fin en texte aurait pu être un deux à l’histoire
Dommage de finir comme ça
Hyper glauque de savoir qu'un tueur en série soit passé à la télé, Hanouna a du s'inspirer pour son show (ok pardon j'exagère)
Sinon film sympa, histoire sympathiquement glauque et horrible au vu de la nature du bonhomme et de l'atrocité des crimes commis. Un tueur en série parmi d'autres, si j'ose dire (ça minimise pas l'horreur du gars hein)qui a le culot de se présenter dans l'ancêtre de Tinder. Des scènes assez malaisantes (celle du parking et celle qui précède, vendues par la bande annonce étant le sommet du film, plus que les meurtres en question).
Bref, ça fait froid dans le dos mais ça s'oublie rapidement, on se dit que ce frisson là vient sûrement d'un courant d'air, une fenêtre mal fermée, le fameux oscillo battant dont on a mal remonté la poignée et qui laisse curieusement l'air s'engouffrer alors que la fenêtre est techniquement fermée. Mais c'est toujours sympa de croiser Anna Kendrick dont le travail de réalisation est efficace sans jamais briller mais parvient à transmettre la violence du gars (aidé par la présence physique de l'acteur).