Dans un futur proche, Miami a été submergé par les flots, suite aux effets du changement climatique. Un enquêteur privé, Nick Bannister, est engagé par des clients afin de retrouver leurs précieux souvenirs. Au cours de sa dernière affaire, il tombe éperdument amoureux de sa cliente. A sa disparition, le détective est désemparé et se lance à sa recherche. Il se retrouve alors perdu dans une boucle temporelle et découvre des aspects de sa personnalité qu'il ne connaissait pas auparavant.
(Source : Allociné)
Rôle principal
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Rôle secondaire
Rôle secondaire
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Rôle secondaire
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Rôle secondaire
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Merci à Fancinema22 qui a créé cette fiche
De bonnes idées qui sont malheureusement mal exécutées.
Reminiscence souffre d'un début poussif. Au départ je ne savais pas si le film était un long-métrage d'anticipation, une comédie romantique ou un simple thriller avec un mystère à résoudre. La réponse est en fait : un peu de tout cela à la fois. Sauf que le spectateur est d'abord perdu et il faut un moment pour que le film ne trouve son rythme de croisière.
C'est dommage car Reminiscence possède quelques belles qualités. Malgré le budget limité, le Miami de 2030 sous l'eau est très convaincant.Le gros point fort du film s'avère le casting. Rebecca Ferguson et surtout Hugh Jackman livrent deux prestations incroyables et pleines d'intensité. Le scénario quant à lui est intéressant même si en revanche certains dialogues ne sont pas très inspirés. J'ai toutefois beaucoup aimé la conclusion avec [spoiler] Mae qui laisse un message à Nick via les souvenirs [/spoiler] de Boothe.
Lisa Joy a du talent et je suis curieux de voir ce que son deuxième long-métrage pourra donner.
Ce film est compliqué à commenter, parce qu'il y a du bon, du très bon et du beaucoup moins bon. J'ai l'impression que tous les ingrédients étaient réunis pour faire un polar mythique de type Chinatown ou Assurance sur la mort : un univers excellent (whoua les effets spéciaux !), une ambiance glauque réussie, un super casting, une bonne bande son... Malgré tout, la mayonnaise ne prend pas... Le film souffre d'un effroyable problème de rythme. Tout semble plat, mou, déjà vu et revu. (Les clichés du mafieux et de la jolie fille qui chante du jazz, c'est bon, on nous l'a déjà fait.) L'intrigue est évidente et tous les rebondissements sont si prévisibles que ça en devenait presque honteux. Le montage est répétitif, les scènes m'ont parues longues ce qui desservait le travail des acteurs. On voyait qu'ils jouaient (ou surjouaient parfois). Le pire, c'est comme le film travaille sur le thème de la mémoire et des souvenirs, certaines scènes repassaient deux fois, trois fois à l'écran, histoire de bien voir tous les détails... ce qui créait encore des longueurs supplémentaires. J'suis sûr qu'avec un montage plus dynamique, le résultat aurait pu être meilleur à partir des mêmes images.
Bref. Qu'est-ce qu'ils ont foutu ?
J'adore le style de ce film, le casting, les décors, mais, concernant l'histoire, je reste sur ma faim.
Purée dans le genre bouse qu'on aura oublié dans une semaine, ça se pose là. L'œuvre "Cyberpunk" la moins inspirée qu'il m'es été donné de voir, jouer ou lire.
Il y a de bonnes idées, la photographie est belle... Mais il y a quand même pas mal de "creux" et de clichés ! La belle femme chanteuse de jazz, le mafieux, l'arnaque, une arnaqueuse qui n'arnaque pas tant que ça...
Je retiens surtout le rôle de Thandiwe Newton, qui était l'une des principales raisons que je veuille voir ce film, j'avoue !
Et puis il y a quelques personnes de chez Westworld qui sont réunies, c'est toujours sympa de voir les membres d'un projet précédent se réunir pour un autre projet : il y a Lisa Joy, Thandiwe Newton et Angela Sarafyan.
C'est moi ou c'est à chier ? Les références à Westworld ça va 5min ! On se demande bien ce que Hugh Jackman est venu faire là....
Si je m'étais attendu à ça ! Reminiscence se veut être un film noir, avec des relents de science-fiction. Voilà donc une recette aussi inattendue qu'originale. Maintenant il faut que la mayonnaise prenne, et c'est là que le coup de fouet est cinglant.
La mise en scène est très lisse, tout autant que l'image qui déborde d'incrustations CGI pas toujours au top techniquement parlant, surtout sur le plan séquence d'introduction. Le rendu final est trop propre, l'image est trop nette, on ne ressent pas la chaleur et l'humidité qui sont censés écraser Miami. J'ai trouvé les personnages sans réelle profondeur, mais c'est peut-être la direction d'acteurs qui joue en leur défaveur.
Le rôle de femme fatale va comme un gant à Rebecca Ferguson, mais celui d'amoureux transi n'est pas taillé pour un Hugh Jackman qui certes s'éloigne du stéréotype du mâle Alpha incassable, et c'est rafraîchissant de voir une armoire à glace aussi "fragile", mais... on y croit pas vraiment.
Le scénario par contre regorge de bonnes idées et utilise à bon escient l'outil principal de l'histoire, à savoir la possibilité de revoir des souvenirs. Cela donne lieu à de très bonnes séquences et et à un réel effort scénaristique bienvenu pour le dénouement.
Le tout reste donc assez accrocheur, et se suit avec facilité. Le divertissement n'est certes pas du meilleur calibre, mais il a le mérite d'être là, et malgré du Deus Ex Machina, ou quelques incohérences, ne nous prend pas trop pour des jambons.
Je m'attendais à mieux mais j'aime l'univers, dommage que ce soit mal développé
des bonnes idées, visuellement beau, émouvant, mais beaucoup trop mou
Moi je l'ai trouvé très bien :) Mis à part les nombreuses et lourdes scènes gnan-gnan. La romance est insistante et mièvre :/
Mais le côté polar est prenant, et le cadre réussi.