Pour échapper à son quotidien se partageant entre la maladie de sa mère et les humiliations répétées de ses camarades de classe, un jeune garçon se réfugie dans un monde imaginaire digne des contes de fées, où il est question de courage, de perte et de foi. (Source : Allociné)
Adapté du livre Quelques minutes après minuit de Patrick Ness
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Apparition
Apparition
Non renseigné
Merci à TiteFraise qui a créé cette fiche
Une petite pépite !
Ahhh quelle merveille.
Un superbe conte, où on peut sentir l'influence de Del Toro tout du long. Techniquement, la DA est au top, la narration merveilleuse (l'évolution du récit est ultra intéressante et se traduit visuellement par des transitions soignées ) et les effets spéciaux léchés. On sent la patte du réalisateur derrière, qui insuffle une réelle âme dans son film là ou il aurait été plus simple de faire une bête adaptation.
Impossible de rester de marbre devant le scénario, qui ne peut que nous parler si on a passé cette période de "trop vieux pour être un enfant, pas assez pour devenir un adulte"
Ma chronique à lire sur :http://reglisseaupaysdesmerveilles.blogspot.fr/2017/01/quelques-minutes-apres-minuit.html
Après la lecture du synopsis et les premières minutes du film, la première réaction que l'on peut avoir c'est : Conor = un gamin banal qui a une maman souffrante, qui se fait martyriser à l'école,qui ne s'entend pas avec sa grand-mère et qui fait des cauchemars étranges. Autant dire que cette histoire, on l'a déjà tous déjà entendue, vue et revue. Et on n'en a marre, on n'en veut pas de cette nouvelle histoire bateau ! Ça tombe bien, car une histoire inspirée d'un livre de Patrick Ness et réalisée par J.A Bayona, c'est tout sauf une histoire banale !
Patrick Ness est un auteur remarquable pour adolescent mais le traitement fait ici de l'histoire par J.A Bayona est également remarquable de justesse. J.A Bayona dépasse par la poésie de sa réalisation le simple univers de la science-fiction. Durant un peu plus d'une heure quarante, le spectateur s'envole dans une fable merveilleuse. Des dessins somptueux, une bande sonore qui colle parfaitement à la peau du scénario, Sigourney Weaver et Felicity Jones sont pertinentes alors que le jeune Conor (Lewis MacDougall) brille! Jean de la Fontaine aurait de quoi être jaloux devant cette fable à la morale peut évidente qui nous tiens en haleine jusqu'au dénouement. Pour tenter d'aider Conor dans sa quête de vérité, un monstre (Liam Nesson) devra lui raconter 3 histoires. La narration de ces histoires donne de la poésie à l'oeuvre avec des animations en aquarelles somptueuses qui permettent au film et aux spectateurs de rentrer dans une nouvelle dimension.
Le réalisateur décide, non pas de centrer son propos sur la maladie et le malade mais sur la personne chère qui voit faner son proche. Chacun se reconnaîtra dans les sentiments partagés par Quelques minutes après minuit.
C'est un film étonnant que j'ai décidé d'aller voir sans aucune attente. Quelques minutes après minuit est un remède face à la maladie et un ode à l'accomplissement d'une vie ponctuée de vérité et de justesse.
Après The Impossible et Quelques minutes après minuit, J.A Bayona est un réalisateur à suivre. D'ailleurs, Steven Spielberg a déjà décelé son talent puisqu'il réalisera la suite de Jurassic World, saga initiée par Spielberg lui-même!
On frôle la perfection ! L'histoire est extrêmement prenante, les acteurs plus vrais que nature, et l'image est fantastique.
La narration est ingénieuse en ce qu'elle est capable de toucher beaucoup d'âmes (dont la mienne, cf les joues mouillées dans la salle de cinéma).
A la hauteur du roman (tout aussi exceptionnel !). Emouvant et juste, beau visuellement et des acteurs exceptionnels, en particulier le rôle principal. Quel dommage que les cinémas ne le mettent pas en avant. A voir absolument !
Jolie histoire mais peut avoir certaines longueurs pour certains.
Aux trois quart du film, j'ai commencé à pleurer, et je n'ai pas arrêté jusqu'à la fin. Voilà. Même en ayant lu le livre avant.
J'ai adoré l'esthétique des histoires de l'If (je ne pense d'ailleurs pas me tromper en disant que c'est le même dessinateur que pour Le conte des Reliques de la mort dans Harry Potter).
Comment rester insensible face au drame que vit ce jeune garçon ?
Une magnifique production, qui bénéficie de cette patte artistique que seuls les espagnols semblent capables d'insuffler au cinéma fantastique. L'histoire est touchante et parfaitement maîtrisée par des acteurs toujours très justes. Beaucoup de choses m'ont fait penser au Bridge to Terabithia, ainsi qu'au cultissime Laberinto del Fauno.
C'est typiquement le genre de film qui parle de la mort sur un ton à la fois dur et émouvant, surtout pour les enfants, et qu'on avait l'habitude de voir dans le cinéma des années 80/90 mais qui s'est raréfié avec les années 2000.
Quelle claque !!! Terriblement juste et émouvant !
Il est bouleversant ce film. Une vraie claque artistique.
Juste incroyablement beau et poétique. bouleversant
Je n'était pas sûre de pouvoir aimer, je pensais que c'était juste un film banal avec un enfant qui est victime du harcèlement scolaire et que sa mère est souffrante donc il va se réfugier dans ses rêves.
Bien sûr ce film parle de tout ça mais les émotions sont tellement fortes !
Lewis, le jeune acteur m'a vraiment scotché, il est formidable !
Je pense que je suis marquée à vie par ce film.
Un film magnifique qui m'a laissée totalement insensible, j'ai juste eu envie de revoir " Crìa cuervos".
Pas mal. Un peu déçu par le manque de subtilité et la comparaison avec d'autres œuvres qui abordent la chose de façon plus belle, je trouve. En fait il ne m'a pas beaucoup ému, du coup je suis resté assez froid à l'histoire. Je trouve que le gamin ne jouait pas très bien, et le monstre était un peu trop enfantin/gentil gros monstre qui parle d'une voix douce et donne des conseils.
Puisque Del Toro est cité plus haut, j'ai largement préféré le Labyrinthe de Pan qui abordait aussi le sujet de la fuite dans l'imaginaire d'un(e) gosse qui doit affronter la réalité pas glop. De même, le sujet rappelle Mon voisin Totoro, la maladie de la mère, l'imaginaire... Mais comme j'ai dit, ici il y a peu de subtilité.
Aussi, l'ayant vu en VF, celle-ci était assez médiocre. Je ne sais pas si ça change en VO.