1981. Hubert Bonisseur de La Bath, alias OSS 117, est de retour. Pour cette nouvelle mission, plus délicate, plus périlleuse et plus torride que jamais, il est contraint de faire équipe avec un jeune collègue, le prometteur OSS 1001.
(Source : Allociné)
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Merci à Bon Scott qui a créé cette fiche
le personnage d'OSS 117 et l'humour qui lui est associé est parfaitement compatible au style de Nicolas Bedos qui surf sur le politiquement correcte en narguant tous les bords politiques que ça soit via l'humour noir ou le ridicule de ses personnages.
Je reprocherais d'ailleurs au deuxième épisode quelques longueurs que celui-ci n'a pas. Quant à la réalisation, celle-ci est tout aussi efficace dans les hommages au genre et même en auto référence aux films précédents.
Très déçue, je trouve que Bedos a tué le oss117 que nous aimions en le rabaissant tout au long du film... On retrouve le personnage sur quelques blagues qui sont pour certaines drôles et pour d'autres ratées à cause de leur longueur ! Et en parlant de longueur, mon dieu que ce film paraît long. Je ne serais pas partie du tout sur une confrontation entre vieil et jeune agent, du moins pas comme cela, du vu et revu. Bref, quel dommage, je vais me refaire les deux précédents !
J’ai beaucoup aimé, j’ai trouvé au contraire que Bedos était vraiment le réalisateur parfait pour reprendre la franchise et cette plongée dans cet univers ainsi que des années 80 est juste superbe. Les 2 heures passent effectivement très vite, Bedos arrive à glisser des sujets actuels comme l’homophobie ou le sexisme avec finesse et humour. Jean Dujardin est toujours génial dans ce rôle qui lui colle à la peau et Pierre Niney irrésistible dans ce rôle (attention Jean, il y a la relève). Mention spéciale à Fatou N’Diaye que je ne connaissais pas qui mais joue vraiment bien ici. Un petit coup de frais qui fait beaucoup de bien !
Je suis un peu déçue par celui ci, un certain goût d'inachevé peut être... Par contre j'ai adoré le coin d'oeil a la série "au service de la France" !
Mhh, j'suis partagé. On peut être irrévérencieux et drôle, mais là, c'est juste irrévérencieux et gratuit. Il y a quelques blagues de bonnes, le générique du début est très cool, le premier quart d'heure fonctionne à peu près bien et après, le scénario s'effondre, manque de finesse, d'ironie et d'originalité. J'ai trouvé ça grossier, en somme, par rapport au volet OSS n°2. Et un peu malaisant aussi.
Par contre, j'ai apprécié l'esprit parodique 007, ça c'est toujours aussi chouette. =)
Film sympa mais sans plus, je suis vraiment déçue de ce film qui est bien en dessous des précédents. On sourit, on ne rigole pas.
[spoiler] J'ai juste adoré à la fin avec la petite statue d'hippopotame qu'il donne à la dame (qui d'après elle, se trouve vielle...) pour les peaux mortes. La pauvre XD [/spoiler]
Bien qu'un peu moins bon que les 2 précédents opus, ce nouvel épisode est tout de même très drôle! Et en plus on y voit Kadoc!^^
Je dirai presque que cet opus a un ton trop sérieux. Par conséquence l'humour gaguesque, très parodique, détonant du premier voire du deuxième film perdent peu à peu de leur absurde pour prendre un goût d'humour acide et critique.
Si on se moque de Bonisseur de la Bath dans le premier film c'est qu'on aime son aspect léger et déconnecté et qu'on ne lui tient pas vraiment rigueur de ses (gros) défauts. On comprend qu'on nous expose un clown.
Mais plus le ton du film (la réalisation, le jeu des acteurs, les thèmes) devient sérieux et crédible, plus le personnage et ses actions sont perçus comme critiquables et pathétiques.
Et j'ai ainsi oscillé jusqu'à la fin du film entre de l'amusement de scènes cocasses et un certain malaise devant des scènes trop réalistes où un homme stupide et détestable termine grand vainqueur.
C''est vraiment ça, la fin de ton commentaire @Mollusque. La scène [spoiler] de l'alligator [/spoiler] est la plus représentative de ça je pense. J'aurais tellement à dire sur cette scène en particulier, qui à mon sens casse tout le personnage de 117 et 1001, de même que de possibles thématiques plus intéressantes, tout ça pour un "gag" qui ne m'a pas du tout fait rire ni même sourire tant c'était cru et froid.
Bon aller, j'en fous pêle-mêle quelques-uns, pour ne pas qu'on me reprenne en me disant que j'ai pas d’argument et que je le cache haha.
[spoiler] Faire "tuer" (franchement on le croit bien mort à ce moment) le personnage de 1001 à ce moment, beaucoup trop loin dans l'histoire, alors qu'on a commencé à s'habituer et prendre de l'affection pour lui, qu'il contraste bien avec 117, et par ailleurs que sa relation pouvait amener à approfondir d'autres thématiques qui semblaient entamées par le film, mais non en fait. 117 qui en sort beaucoup trop triomphant alors qu'il était indéniablement chiant et lourd dans ses remarques et ses attitudes, 1001 ridiculisé par la mise en scène, alors que moi le premier aurais réagi comme lui à sa place; mise en scène qui d'ailleurs, fait bien plus penser à un film d'horreur style Les Dents de la mer, au vu de comment la menace surgit abruptement et violemment dans le cadre et en disparaît aussitôt. On me dira ainsi que c'était un gag, mais le gag est désamorcé dès le tout début de la scène, quand 117 prévient du danger près du fleuve pour 1001, on sait que ça arrivera, forcément. Le fait que rien ne vienne surprendre nos attentes quant à l’issue de la scène fait que ce n'est ni drôle ni vraiment intéressant.
Reste alors un homme qui ne vient aucunement en aide à son compatriote et partenaire de mission, préférant se vanter d'avoir eu raison, tel un boomer qui aurait raison de rabaisser la jeune génération toute entière. On voit un homme inhumain ne venant absolument pas en aide d'une quelconque manière à un congénère en train de se faire bouffer vivant, un sort effroyable, mais on sent bien que dans sa tête c'est plutôt "bon débarras". Si le but était de rigoler de 1001 car il aurait été détestable, c'est raté, car je ne vois pas en quoi le personnage pourrait mériter un tel sort, ni même un tel dédain de la part de 117 dans pareille situation (je comprends bien dans les autres situations, mais pas dans une avec une telle gravité et un tel enjeu).
Le personnage de 117 est ainsi totalement détruit par cette scène, comparé aux deux volets précédents où plusieurs choses pouvaient lui donner un peu d'humanité malgré ses énormes défauts. D'ailleurs je viens de noter une contradiction: le film ne cesse de le mettre en compétition avec 1001, de le représenter comme dépassé par la modernité, or il apprend à maîtriser la dactylographie sur ordinateur au début du film, en ce sens il est même on peut dire en avance sur son temps, sur le grand public peut-être du moins.
En fait je pense que le film laisse entrevoir plusieurs thématiques, mais qu'il s'emmêle les pieds en n'en choisissant jamais clairement aucune. On a ainsi des contradictions où, par exemple, d'un côté le moderne de l'époque est moqué (l'ordinateur "portable" de 117), et de l'autre où il est glorifié (les gadgets futuristes de 1001), de manière on dirait assez artificielle, selon les besoins du scénario, pour s'arranger comme on peut. [/spoiler]
Franchement déçu par ce dernier opus. Même si je ne m'attendais pas à grand chose de la part de Nicolas Bedos, que je trouve antipathique, et pas drôle. Un "fils de" sans talent, ce qu'il nous prouve ici en réalisant une suite à côté de la plaque par rapport aux films de Hazanavicius, qui avaient un charme particulier.
Dans celui-ci, les vannes d'OSS 117 tombent à plat. On ne rigole jamais vraiment, à peine y a-t-il de quoi esquisser un sourire parfois.
Le film est vraiment long, l'intrigue pas passionnante. La compétition 117/1001 n'est pas spécialement captivante non plus.
Bref, c'est mauvais.
Déçu aussi par ce dernier... Enfin si c'était pas brandé OSS 117 j'aurais peut être plus apprécié. Je sentais beaucoup plus une vibe de Au service de la France notamment avec les bureaux, le sexisme à outrance mais aussi le petit jeune beau gosse Ninet la relève de l'espionnage qui n'est pas sans rappeler la prestation de Hugo Becker. Série qui au final m'aura plus plu. Dommage
Le wokisme a la francais ! Aboslument immonde
Surprenamment pas si mauvais alors que tout laissait présager une purge monumentale. Si on atteint pas la finesse d'un Hazanavicius au niveau de la réalisation, on a quand même J-F. Halin à l'écriture et on retrouve donc les dialogues piquants qui ont rendu culte l'OSS-117 campé par Jean Dujardin.
Toujours en décalage complet avec son temps, l'agent secret va être encore plus insupportable, et va donner lieu à quelques séquence épiques, notamment avec le serpent. Misogyne et raciste, homosexuel refoulé, il est bel et bien resté le même malgré les années qui l'ont certes rendu un peu plus... mou (!).
Le scénario va tartiner allègrement sur la "françafrique" et les divers scandales d’État qui entourent des dossiers qui méritent de ne pas être oubliés. Les traiter avec humour ne les rend pas moins importants.
Plus j'y repense et plus je me dis qu'on retrouve les toues les ingrédients des films précédents, et cette suite s'inscrit naturellement dans la continuité.
On aura au passage la confirmation que les univers de "Au Service de la France" et de "OSS-117" sont les mêmes puisque les agents Moulinier et Calot font une apparition furtive dans le film.
Difficile de dire ce qui ne va pas avec cet opus mais quelque chose ne fonctionne définitivement pas. Pourtant, l'écriture semble être la même, Dujardin retrouve son personnage très facilement, l'arrivée de Pierre Niney est bienvenue... Mais l'humour ne fonctionne pas ou très peu, la bêtise de OSS est lourde plutôt que réellement drôle. Tout semble forcé, y compris la relation entre les deux agents : l'insistance du film pour nous démontrer que 117 est idiot par rapport à 1001 est beaucoup trop lourde et on a très vite envie de dire au film que, ok, on a compris.
Et si l'arrivée de 1001 est réussie, ce n'est clairement pas le cas de son départ qui, basé sur un gag qui se voit venir à des kilomètres, fait clairement tâche et paraît inapproprié au film, il n'a pas sa place là. On flirte du côté de l'humour des ZAZ là où les deux premiers ne mettaient pas les pieds.
Aucune réplique culte ne sort de ce film, là où les deux premiers volets en sont légion.
Bref, dommage parce que niveau décors, ça envoie pas mal.
Le moins bon des 3!
Le moins bon des 3 c'est sur.
Pas la purge que l'on pensait.
Mais les éventuelle punchline sont du même niveau que nos pires rappeurs en France.
J'ai pas réussi à apprécier 1001, qui pour moi et l'un des moins bon rôle de Niney.