Morten Burian, Sidsel Siem Koch, 
Fedja Van Huêt...
En vacances en Toscane, une famille danoise se lie d’amitié avec une famille néerlandaise, qui quelques mois plus tard les invite à passer un week-end chez eux. Mais ce séjour idyllique où se rencontrent la discrétion et l’extraversion va virer au cauchemar.
(Source : Allociné)
Morten BurianRôle principal
Sidsel Siem KochRôle principal
Fedja Van HuêtRôle secondaire
Karina SmuldersRôle secondaire
Liva ForsbergRôle secondaire
Hichem YacoubiRôle tertiaire
Non renseigné
Merci à LN31 qui a créé cette fiche
NE DIS RIEN est un thriller psychologique qui suit une famille danoise invitée à séjourner dans la résidence de leurs nouveaux amis néerlandais, qu'elle a rencontré pendant les vacances. Lorsqu'ils acceptent l'offre, ils prennent une décision qui les hantera pour toujours et les obligera à remettre en question leur santé mentale. Le réalisateur danois, Christian Tafdrup, nous surprend avec un drame profondément perturbant. Il interroge la politesse, considérée comme une vertu, et montre ce qui peut arriver lorsqu'elle est utilisée contre nous.
Tafdrup maîtrise complètement son environnement et contrôle le suspense de son histoire comme un chef d'orchestre terrifiant, plongeant son public dans une immersion intense. Il construit habilement la tension tout au long du film, laissant les spectateurs retenir leur souffle en attendant la prochaine révélation. Les spectateurs se sentent piégés et impuissants face à l'horreur qui se déroule sous leurs yeux, sans voix mais incapables de détourner le regard. Préparez vous pour l'un des films les plus troublants de l'année, qui vous marquera longtemps après.
la vache l'enfer, un vrai film d'horreur
Vu après la version américaine donc difficile de ne pas comparer les deux ! Je trouve le film danois moins "gênant", moins malaisant, les scènes devant susciter le malaise étant expédiées bien plus rapidement, on ressent moins l'embarras et le côté "déplace" (ceci est un euphémisme) du couple hôte. Ceci n'étant pas aidé par le personnage de Louise qui semble bien plus froide sur CHAQUE sujet que son homologue américain malgré une certaine ambivalence dans ses actes (la scène de sexe, notamment).
Cependant, le film est bien plus abouti par son final, son juste au boutisme (ceci est peut être un mot qui n'existe pas mais mes pâtes cuisent vite donc si j'ouvre un nouvel onglet et que je cherche l'existence ou non du terme, elles vont cramer, l'eau va déborder et... Orf, zut, ça crame).
MAIS j'ai quand même un souci sur la fin qui, malgré le côté "on y va à fond" que je valide à 100%, se trouve ternie par une absence totale de réactions ou de réponses, venant à défier l'instinct naturel de survie et me faisant par la même sortir de la réalité brute du moment.
C'est pas très clair tout ça. Mais vous m'avez compris.