Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
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Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
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Apparition
Apparition
Apparition
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Apparition
Apparition
Apparition
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Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Non renseigné
Mother! est excellent ! Prenant, oppressant, étouffant, le film ne prend jamais de pauses et est réellement éprouvant (je l'aime beaucoup mais le revoir me parait compliqué dans l'immédiat !). La caméra suit sans arrêt une Jennifer Lawrence splendide et remarquable dans son rôle face à un Javier Bardem qui parait plus imposant que jamais ! Le film offre plusieurs degrés de lecture très intéressants ce qui, je pense, explique les avis mitigés que j'ai pu percevoir en fin de séance. Bref, pour moi, c'est une réussite, âmes sensibles attention ! Même s'il n'y a rien de trop choquant, le film est éprouvant physiquement et la fin jusqu'au boutiste pourra en rebuter certain(e)s !
Impossible de parler du film sans gâcher le plaisir qu'il y a à interpréter chaque élément du film dans les différentes métaphores qu'il propose. D'un thriller on passe à une critique sociale du rôle de la mère jusqu'à comprendre la lecture théologique et les références bibliques, une pure merveille que j'irai revoir.
Ce film ne laisse pas indifférent. C est très oppressant, intrusif, la façon de tourner autour du personnage de Jennifer Lawrence est superbe. Son interprétation est juste énorme. Va t-elle à la course aux oscars? Elle pourrait, elle le mérite.
Sinon l histoire est prenante, mais très très compliqué, éprouvant physiquement. On est perdu avec le personnage vers la fin, c est une sensation que j ai jamais ressenti au cinéma.
C est une oeuvre unique, je le vois plus comme un conte, un poème.
La fin pourra énerver beaucoup, je l ai trouvé excellent mais la réflexion qui suit la vision du film est juste incroyable.
A la sortie du film je ne savais pas quoi en dire, bon? Mauvais? Chef d oeuvre? On se creuse le cerveau même 12h après le visionnage. Et même maintenant je ne sais pas qu elle interprétation je peux en faire de ce film. C est bizarre à dire mais j ai adoré mais je suis un peu perdu. Je pense qu un deuxième visionnage est obligatoire. Le réalisateur laisse beaucoup d indices durant le film qui je suis sur ne sont pas là par hasard.
Wow quel claque, Aronofsky ne cessera jamais d'être étonnant. Il nous livre là un film à ambiance anxyogène, opressant et malsain. Le film offre de nombreuses métaphores extrêmement fortes et exquises à interpréter. Jennifer Lawrence est incroyable, l'oscar est proche. Le spectateur est en questionnement tout au long du film ( de même que l'héroïne ), chaque élément est à interpréter et cela pourra en rebuter certains. En soi un film comme on aimerait en voir plus souvent, un chef d'oeuvre.
Mon dieu je pense avoir compris le sens d etout ça, tout s'explique ce film est WTF. il m'a fallu presque 24h de reflexion lol
Un bon gros chef d'oeuvre des familles, encore un pour Aronofsky.
Le film tout entier est magnifique. La photo est grandiose avec son gros grain bien anxiogène. Et que dire du sound design, irritant au possible... Ce film m'a agressé physiquement parlant, mais au service du scénario on ne peut que tirer notre chapeau.
Pas besoin de souligner la performance de Bardem, qui nous a déjà démontré par le passé qu'il était un énorme acteur. C'est surtout Lawrence qui tire son épingle du jeu : elle est juste bluffante.
Au niveau de la signification
[spoiler] je vois plusieurs points que le film aborde
- on a la peur des parents quand à avoir un enfant, et surtout la crainte de ne pas savoir quelle vie on va pouvoir lui offrir (il y a beaucoup d'exposition de pauvreté et de violence dans la dernière partie
- il y a une réflexion sur "l'oeuvre" en tant que telle, à travers ce bébé donné au public par son père pour qu'il soit mangé. L'oeuvre qui échappe à son auteur
- Et enfin, point que je trouve le plus intéressant, un aspect foncièrement féministe est mit en avant à travers Lawrence, qui est une simple spectatrice/actrice des volontés de Bardem (le réalisateur) sans jamais pouvoir dire mot des décisions prises par son mari. Le thème du cycle vie/mort est plus que pregnant dans la filmographie d'aronofsky. Ici, il désignerait le rôle qu'offre Hollywood aux starlettes : une fois la gloire passée, la star consumée, il ne restera qu'une pierre précieuse unique possédée par le réalisateur, qui passera à une prochaine actrice.
Difficile aussi de ne pas faire le lien avec les photos volées de Lawrence,
qui affichée nue s'est faite traîner dans la boue. [/spoiler]
J'ai kiffé, et je vous conseille fortement ce film ahha
Un jour j'ai vu un film nul.
C'était Beowulf avec Christophe Lambert.
Des années se sont écoulées, puis une nouvelle "merveille" a vu le jour: Mother! avec Jennifer Lawrence..
Une orgie d'obscène, d'affreux et d'incohérence la plus totale dans la myriades d'intrigues qui s'entremêlent (et n'aboutissent jamais).
Aronofsky en fait trop! Trop d'allégories, trop de références, trop de métaphores, trop d'acteurs qui surjouent, pour finalement ne laisser q'un piètre message.
Tout ça pour ça??
Comme souvent maintenant, le cinéaste tente de créer la sensation en prenant en otage le spectateur par le jeux de caméra qui bouge dans tous les sens. Associez à cela, des images répugnantes, des hurlements incessants et le seul effet que vous obtenez c'est un ticket gratuit vers les WC les plus proches pour gerber toute cette immondice.
Pas besoin d'aller au cinéma pour avoir de telles images en tête, ou de constater la décadence du genre humain, il suffit de regarder le journal télévisé de TF1ou bien de consommer allégrement des produits illicites en soirée (ou sur le tournage de Requiem for A Dream...).
Pas besoin d'un tel film, pour m'apprendre "en secret" le passé, le présent ou le futur de notre espèce.
Comment dire.
Un jeu d'acteur époustouflant ! Pourtant je suis pas fan de Jennifer !
Une ambiance du début jusqu'à la fin, oppressante, stressante !
Le fait qu'elle soit tout le temps filmé de près, peu être génant, mais amène vraiment un stress. Et on a l'impression d'être ce personnage ...
Après , réellement, je n'ai rien compris tout le long du film ...Je me torturais les méninges pour comprendre ... ! Heureusement à la fin on comprend un peu mieux ! On ressort de la salle en se posant des questions, on essaie d'avoir des réponses ! Je n'ai pas tout compris encore ... Je ne suis pas trop calé "Bible" ! Je vais surement me renseigner, le revoir aussi car maintenant que j'ai compris un peu mieux, cela peut m'éclairer !
Mais j'ai passé un vrai bon moment. Et juste Waouh , bordel quoi !
C'est pas le genre de films auxquels j'adhère néanmoins, j'applaudis la performance remarquable de Jennifer Lawrence qui est parfaite comme à son habitude. Cette nana peut vraiment tout jouer, quelle actrice talentueuse. Peut être un Oscar pour ce rôle ?
Plus oppressant serait dur à faire...
J'ai sûrement loupé pas mal de nuances et références, il y en a tant. Ça part quand même dans tous les sens par moment. Je reprocherais certaines transitions bien qu'en y réfléchissant, elles donnent de l'appui à la fin -ou le début -.
On se sent quand même réellement mal à la fin de la séance.
Voilà ce que j'ai pu lire :
Spoiler (explication du film ) Lui, c'est Dieu (il est écrivain, il créé). Elle, Dame Nature. La maison, c'est la Terre. Dame Nature prend bien soin de la maison/Terre. Le mec qui arrive, c'est Adam. Dieu lui enlève une cote pour créer Eve (on le voit brièvement à sa blessure dans le dos). La nana qui débarque, c'est donc Eve. Elle représente la tentation, la luxure. On apprend que Dieu ne considère plus autant la Terre comme avant et qu'il envisage d'y introduire la vie, il veut que sa fourmille ! La pierre dans son bureau représente la pomme interdite à laquelle Adam et Eve ne résistent pas (ils la cassent). Dieu est en colère et les chasse du paradis (la maison est appelée paradis au début du film, le paradis c'est la partie haute de la maison et effectivement les invités se réfugient dans une chambre en bas). Adam et Eve procréent. On voit apparaître leurs 2 fils (Abel et Cain) qui, comme dans la Bible, se battent et l'un est tué par l'autre. Du monde arrive dans la maison : c'est la Terre qui se peuple de plus en plus. Il y a un manque de respect des humains envers la maison/la Terre. La Terre en colère pète son câble : le lavabo cassé représente le Déluge. La Terre est inondée et les humains disparaissent de la maison/Terre. Dieu donne la vie via Dame Nature : ce sera Jésus qui reste au chaud dans le ventre (la femme tombe enceinte). Dieu est inspiré : il rédige un texte sacré (l'Ancien Testament ou les 10 commandements mais j'opterais plus pour le Testament vu qu'on y apprend la création de la Terre lorsqu'elle lit le texte). Le texte est adoré par tous les humains. Dieu a maintenant des fidèles, il aime être adoré et il adore les humains car ceux-ci le vénèrent. Il en oublie la Terre/Dame Nature parfois. Le boucan dans la maison correspond à la surpopulation, aux guerres de religions (CRS, bagarres), à la destruction de la nature (la maison est ravagée). Dieu essaye de protéger et la nature/Terre et les humains en même temps (il dit que ce n'est pas grave, qu'il faut excuser es humains, il les aime trop et ne sait pas les arrêter, comme si c'était ses enfants). Jésus naît. Jésus reçoit des offrandes (les rois mages?). Dieu laisse les humains dans la maison/sur Terre (malgré leur comportement) et leur amène Jésus. Jésus est sacrifié, les humains boivent son sang et mangent son corps (le vin et Ostie). Encore une fois, Dieu veut tout pardonner aux humains, il ne leur dit rien, il n'intervient pas, silence radio. Mais c'en est trop pour la femme/la Terre, elle se consume peu à peu. C'est trop tard, la Terre explose (Apocalypse). Dieu recrée un nouveau cycle. Voilà le débat est ouvert !"
Absolument génial: radical, puissant et d'une beauté hors norme.
J'ai eu une interprétation totalement différente par rapport à Prissy, je ne mentionnerais que la phrase "Te voila enfin Inspiration"
Pour moi c'est l'histoire d'un auteur qui se bat avec lui même pour mettre au monde son roman avec son inspiration qui est plus ou moins coopérative. Le regard des autres l'attire autant qu'il fait peur à son inspiration, l'intrusion de distraction empêche son inspiration de s'épanouir. Bref... Libre d'interprétation ^^
(et je suis allé avec une amie qui a compris exactement la même chose que moi ^^ )
[spoiler] Il me semble que le récit qu'on pourrait qualifier de réécriture biblique, très net dans Mother! et la métaphore filée de la création artistique qui dégénère sont très étroitement liés voire indissociables ici.
Du côté de la création, la muse façonne la maison (espace mental de l'artiste / poète). Le Poète, sous l'impulsion de l'Inspiration, crée une œuvre littéraire. L'arrivée du couple (Adam et Eve) dans la maison (espace mental) peut être apparentée à la création des protagonistes du récit du Poète. Il les crée de façon analogue à celle dont Dieu crée les premiers hommes. L'artiste s'identifie - consciemment ou non - à Dieu, en temps que créateur. De la même manière qu'Adam et Eve échappent à l'autorité de Dieu, les personnages du Poète s'autonomisent et vont à l'encontre de l'inspiration première en brisant la pierre du Poète. Cette autonomisation est à la fois propre à la création - l'artiste n'est pas complètement maître de son œuvre dans le processus créatif, un hasard persiste toujours et, dans le cas de l'écriture d'un roman, les personnages acquièrent souvent leur propre logique, indépendamment des volontés premières de l'écrivain - mais découle également d'influences extérieures. Les personnages imaginés par le poètes et "invités" (ou "imposés", selon le point de vue) dans son espace mental sont potentiellement des personnes réelles dont les personnages sont inspirés voire des incarnations d'idées suggérées par un tiers (l'éditeur, le producteur, etc...). Cette autonomisation va jusqu'au meurtre du fils cadet du couple des protagonistes par son aîné. Une fois encore référence biblique, une fois encore les personnages dépassent le Poète de même que l'humanité dépasse Dieu. Le Déluge, qui découle à la fois de la surabondance des idées parasites dans l'espace mental du Poètes (foule d'invités) que de l'Inspiration qui les chasse, permet au Poète de faire le vide, de remettre en ordre ses idées et de s'adonner à la création pour rédiger son manuscrit. Son espace mental est épuré comme la Terre suite au déluge mais, de même qu'une partie des êtres vivants ont survécu sur l'arche de Noé, le Poète a gardé des idées et, sous l'impulsion de l'Inspiration, il se met à écrire. L'autonomisation de la création n'est pas strictement condamnée car elle est partiellement ce par quoi le récit existe, c'est son autonomisation à outrance qui est ici présentée comme dangereuse...
Le manuscrit achevé est ce que le Poète va soumettre au public, au marché. La maison symbolise l’œuvre idéale souhaitée par l'Inspiration. Elle est d'ailleurs le cadre de l'histoire écrite par le Poète, comme on le voit lors de la lecture du manuscrit par la muse. L'enfant qu'ils ont ensemble est la synthèse des deux : l’œuvre idéale réalisée. Incarnée. Seulement, alors que la maison, sous l'impulsion de la muse, se conforme de plus en plus au Paradis dont elle rêve (notamment avec l'installation de la chambre d'enfant), le Poète de son côté soumet son manuscrit à sa maison d'édition. De nouvelles idées parasites, cette fois sans aucun doute d'origine extérieure, viennent polluer son œuvre. Le Poète se réjouit d'abord que ses lecteurs lisent sans son œuvre une multitude de sens et s'y impliquent personnellement, s'y identifient, mais l'Inspiration, elle, est perturbée par le fait de ne pas être reconnue : les lecteurs s'approprient le récit du Poète au point de ne plus percevoir les motivations premières de ce dernier, tout comme les fidèles se fourvoient sur les commandements de Dieu qu'ils interprètent à leur guise, selon leurs besoins. La figure de l'éditrice fait alors son entrée dans l'espace mental du Poète. Elle salue d'abord l'Inspiration, à qui le manuscrit doit son succès commercial à venir. Cependant, un peu plus tard, l'éditrice ordonne la mise à mort de cette même Inspiration, acte qui symbolise la pratique courante des éditeurs qui demandent X remaniements dans un manuscrits jusqu'à aller parfois à l'encontre de ce que veut écrire l'auteur lui-même. On observe une pratique analogue de la part des studios vis à vis des réalisateurs de cinéma dont les ambitions créatives sont parfois - et souvent - bridées, question de budget, de marketing, etc... Le fanatisme excessif et souvent essentiellement individuel à l'égard d'un Dieu incompris peut être ici assimilé à une forme de consumérisme qui balaye l'inspiration des artistes au profit d'une distribution de masse.
Le Poète est tiraillé entre le besoin de reconnaissance de son public (qui lui demande de sacrifier son Inspiration) et son Inspiration (qui lui demande de faire fi de l'avis du public, et donc potentiellement de tomber dans l'oubli). De même, Dieu est tiraillé entre sa création (libre à chacun de juger s'Il a besoin de la reconnaissance des hommes ou s'Il n'éprouve pour eux que compassion) et les valeurs perdues par cette dernière. Ainsi, tout comme Dieu envoie aux hommes son Fils pour leur transmettre l'amour et les aiguiller sur le droit chemin, le Poète présente son fils (la création idéale sortie des entrailles de l'Inspiration) à la foule de ses lecteurs / idées parasites. Il espère ainsi leur faire comprendre la beauté et le bien-fondé de son œuvre idéale mais la foule, au lieu d'admirer, consomme ladite œuvre, la dévore sans considérer toute l'humanité qu'elle contient (ici au sens propre puisqu'il s'agit d'un bébé...). L’œuvre idéale est réduite en charpie, saccagée par le public / les idées parasites.
L'Inspiration triomphe brièvement du Poète-grand-public en détruisant l'espace mental en vue de le purger, tout comme les valeurs de Dieu triomphent de sa compassion / de son besoin des hommes lorsqu'il les abandonne à l'Apocalypse. Mais le monde renouvelé inspiré par l'amour, ce nouvel espace mental inaugurée par une nouvelle muse, n'est qu'un nouveau désastre à venir. Dès que l'amour (l'amour-propre du Poète lui-même, également) sera brisé par ses élans créatifs et ses influences, le spectre de l'échec précédent disparaîtra sans doute pour plonger une nouvelle fois le processus créatif dans le chaos le plus total.
Mother!, c'est l'histoire cyclique d'un artiste qui ne parvient jamais à donner vie à l’œuvre qu'il désire créer, parce qu'il désire tout autant que cette œuvre (et que lui-même, au travers de cette œuvre) soit aimée du plus grand nombre. Il n'est que le Dieu imparfait de sa propre création, d'autant plus imparfait qu'il s'identifie lui-même au Créateur par excellence dans son espace mental pourtant parasité. Aronofsky y traite de la création, en général : la création divine/biblique, la création artistique, la création de la vie,... Sans distinction, car aucune de ces créations ne diffère au final beaucoup des autres. [/spoiler]
J'ai même pas de mots pour décrire l'expérience qu'à été le visionnage de ce film, et on l'a déjà bien assez décrit dans les commentaires précédents. On aime ou on n'aime pas, je crois que quand on n'aime pas c'est soit qu'on n'a pas compris le fond de cette histoire, soit qu'on l'a compris mais qu'on ne veut pas y croire.
Mother! c'est surtout Mother Nature, et si au début on peut avoir du mal à comprendre d'où vient cette notion, à la fin du film cela ne fait plus aucun doute. Le tout est particulièrement brillant. Mais c'est aussi un film éprouvant à regarder. Je n'ai pas encore trouvé un seul mot qui puisse décrire ce film et ce que j'ai ressenti en le regardant, un seul mot ne suffirait sûrement pas, de toute façon.
Mais c'est un film à voir (à revoir si on en a les tripes).
WHAT
THE
FUCK ?
Jamais un film ne m'avait fait cet effet là, j'ai l'impression d'en etre ressortie ravagée, retournée. Il prends aux tripes non stop, en continu, toujours plus, encore et encore.
Je vais avoir besoin de plusieurs jours pour que ça décante, y'a tellement de niveaux de lecture possibles, ça donne limite le vertige
Franchement, c'etait un film extraordinaire, mais je sais pas si je pourrait le revoir
TROP CHE-LOU.
wouah mais quelle puissance,je suis sortit de la salle(oui chez moi les film sorte 2 ans après)j'était préparateur de commande avant de voir ce film depuis je me suis lancée dans l'écriture avec l'aide de ma femme qui a décide de devenir dame nature et nous avons pour projet de mette feu a notre appartement
Il pouvait pas faire un bon film avec le même message ? Car un fimm pareils pour donner des leçons sur l'humanité merci. J'ai perdu 2 h de ma vie.
Vu une fois au ciné, puis une fois au calme chez moi... Et putain quel film ! L'ambiance ultra anxiogène, le jeu d'acteur, la réalisation, tout est magnifique dans ce film. Seul tout petit bémol, on a un peu l'impression que Aronofsky essaye tant bien que mal d'enfoncer comme un bourrin autant de symboles qu'il peut dans un sac beaucoup trop petit, rendant le tout parfois un peu bordélique. Mais à part ça, excellent.
Voila un film éprouvant mentalement avec ce sentiment d'intrusion constante, cette impression d'être débordé, envahis, on a envie de hurler avec Jennifer Lawrence.
Puis les 30 dernières minutes qui deviennent infernales et d'une dureté incroyable et difficilement supportable (avec l'enfant), et enfin la fin qui permet plus ou moins de comprendre ou a voulu en venir ce film.
Il ya beaucoup de lectures possible je pense, notamment l'épreuve d'une mère face au fait de donner la vie mais il y en a d'autres que je n'ai certainement pas encore compris,
Mais la plus grosse interprétation est clairement Biblique, Aronofsky l'a réinscrit dans une thématique plus intimiste plus proche du simple artiste qui cherche à créer, peut être veut'il aussi nous faire part de ses propres démons,
Mais c'est cette lecture mythologique qui m'a le plus marqué,
Entre Barden qui est un dieu (le créateur/écrivain) qui semble être adoré par une foule de fous furieux et la première famille comme dit plus haut par Cliffhunter est celle d’Adam et Ève et le fratricide de Caïn,
Le film dépeint tout du long cette déchéance de l'humanité aveuglé par son adoration d'un dieu qui ne semble avoir aucun contrôle sur sa création.
C'est vraiment flagrant, sur la scène d'avant la naissance ou une succession de situations montre l'évolution de des Hommes dans ses pires vices,
Enfin Mme Lawrence qui incarne au final notre bonne vielle terre, qui subit notre irrespect total de la nature et qui tente un temps de la réparer de masquer nos erreurs, mais la terre reste marqué, imbibé du sang que l'on verse, de la violence et la folie, finalement folle de rage devant tant de saccages elle déclenche l’apocalypse pour tous nous éradiquer de sa "maison" ...
Une sublime critique de notre société actuelle, avec une vision bien pessimiste sur notre avenir... mais quel film !
Personnellement, il a cristallisé tout le mal que je pense de la majorité de tous ses idiots qui peuple la terre et nous entraînent vers un avenir peu radieux, il a réussi a retranscrire ce sentiment d’oppression que je peux ressentir fasse a toute cette folie qui grandit, alors je dit BRAVO !
Mais je le dit le cœur triste.
Techniquement, c'est parfait. Métaphorique jusqu'à l'implosion, c'est un thriller qui réussit haut la main son objectif : faire cogiter en écœurant. Et si je suis subjuguée par le talent qui s'illustre à chaque scène, la violence innomable et sa signification m'ont déplu. J'ai été aussi conquise par la mise en scène que déçue par son message.
Une jolie baffe. J'ai lancé ce film un peu au hasard, je ne savais pas qui jouait dedans, qui l'avait réalisé, ni de quoi le sujet allait traiter. Je pense donc avoir profité des meilleures conditions pour apprécier un premier visionnage, vierge de toute orientation préalable. J'ai même omis le générique du début du film donc jusqu'à la fin, je ne savais pas qu'Aronofsky était aux commandes.
Les questions fusent au fil du film, et ce, dès la première image : dans quoi suis-je tombé ? Emporté par le tourbillon, je n'ai pas pris le temps d'essayer de trouver les interprétations subtiles ou non, posées ici et là par le réalisateur. J'ai juste englouti visuellement et surtout auditivement cette déferlante tantôt angoissante, tantôt reposante, tantôt... Tantôt complètement indescriptible tant on nous entraîne dans l’inattendu et la surenchère.
Le savoir faire et la maîtrise en matière de mise en scène heurtent quasiment tout de suite : les gros plans sur les visages c'est simple, mais ça fonctionne ici à merveille. On se sent immédiatement enfermés ou au contraire, on respire la liberté.
Puis, une fois la projection terminée, vient l'heure des questionnements et des interprétations et là, toute la force du film te prend la face et t'englobe et tu te dis que tout ça c'est fou. Et que ce film là, tu vas filer l'acheter parce qu'il vaut LARGEMENT le coup.
Un film magnifique. Une vraie claque, dans la puissance de ce qu'il nous fait ressentir, dans le rythme changeant et servant si bien le propos. On essaye de comprendre, de trouver à quoi se rattache la symbolique ; on comprend vite qu'il s'agit d'un film métaphorique. Finalement, la fin apporte une lumière sur l'interprétation à avoir, et tout est alors à repenser avec cet élément.
Aronofsky a le don de nous faire lire entre les lignes de ses oeuvres, de nous faire interprèter ses choix scénaristiques, puis de nous interroger à la lumière de nos connaissances, de notre expérience. Ses films sont véritablement un pont entre lui et nous, l'antichambre de sa conscience à laquelle il nous invite ... À nos risques et périls.
De la merde. C est comme une sculpture conceptuel, si il faut 15 min d explication avant de voir l oeuvre c est qu' elle n est pas reussie. Passez votre chemin
Nul ! Merci d'arrêter d'adapter la bible au cinéma. Ca donne de la branlette intellectuelle capillo-tractée. Merci.
Clairement j'avais envie de mettre des paires de baffes tout le long de ce film, qui est tout sauf bien. Dommage avec un casting prometteur. Il y a rien qui peut le qualifier d'horreur a part son rendu final.
Si vous voulez ne rien comprendre pendant 1h54 et avoir 1mn à la fin une pauvre explication, ce film est fait pour vous.
J'ai vu une scène, j'ai eu envie de gerber / déféquer.
ça sera suffisant pour moi..
La multi lecture est un poil reloue mais quelles scènes !! C’était exceptionnel comme film faut le dire