Robert Enrico Robert Enrico, Pascal Jardin et Claude Veillot Philippe Noiret, 
Romy Schneider, Jean-Paul Cisife...
L'action se déroule en 1944, à Montauban. Le chirurgien Julien Dandieu y mène une vie paisible avec sa femme, Clara, et leur fille Florence. Cependant, l'invasion allemande ne peut le laisser indifférent : préférant les savoir éloignées des tourments de cette guerre, Julien demande à son ami François de conduire Clara et Florence à la campagne, où cette famille possède un château, véritable forteresse médiévale qui surplombe un village. Une semaine plus tard, ne supportant plus l'absence des siens, Julien rejoint sa famille pour découvrir, avec effroi, que les Allemands ont déjà semé la terreur dans le village.
Philippe NoiretRôle principal
Romy SchneiderRôle principal
Jean-Paul CisifeRôle principal
Jean BouiseRôle secondaire
Joachim HansenRôle secondaire
Robert HoffmannRôle tertiaire
Karl Michael VoglerRôle tertiaire
Madeleine OzerayRôle tertiaire
Marie-Blanche VergnePetit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Antoine Saint-JohnPetit rôle
Merci à Benben qui a créé cette fiche
3
Philippe Noiret est énormissime dans ce film... Rah, une "superbe" mise en scène de la folie humaine.
J'ai été très étonnée de ce film, il montre la folie ainsi que la vengeance et Noiret est vraiment bien
Un peu déçu :-(. Bon, le film a vieilli, il faut le prendre en compte, mais j'ai trouvé qu'il y avait un grand manque d'émotion ici, avec un Philippe Noiret qui a du mal à nous montrer sa "folie" et sa vengeance. Bon, je dis ça, c'était tout de même plaisant à voir, quelques petits trucs bien sympas. Et il est assez original, ce thème abordé durant la seconde guerre mondiale est rare. Un bon film donc, mais j'en reste là ^^ (P.S. : heureusement que les nazis sont idiots dans le film hein... :p)
Je reste choqué :-S par quelques scènes de ce film, pas sûr que ce serait filmé ainsi en 2014, pour exprimer la même chose.
Les barbaries ont cependant existé et sont encore malheureusement d'actualité aujourd'hui, elles doivent être dénoncées.
Un Rambo qui devient touchant seulement par la bedonnance de Philippe Noiret, corps hors-norme et légèrement gauche dans le costume de ce mari qui souhaite venger sa femme et sa fille. Le méchant est méchant, le gentil est gentil. Au-delà de ça, une mécanique trop sirupeuse et systématique à coups de flashback où, avouons-le malgré tout, Noiret et Schneider sont l'incarnation de la tendresse et de la grâce (mais comme dans tous leurs films respectifs). Je partage avec Touket un manque criant d'émotions à cause justement de l'envie du réalisateur d'en faire trop.