De son enfance difficile en Pologne en passant par son adolescence sous le soleil de Nice, jusqu’à ses exploits d’aviateur en Afrique pendant la Seconde Guerre mondiale… Romain Gary a vécu une vie extraordinaire. Mais cet acharnement à vivre mille vies, à devenir un grand homme et un écrivain célèbre, c’est à Nina, sa mère, qu’il le doit. C’est l’amour fou de cette mère attachante et excentrique qui fera de lui un des romanciers majeurs du XXème siècle, à la vie pleine de rebondissements, de passions et de mystères. Mais cet amour maternel sans bornes sera aussi son fardeau pour la vie…
Source : Allociné
Adapté du livre La Promesse de l'aube de Romain Gary
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Non renseigné
Merci à Juliette2a qui a créé cette fiche
Ce n'est pas du tout le genre de film que j'irais voir habituellement ! Mais au final, j'ai passé un bon moment malgré quelques longueurs ! C'est assez intéressant au final, mais surtout : Ca joue superbement bien ! C'est ce qui fait tout le film.
Loin de rendre hommage à la plume indécemment belle de Romain Gary, cette adaptation a le mérite de proposer tout de même quelques séquences marquantes et bien réalisées, à l'image de la Bataille d'Angleterre par exemple. Mais elle souffre également du syndrome "du livre à l'écran" et omet selon moi des passages ou des détails importants qui auraient pu donner au film beaucoup plus de profondeur et de compréhension du personnage.
Je n'irai pas jusqu'à qualifier ce film de "Promesse d'une daube", mais on est tellement loin du niveau d'une phrase du style "j'esquissais, à l'intention de mes camarades, ce geste expressif, le médius soutenu par le pouce et animé d'un mouvement vertical de va-et-vient", loin de la naïveté drôle décrite par Romain Gary...
Il faut donc reconnaître qu'adapter un tel roman était une gageure, et le résultat, plutôt honorable, peut au moins donner envie se plonger dans l'un des plus beaux textes de la littérature contemporaine.
J'ai découvert Pierre Niney dans Burger Quiz... :p Mais la je suis franchement impressionnée par son travail *.*
c'est ... fonctionnel ... pas de grandes fulgurances malgré une cinématographie et un jeu d'acteur maitrisé tout au long (sauf peut-être les passages en avion, c'est un peu n'importe quoi ). La partie au Mexique me parait totalement superflue, je ne vois pas l'intérêt à la fin de montrer un Romain expliquer que sa mort mourra sans rien savoir, d'abord parce qu'on vient de le voir et de le comprendre, et ensuite c'est l'antithèse du reste du film qui montre que l'acharnement de sa mère lui permet de devenir ce qu'il est. Il la remercie elle, tout comme il remercie la France en temps que mère patrie. Si on considère La Promessde de l'aube comme une œuvre patriote, une lettre d'amour, à sa mère, la France alors la fin oublie ça. Et alors la musique bah ça repompe du Max Richter .
ça me donne presque envie de voir le film de 1970.
Gros Mytho