La colère peut se contenir, mais Raúl Arévalo lui n'attend pas une seconde pour faire démarrer son film La colère d'un homme patient sur les chapeaux de roue. Dès le début, la scène d'ouverture donne le ton. Image grossière et imperfection de la pellicule dépeignent une scène de braquage raté avec les conséquences qui s'ensuivent : accident de voiture violent et direction prison.
Huit ans plus tard, dans ce quartier espagnol, tout le monde a oublié le casse foiré et les morts laissés sur le trottoir.
Tous sauf un.
Depuis la scène d'ouverture, vous êtes saisi et ce thriller ne vous lâchera pas! Pas de temps mort, seul des hommes mourront. Film espagnol, l'univers hispanique est très bien retranscrit à l'image : séduction, danse, chaleur, regards intenses, excitation, passion...tout y est. Les éléments phares du thriller y sont également : tension, mystère et brutalité font mouche dans ce film. Vous n'appréciez pas les films à rallonge où des hommes parlent, parlent, encore et encore? Ca tombe bien, Raul Arévalo fait dans la sobriété et l'efficacité. Durant l'heure et demi, les dialogues, scènes d'action et la musique se lient parfaitement jusqu'à ce que le spectateur ne retrouvent plus son souffle. Peu importe l'évolution des personnages durant les huit années, José tient à ses principes et sera inflexible. Cet homme rongé, Antonio de la Torre l'a parfaitement intériorisé pour l’interpréter avec justesse. Crédible et convaincant, José devient rapidement flippant.
Comme diraient certains dans le film : "les amis c'est sympa mais la famille c'est le sang! "
Euh... j'ai trouvé mon souffle moi. J'ai soufflé parce que c'était bien long. Rien de nouveau sous le soleil et zéro pointé en empathie envers l'ensemble des personnages.
Alors oui y a quelques scènes rigolotes due à l'improbabilité du duo. Mais franchement ce film ne révolutionne pas le genre et je l'aurais oublié d'ici 3 jours.
Ma critique à lire sur mon blog :http://reglisseaupaysdesmerveilles.blogspot.fr/2017/04/la-colere-dun-homme-patient-un-eclair.html
La colère peut se contenir, mais Raúl Arévalo lui n'attend pas une seconde pour faire démarrer son film La colère d'un homme patient sur les chapeaux de roue. Dès le début, la scène d'ouverture donne le ton. Image grossière et imperfection de la pellicule dépeignent une scène de braquage raté avec les conséquences qui s'ensuivent : accident de voiture violent et direction prison.
Huit ans plus tard, dans ce quartier espagnol, tout le monde a oublié le casse foiré et les morts laissés sur le trottoir.
Tous sauf un.
Depuis la scène d'ouverture, vous êtes saisi et ce thriller ne vous lâchera pas! Pas de temps mort, seul des hommes mourront. Film espagnol, l'univers hispanique est très bien retranscrit à l'image : séduction, danse, chaleur, regards intenses, excitation, passion...tout y est. Les éléments phares du thriller y sont également : tension, mystère et brutalité font mouche dans ce film. Vous n'appréciez pas les films à rallonge où des hommes parlent, parlent, encore et encore? Ca tombe bien, Raul Arévalo fait dans la sobriété et l'efficacité. Durant l'heure et demi, les dialogues, scènes d'action et la musique se lient parfaitement jusqu'à ce que le spectateur ne retrouvent plus son souffle. Peu importe l'évolution des personnages durant les huit années, José tient à ses principes et sera inflexible. Cet homme rongé, Antonio de la Torre l'a parfaitement intériorisé pour l’interpréter avec justesse. Crédible et convaincant, José devient rapidement flippant.
Comme diraient certains dans le film : "les amis c'est sympa mais la famille c'est le sang! "
Plutot pas mal vu le petit budget du film.
ps: VO obligatoire
Euh... j'ai trouvé mon souffle moi. J'ai soufflé parce que c'était bien long. Rien de nouveau sous le soleil et zéro pointé en empathie envers l'ensemble des personnages.
Alors oui y a quelques scènes rigolotes due à l'improbabilité du duo. Mais franchement ce film ne révolutionne pas le genre et je l'aurais oublié d'ici 3 jours.