Sur la Terre dominée par des singes, Caesar, pacifique, doit affronter le général gorille Aldo. Mais une autre menace fait son apparition : des mutants commandés par le gouverneur Kolp.
-(Source: Allociné)
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Le dernier de la saga des années 60-70, il est plutôt réussi. Le jeu d'acteur, les maquillages et l'ambiance n'ont pas vraiment changé, la manière dont a été tourné le film (une sorte d'histoire qu'on raconte aux petits) était plaisant. Et puis, dans cet opus, j'ai retenu cette "magnifique" phrase qui en dit malheureusement beaucoup sur l'humanité, lorsqu'un être humain parle à propos des singes : "Je crois qu'on peut dire qu'ils sont devenus aussi humains que nous". Remise dans le contexte du film, autant dire qu'on reçoit une énorme enclume sur la tête...
L'épilogue de la saga est aussi celui qui lui fait sacrément remonter la pente et met un point final à la série d'une jolie façon... Même si j'aurais préféré éviter la happy end ! Exit la réalisation vintage, cette fois-ci les mouvements de caméra sont fluides et l'image est belle. Le passage dans les ruines de New York est l'occasion d'apprécier d'assez bons décors post-apo et l'ambiance un poil angoissante est bien retranscrite. L'héritage des précédents films vient peser de tout son poids sur celui-ci, et j'ai, comme Touket, été blasé par la façon dont les singes sont devenus égaux aux humains. Bien content d'avoir enfin pu voir de bout en bout ces films cultes de la science-fiction !
Peut-être la suite de trop ? Je ne sais pas. En tout cas la fin m'a bien plu !
J'ai bien aimé le début jusqu'à la recherche dans la cité en ruine, après on retombe sur une histoire ridicule qui n'apporte rien à cette saga vraiment très inégale.
Episode qui n'est là que pour apporter une note positive en concluant la saga mais avec un manque de moyens qui se fait à nouveau ressentir contrairement aux 3 et au 4 qui s'en sortaient mieux grâce au contexte plus humain.