En Californie, le port d’Antonio Bay fête son centenaire.
La légende raconte que les marins d’un navire naufragé un siècle auparavant, reviendront se venger par une nuit de brouillard.
Le Révérend Malone découvre le journal de son ancêtre qui explique que le navire avait été coulé par six membres fondateurs de la ville. Pour expier leurs fautes, six victimes doivent périr. Or, une brume maléfique commence à semer la terreur et la mort sur son passage...
(Source : Allociné)
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Apparition
Apparition
Apparition
Sympa à voir, même s'il a un peu vieilli. Par contre, s'il y a quelque chose à ne pas manquer, c'est la bande-annonce : la voix sépulcrale qui annone FOOOOOOOG à plusieurs reprises est juste à mourir de rire !
Il n'a pas si mal vieilli que ça, de mon point de vue. Moi qui adore les années 1980, j'ai été plutôt séduite par l'ambiance de ce film et, outre la patine un peu vieillie du film, il regorge de plans vraiment plaisants.
Carpenter ait doué il arrive à rendre une brume angoissante.
Dommage que le film ait un gros coup de mou au milieu et que le scénario soit à la ramasse.
Plutôt sympa de le revoir en entier ! Car moi et mon courage d'il y a quelques années n'était pas présent ahahah , oui j'avais eu peur de cette brume angoissante
Plutôt pas mal dans l'ensemble, on retrouve du Carpenter dans ce qu'il sait faire de mieux, à savoir poser une ambiance à l'aide de cadrages minutieux, d'une photo sombre et d'une musique stressante. On retrouve d'ailleurs des notes qu'il réutilisera dans "Christine".
Ici aussi, les antagonistes sont déshumanisés, sans visage, on en verra que la silhouette, ou les bras momifiés.
On peut préjuger de l'utilité du rôle de Jamie Lee Curtis qui ne sert vraiment à rien (tu l'enlèves du film, il se passe exactement les mêmes choses tout du long).
C'est peut-être une mauvaise interprétation de ma part car je suis en train de relire l'intégrale de Lovecraft mais j'ai trouvé qu'il émanait de "The Fog" une atmosphère qui n'aurait pas déplu à l'écrivain de Providence.
Pas trop bien vieilli :/