La première fois qu'Arnie vit Christine, il tomba en extase devant cette beauté aux formes éblouissantes. C'était dit, ils allaient lier leurs destins pour le meilleur et pour le pire. Mais Christine, la belle Plymouth, modèle 57, n'aime pas trop les rivales. Gare à celles qui voudront approcher Arnie!
(Source : Allociné)
Adapté du livre Christine de Stephen King
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Apparition
Merci à Benben qui a créé cette fiche
Le livre est bien, l'adaptation aussi. Un peu vieilli, mais très agréable.
Moins dense que le roman et même si le film a un peu vieilli Carpenter reste vraiment un des meilleurs réalisateurs toutes époques confondues.
Je trouve que ce film ne vieilli pas et je suis complètement contre un remake car je ne pense pas qu'ils pourraient faire mieux que ça.
Et c'est très fidèle au livre !
Pas mal. Le film a pris un léger coup de vieux, mais reste enthousiasmant. Il y a des scènes bien chouettes !
Vue pour la première il y a plus de 15 ans maintenant lorsque j'étais enfant, il ne m'en restait qu'un vague mais tenace souvenir.
Une histoire intemporelle et un message universelle.
Arnie un lycéen lambda peu populaire mal dans sa peau et quelque peu malmené, trouve comme seule consolation la restauration d'une Plymouth abandonnée. Le film est une sorte de célébration de l'obsession de l'Amérique pour l'automobile qui se reflète au travers du conducteur. Ainsi dans le film, Arnie passe beaucoup de temps avec sa belle à tel point que certains le disent "obsédé" par elle.
Ce qui est intéressant c'est que le personnage d'Arnie évolue en symbiose avec sa voiture, comme si l'un puisait dans l'autre, plus il l'a restaure et plus [spoiler] il gagne en assurance mais cela l'impacte aussi physiquement jusqu'à ne plus avoir besoin de porter ses lunettes de vue et modifie aussi son comportement. On passe d'un personnage totalement transparent à un homme transformé comme en témoigne ses nouveaux vêtements aux couleurs de Christine. [/spoiler]
Mais le personnage centrale de l'histoire c'est bien Christine, on nous la montre des le début du film sur la chaine de montage de l'usine qu'elle est différente des autres car c'est la seule d'un rouge flamboyant. Elle jouit d'une aura maléfique renforcée par des scènes forte comme [spoiler] lorsque elle est en feu [/spoiler] d'ailleurs la couleur rouge n'étant pas anodine symbolisant la puissance et l'énergie mais aussi la l'amour et la sensualité.
Arnie se lie a Christine comme il le ferait avec une femme de manière presque charnelle à voir la façon dont il tripote le tableau de bord, ça vient peut-être de là le nom féminin mais je surinterprète sans doute.
J'aime aussi l'idée que [spoiler] plusieurs personnes soient mortes dans le véhicule, [/spoiler] avant que le protagoniste ne l'a rachète, soit une allégorie au consumérisme, "ce que nous possédons finit par nous posséder".
Une œuvre intemporelle qui traite des thématiques comme l’adolescence, le consumérisme et la technologie envahissante, et universelle car beaucoup de gens peuvent s'identifier à Arnie encore aujourd'hui et développer le même type d'attachement passionnel qui lie l'homme à la machine.
En tout cas très belle redécouverte pour moi, le film est vraiment dingue, je rejoins les avis positifs je trouve qu'il n'a pas vieilli du tout, je vous conseille de le voir en 4k le traitement qu'à subit l'image pour la remasterisation est excellente c'est l'une des meilleures que j'ai pu voir, les couleurs sont étincelantes et les chromes qui ressortent sont de toute beauté et cerise sur le gâteau la bande son est superbe !
19/20 !