Cloîtré dans une chambre d'hôtel de Saïgon, le jeune capitaine Willard, mal rasé et imbibé d'alcool, est sorti de sa prostration par une convocation de l'état-major américain. Le général Corman lui confie une mission qui doit rester secrète : éliminer le colonel Kurtz, un militaire aux méthodes quelque peu expéditives et qui sévit au-delà de la frontière cambodgienne. (Source : Allociné)
Adapté du livre Au coeur des ténèbres / Le coeur des ténèbres de Joseph Conrad
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Apparition
Apparition
Apparition
Merci à Benben qui a créé cette fiche
This is the end...
Gros casting pour un film de légende
Très bon film, excepter la fin que j'ai trouver c******.
La faute à Brando...
Réalisation d'un dossier complet de critiques avec 3 amis à lire sur mon blog :http://reglisseaupaysdesmerveilles.blogspot.com.ar/2017/08/dossier-complet-apocalypse-now.html
Voici un extrait avec ma critique :
Autant être clair avec vous : ce film n'a pas été réalisé pour plaire à tout le monde. En effet, de nombreux points peuvent appuyer ma pensée : le personnage principal, le capitaine Willard (Martin Sheen), n'est pas le personnage qui nous intéresse le plus, qui nous plaît le plus. A aucun moment, Francis Ford Coppola ne souhaite que nous aimions ou détestions ce capitaine. On semble simplement suivre ce dernier sans qu'il ne soit particulièrement intéressant. Et pourtant, il l'est... On peut également ajouter la durée du film. Certains diront que c'est bien trop long, qu'ils se sont ennuyés. Je peux comprendre mais ce ne fut pas mon cas. Francis Ford Coppola s'efforce de retranscrire des faits sans pour autant aller dans le sens du spectateur. Certains s'attendent à une autre fin ? Celle-ci était écrite et il la réalisa parfaitement. Dans l'ombre du capitaine Willard, nous remontons le fleuve pour arriver jusqu'au camp de Kurtz. Plus le temps passe et plus l'embarcation s'approche de sa destination, plus nous sommes plongés dans l'excursion intime des pensées du capitaine Willard. Cette excursion est également une avancée spirituelle dans les entrailles de Willard.
Apocalypse Now est un film fort pour de nombreuses raisons. Francis Ford Coppola prend le temps de faire les choses comme il l'entend afin de les faire bien. Il prend le temps de mettre en valeur son oeuvre cinématographique par de nombreux procédés : les travellings permettent de traiter l'ensemble du décor, de capter des éléments sous-jacents ; les fondus caméra expriment la folie et les images qui peuvent se superposer dans l'esprit des soldats. La musique et la photographie sont également particulièrement adéquats avec le sujet. FFC ponctue son film de nombreuses répliques cultes, de scènes contemplatives avec des paysages merveilleux. La justesse est l'une des grandes forces de ce film. De plus, le film se veut être un film engagé. C'est l'un des tout premier à critiquer de manière assumée l'enlisement de son propre pays dans la Guerre du Vietnam.
Vu en version Redux, peut-être pas la meilleure formule pour moi... 3h20 doivent être occupées et l'histoire peine quand même énormément à avancer. Tout tourne autour du mystérieux général qu'on trépigne d'impatience à l'idée de rencontrer, alors on attend Marlon Brando qui daigne se pointer au dernier quart d'heure et nous offre une excellente mais redoutablement courte performance.
On sent à quel point le travail a été acharné, encore plus lorsqu'on lit les récits témoignant du tournage infernal, récits qui rendent la critique difficile. Disons que j'aurais aimé qu'on creuse davantage la folie et qu'on étoffe les personnages. Pour ceux qui hésitent à se lancer, préférez la version originale (si elle est encore trouvable...)
Edit, juin 2021 : Quatre ans plus tard, un revisionnage s'imposait, et enfin, j'ai compris. Pas besoin de m'appesantir sur ce nouveau ressenti, il n'y a qu'à reprendre les quelques lignes précédentes pour toutes les contredire. Comble de l'ironie, j'ai cette fois préféré choisir la version "cinéma" de 2h20, en me souvenant de ma mauvaise rencontre avec la version longue du film : eh bien, arrivée à la moitié, complètement absorbée par ce que je voyais, je suis allée chercher la version Redux pour allonger l'expérience d'une autre heure. C'est un long film, où la cruauté est écœurante, et le crescendo vers l'enfer, suffoquant. Quatre ans, le temps de passer de l'adolescence à l'âge adulte, ce qu'il me fallait pour rejoindre l'engouement.
L'ambiance du film est vraiment captivante et permet de traverser ces 3h20 de film (presque) sans s'ennuyer. La violence présentée à l'écran est vraiment froide et dure à encaisser, mais permet de se plonger dans ce conflit de manière assez réaliste.
L'énorme point noir de ce film selon moi, c'est ses personnages. Ayant pour point de repaire un personnage principal fade et complètement osef, on attend tout le film la confrontation avec le colonel Kurtz. Malheureusement, cette confrontation s'avère elle aussi décevante, les discours sont au final assez brouillon, et on ne comprend jamais complètement ses motivations.
Bref, j'ai adoré l'ambiance, j'ai trouvé l'histoire sympa, mais les personnages n'étaient pas à la hauteur, malgré de bons acteurs pour les interpréter.
Énormément de longueurs. Sympa à regarder une fois, histoire de ne pas mourir inculte :)
Vu la version final cut au cinéma.
Un grand film qui na pas volé sa réputation.
On suit avec terreur la progression de Willard jusqu'en haut de ce fleuve, sorte de descente aux enfer pour lui et ses hommes. La photo est grandiose, les mouvements de caméras le sont tout autant pour l'époque (la restauration en 4K de la final cut est magnifique) et on se laisse porter au fil de l'eau, allant de surprises en horreur.
Ce recréation du Vietnam est avant tout sensorielle et on en ressort éreinté. Les sons, la musique, l'image et avant tout la longueur du film nous poussent à la fatigue en attendant comme les protagonistes ce dénouement final qui ne semble pas venir. Mais quand arrive Brando, dans son rôle de dieu vivant, on se dit que l'attente valait le coût, tant la dernière heure semble être sortie d'un cauchemars sous acides.
Puis tout déborde de culte dans Apocalypse Now : les répliques, les scènes, la musique... Il est intéressant de constater à quel point ce long métrage est rentré dans l'imaginaire collectif.
Une expérience sur laquelle il ne faut absolument pas passer !
Assurément un grand film de guerre. La scène de l'attaque de la plage par la cavalerie aéroportée a ainsi rejoint à juste titre la légende du cinéma, avec un Robert Duvall génialement dingue. La mise en scène des combats est globalement de très haute qualité et la description de l'emprise mentale de la guerre sur les jeunes (et moins jeunes) soldats est saisissante. Comme d'autres néanmoins, j'ai été un peu frustré par la confrontation entre le capitaine Willard et le colonel Kurtz. Coppola semble avoir poussé un peu trop loin (et trop étiré) cette histoire de dérive sectaire, au bout de la rivière de l'Apocalypse. Excellent casting globalement, même pour les personnages secondaires.
Découvert la version redux, remasterisée, de 3h15. Un régal, même si j'ai largement préféré la première partie. La dernière heure tournant vraiment en longueur avec une fin un peu déroutante. De diou que ça fait bizarre de voir mon petit Harrison Ford avec une peau de bébé au début du film ! Bref, en terme d'ambiance et de réalisation c'est quand même du grand art.
J'ai vu la version longue et la version courte et j'ai lu le bouquin dont il est issu (avant d'avoir vu le film).
Points positifs : les décors, les figurants et les effets spéciaux sont au rendez-vous.
Point négatif : le film n'a aucun sens.
On est censé s'enfoncer dans la jungle et donc dans l'hostilité et on se retrouve à mélanger des scènes de violences et des scènes qui ressemblent être à l'arrière. On s'attarde sur la planche de surf mais pourquoi?
Pourquoi tout le monde a l'air de fumer de plus en plus la moquette au fur et à mesure qu'on avance dans ce film?
Pourquoi le héros se remet en question suite à ce qu'il voit alors qu'il a l'air déjà à l'ouest dès le début du film?
Que foutent des français armés au milieu de la guerre du vietnam?
Pourquoi ya un hippie dans le camp des tarés?
Tout le monde dans ce film est soit taré soit pas à sa place. J'ai lu énormément de critiques très fleuries qui prennent en compte l'esprit du tournage, mais le message s'il y en a un dans ce film s'est perdu.
Film dit légendaire depuis que je suis mome, une énorme déception après l'avoir vu.