Mijak a dit (19 Mars 2021 à 15:39)
Bon, pas un habitué ni fan des FPS et peu enclin au survival horror, j'aime pourtant l'ambiance et je suis friand de fantastique et horreur en général. Mais là clairement on est dans un jeu qui n'est pas fait pour moi.
J'y vois rien, incapable de garder mon sang froid, et je meurs asphyxié quand on doit porter un masque (je prends trop de temps à parcourir le niveau - problème de filtre)
Bref trop d'immersion et pas assez de sentiment de contrôle. J'arrête là.
Mijak a dit (17 Mars 2021 à 17:14)
Un hack n slash assez monotone j'ai trouvé, tout se passe sous la ville de Torchlight, dans des niveaux de plus en plus profonds. Je suis pas allé très loin dans l'histoire, mais je m'emmerde un peu. Alors certes, le principe du hack n slash c'est de toute façon courir partout, tuer tout ce qui bouge, et upgrader son stuff, mais certains jeux le font mieux que d'autres. Là le contexte, l'histoire, le monde autour semble avoir été réduit à son minimum. Du coup on a vraiment l'impression de faire une boucle de gameplay bête et méchante, sans rien autour.
Mijak a dit (15 Mars 2021 à 20:30)
Un bien bel rpg-tactique, dans l'univers du Donjon de Naheulbeuk : combats, expérience, équipement, coffres, énigmes, et du tour par tour sur une grille, placement important, etc.
Bref un tactical dans les règles, et un ton qui est celui du Donjon de Naheulbeuk, je pense qu'inévitablement ça parlera plus, au niveau de l'humour et du wtf, à ceux qui y sont déjà familier.
En normal le jeu n'est pas trop difficile ; les persos ont 10 niveaux max, et l'équipement est assez abondant (avec la revente j'ai fini avec plus de 100 000 PO). Les quêtes annexes sont là, toujours drôles, le donjon en lui-même est bien amené, plus haut et profond qu'on ne s'y attend, du coup on a vraiment l'impression d'une aventure, et c'est cool.
Comme j'ai lu, effectivement le problème de lenteur de l'IA pendant les combats peut être vite chiant, mais ce n'est pas non plus insupportable. J'ai trébuché aussi sur quelques bugs, mais assez peu, j'ai pu aussi passer au-dessus.
Équipement, compétences, attributs, le côté rpg est bien sympa est assez satisfaisant, pas usine à gaz mais pas pauvre non plus. Les compétences permettent ou obligent à se creuser la tête et agir avec tactique.
Bref donc un jeu très plaisant qui donne ce qu'il promet, j'ai trouvé.
Mijak a dit (01 Mars 2021 à 18:25)
Un de ces jeux où tu peux pas juste recharger une sauvegarde pour échapper au game over : c'est dès le début qu'il fallait jouer judicieusement.
Du coup bah die and retry...
Mijak a dit (01 Février 2021 à 13:34)
Bon je refais mon com, qui était un peu décousu.
Voilà donc, fini.
J'ai donc mis 15, un peu moins que son prédécesseur ; en effet je préférais l'histoire et l'implication du premier, qui était plus intimiste. Ici c'est un peu plus décousu, mais autrement plus riche, c'est vrai, puisque chacun des 6 personnages fait partie intégrante de l'histoire et nous en donne un aperçu différent. Ce qui me fait dire que je le recommencerai sûrement une fois prochaine, pour les deux qui restent.
On peut aussi personnaliser un perso hors scénar, mais je trouve ça dommage.
Mis à part ça j'ai trouvé le jeu un peu plus difficile que son prédécesseur (ou c'est ma build qui est foireuse). Parfois j'ai dû vraiment tâtonner et reload pour trouver la quête à mon niveau, après m'être fait écrasé mon équipe.
Voilà, c'est le seul soucis. Sinon tout est aussi bon que dans le premier, et je renvoie à mon pavé sur Divinity OS Enhanced Edition du coup. Richesse et profondeur de contenu et de gameplay incroyable, etc. Le 2 modifie quelques trucs côté compétences et gameplay, mais rien de fondamental.
Cependant, encore plus que le premier, ce Divinity OS se disperse et a des quêtes annexes qu'il est très facile de zapper si vous jouez RP (naturellement quoi), sans aller chercher des soluces pour regarder ce que vous manquez. Je comprends le côté réaliste de la chose "bah tant pis ! On peut pas tout voir !", mais d'un autre côté ça fait bien chier de passer à côté d'une partie des quêtes (l'alternative étant d'aller vérifier si on a tout trouvé sur le net).
Autre chose aussi, dans ce Divinity OS, contrairement au premier, il n'y a pas de backtracking : les zones sont closes après passage et on ne peut pas y revenir (vu l'organisation de l'histoire c'est logique, on s'en rend compte). Du coup c'est d'autant plus frustrant pour les quêtes qu'on a loupées.
Ensuite, comme pour le premier, beaucoup de contenu n'est pas explicité, pas indiqué, etc. On a encore trop peu d'indices pour le craft (le craft des armes et armures, j'ai JAMAIS utilisé, idem pour les parchemins). Bref le jeu par son silence rend lui-même pas mal de son contenu inutile.
Comme pour le premier ensuite, pas d'indication de niveau dans les quêtes, à vous donc de trouver celle à votre niveau, et parfois un mauvais choix de chemin ou choix de dialogue vous mettra face à un ennemi beaucoup trop haut-level pour vous.
J'ai enfin eu quelques bugs, je vais les lister ici :
- bug récurrent, pendant les combats, un objet (ou comp) en raccourci qui ne se sélectionne pas, parfois même en s'acharnant (une fois comme ça j'ai voulu sélectionner un parchemin en raccourci, ça me renvoyait sur le combat comme si rien n'avait été sélectionné, et ce 5 ou 6 fois de suite). Si on fait pas gaffe on peut déplacer notre perso sans faire exprès (et gâcher nos PA ou pire) et ça peut être très rageant.
- Autre bug, la barre d'ordre du tour en haut déconne parfois et ne permet pas de savoir qui va jouer, reste bloquée sur un personnage, etc.
- bug qui m'a bien énervé, mais n'en est pas vraiment un : certaines zones (hors ou en combat) en hauteur sont ingérables pas la caméra (qui ne peut pas dézoomer suffisamment), ce qui nous fait glisser en arrière plan, bien plus bas, parfois loin en distance, et déplace du coup la caméra d'un coup à un tout autre endroit. Quand en combat on peut pas viser un ennemi sur une plate-forme où la caméra ne peut pas aller, c'est très chiant. Mais les touches RB/LB pour passer au suivant peuvent palier à ça et gérer la cam automatiquement.
- encore un bug, très chiant celui-là car il m'a coupé d'une bonne partie du contenu du jeu : mon talent "ami des bêtes" ne fonctionnait plus dès Flottebois. Il a fonctionné un temps, puis plus rien, ensuite quand j'interagissais avec des animaux j'avais juste des meuh, des miaou ou des ouaf (ou autre...) comme les autres persos. Très chiant parce que c'est justement, comme pour Divinity OS 1, le premier truc que j'ai mis sur mon perso, vu son utilité dès le départ et tout du long, pour des quêtes ou des indices, bref encore une fois du contenu de jeu ici zappé.
Mijak a dit (24 Janvier 2021 à 15:26)
Bien sympa, très drôle :) Des clins d’œil, des références, des blagues inutiles à des moments wtf, le tout dans une ambiance SF, gg
Hélas pour la VOSTFR des incohérences de traduction entre descriptions et dialogues qui parfois rendent difficiles certaines énigmes (question de vocabulaire, pas nommé de la même façon).
Un petit bug, sur l'énigme des aimants, j'ai du recharger (les aimants ne bougeaient pas, aucune interaction). Dans un point & click c'est toujours chiant les bugs, parce qu'on ne sait pas si on est juste pas censé pouvoir faire telle chose, si ça ne fonctionne pas comme ça, ou si le jeu a un problème.
Ah oui j'ai aussi eu un bug avec les pigeons, je vais pas spoiler mais là encore une interaction était impossible dans un mini-jeu, j'ai dû utiliser la fonction de résolution automatique pour le coup.
La fin est inachevée, les jeux suivants doivent continuer et conclure l'histoire.
Mijak a dit (10 Janvier 2021 à 22:03)
Sympa :) Du puzzle-game qui oblige à s'extraire du problème pour le résoudre, à "thinking outside the box", ici basé sur le jeu avec les perspectives, ce qu'on voit est la réalité, et non l'inverse. Mais les prouesse du moteur que cela nécessite sont parfois pas au rendez-vous et ça peut provoquer des lassitudes ou des énervements. Le chargement du point de contrôle peut aussi parfois être nécessaire.
L'environnement et la bizarrerie wtf rappelle Stanley Parable, l'impression d'être un rat de laboratoire rappelle Portal, mais le jeu est néanmoins bien loin de ces derniers. Souvent il cherche surtout à en jeter plein les yeux tandis qu'on déambule.
Mais l'impression d'impossibilité - et soudain le "HA !" - est bien présente.
Mijak a dit (09 Janvier 2021 à 23:07)
Un jeu bien sympa à jouer en effet avec des gens qui parlent notre langue, autrement avec le tchat du jeu et en anglais c'est très compliqué.
Le jeu rappelle les jeux de société style Loup-garou ou autre de coopération-mais-pas-trop, avec un objectif commun (ici effectuer des tâches simples) et un ou deux saboteurs/traîtres/imposteurs qui les en empêche.
Comme pour le Loup-garou, il y a des réunions pour mettre à mort le suspect, seulement ici c'est dès qu'un cadavre est trouvé, et il n'y a pas d'obligation de tuer quelqu'un.
Bref un mélange de jeu de société avec les mécaniques du jeu vidéo très bien pensé, où le gameplay est juste un support pour l'interaction, qui est le plus important (pour ça aussi que jouer en ne maitrisant pas la langue ou en ne pouvant être à l'égal des autres pour parler, ça handicape)
La compréhension des maps, tâches, rôles, actions, vient avec la pratique, et les nombreuses possibilités de personnalisation des règles permettent d'adapter la difficulté en fonction de l'expérience des joueurs.
Mijak a dit (14 Novembre 2020 à 21:29)
L'enrobage étant tout à fait sympathique et accrocheur, le principe du jeu reste le même qu'un cookie clicker : on fabrique des trucs facilement, puis on va chercher à faire plus, plus performant, plus rapidement, on va devoir penser à mille choses, et le jeu ne vous lâche pas un instant, pour s'assurer que vous ayez TOUJOURS quelque chose à faire : une fête, une commande, récolte de matériaux, développer vos relations, etc. Sans compter vos projets "persos", améliorer votre stuff, vos ateliers, bâtiments, explorer, etc.
Bref on l'aura compris, hyper chronophage. Un jeu qui nécessite d'apprendre le lâcher-prise (sauf si on est déjà hyper névrosé et qu'on aime avoir mille choses à gérer en même temps et prévoir les mille autres à venir), au risque de voir le burnout venir, car on ne peut pas tout parvenir à faire.
Du coup je suis mitigé, car clairement le jeu a saisi la recette de l'addiction vidéo-ludique et l'exploite à FOND, du coup on a vraiment l'impression d'être un hamster dans sa cage. Mais d'un autre côté c'est très immersif, car rapidement on apprend à connaître Portia et ses environs, on connait le noms de ses habitants, on en aime certains, moins d'autres. On est curieux de ce lore post-apo, et, ne le nions pas, le gamer aime faire des quêtes. Partout. Tout le temps. Avoir du loot, des récompenses, de l'expérience !
Bref un jeu qui sait sur quels boutons appuyer pour nous y faire passer notre vie...
Mijak a dit (07 Novembre 2020 à 16:14)
Un jeu assez captivant, de concentration et de précision, de la course réduite à une très simple définition : aller le plus loin possible.
Pas d'ennemi, pas d'arrivée, pas de départ. Le soleil se couche devant vous ; sur un décor très épuré, simplement en texture ensoleillée ou ombragées, et des formes, obstacles à éviter, un décor en 3D simple et sans distractions.
Le soleil donne l'énergie à votre véhicule ; il ne faut pas le laisser se coucher et éviter les zones d'ombres si possible. D'où le titre, car vous courrez littéralement après lui. Si votre vaisseau s'arrête faute de jus, perdu. Si vous explosez contre un obstacle, perdu.
Des bonus malgré tout, pour accélérer (donc rattraper un peu le soleil), ou augmenter ses points. Car chaque seconde en course augmente le compteur de points.
En ligne, la map de la course change chaque jour, apportant le renouvellement nécessaire, et les succès à débloquer vous permette de tuner votre vaisseaux avec certains atouts utiles et facilitateurs.