À Londres, dans un futur indéterminé, un informaticien du nom de Qohen Leth vit dans une chapelle réaménagée en lieu d'habitation. Ne sortant de chez lui que pour aller travailler, il essaie tant bien que mal de se couper d'un monde bruyant à la joie agressive. Son supérieur, "Management", lui confie le projet secret "Zero Theorem" visant à déterminer si l'existence a un sens... Alors qu'il poursuit sa tâche, Qohen est perturbé dans sa solitude par deux personnages envoyés par Management : la mystérieuse Bainsley et Bob, le fils surdoué de Management.
Wikipedia
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Apparition
Apparition
Non renseigné
Merci à einoha qui a créé cette fiche
Je suppose qu'avec ce genre de film c'est quitte ou double : on aime ou non. Il faut dire qu'il faut bien rentrer dans le concept et l'histoire pour accrocher. Je n'ai pas eu de soucis : j'ai adoré. C'est complètement barré, les acteurs sont géniaux et j'ai beaucoup aimé l'univers.
J'ai bien aimé, et c'est pour moi un bon Terry Gilliam, même si certains précédents m'ont plus plu. Il m'a en tout cas plus convaincu que le précédent (L'Imaginarium...) qui était beaucoup plus obscur.
Ici on a une vision bien critique sur la société, comme dans beaucoup de SF à travers ce futur dystopique, et surtout Qohen qui va incarner l'angoisse existentielle à travers cet appel attendu, ce vide qui l'obsède, etc. Et du coup forcément ça rappelle Brazil.
Et comme on peut s'y attendre, le monde et les personnages sont très "TerryGilliamesques". Dans l'absurde, la dérision, les plans étourdissants et les scènes dérangeantes... Faut pas y être allergique, et savoir à quoi on s'expose.
L'univers, les personnages, les plans, les couleurs... Tout est travaillé et toutes les pièces sont présentes pour créer un super divertissement. Sauf que si une des questions du film est "la vie a t'elle un sens", on peut se demander si c'est le film lui-même qui réellement un sens. J'ai trouvé ça assez superficiel et puéril par moment (l'histoire d'amour pour redonner espoir à un éventuel sens à la vie). Le film se suit bien mais ne se lance jamais vraiment. Malgré ses nombreuses qualités citées dans ma première phrase, je suis resté sur ma faim. Dommage.
Je pense que je manque de références pour apprécier le film à sa juste valeur. Je vais essayer d'en découvrir plus sur l'univers de Terry Gilliam et de visionner Brazil avant de regarder Zero Theorem à nouveau. J'ai vraiment apprécié les personnages, les couleurs, la façon dont ce film a été tourné, bref, l'univers en général. Le sujet est sympa, mais j'ai l'impression qu'il est juste effleuré au final. 14 en attendant de le redécouvrir dans quelques mois.
J'ai adoré comme à chaque film de Gilliam que j'ai vu, mais par contre, je pense qu'il faudra que je le revoie, parce que je ne suis pas certain d'avoir saisi la fin...
J'adore Terry Gilliam, son univers barré et la plupart de ses films... Les frères Grimm m'avait déjà déçu... mais pas à ce point là ! Ce film est une purge, Terry retente le coup de Brazil mais se foire complètement, j'ai arrêté après 42 minutes :(
moi aussi, j'ai adoré. film déjanté. a voir absolument
Encore plus "jusquauiboutiste" que Burton, le style de Gillian n'a pas d'équivalent dans le cinéma, on adore ou on déteste. Ou pas en fait, pour ma part je me trouve juste au milieu.Ici tout est archi éxagéré, caricaturé voire surjoué à la perfection parfois (?!) par contre pas vraiment de sens profond, on part de l'improbable pour aller vers l'absurde même si l'on peut considerer qu'il y a plusieurs niveaux de lecture.
T echniquement, Gilliam n'a plus rien à prouver, mais avec The Zero Theorem il démontre tout de même qu'il est toujours un artiste, un maestro de l'orgie visuelle. Clairement, c'est encore une fois une perfection au niveau de la mise en scène. C'est coloré et fourmillant de détails, baignant dans cette douce folie Gilliamiesque unique en son genre. Rien que le fait de proposer un format d'image 16/9 avec une bordure 8mm, ça en jette !
Mais j'ai eu la furieuse impression de voir une redite de Brazil tant les similitudes sont nombreuses et parfois grossières, à croire qu'en 29 ans, Terry Gilliam n'a presque pas eu de nouvelles idées de fond. Quelques clins d’œil, pourquoi pas, le fan-service est toujours apprécié, mais là on en arrive souvent à du copié/collé bête et méchant.
Enfin, certains sons électroniques à deux balles déjà entendus mille fois dans des sous-productions viennent mettre à mal la crédibilité de certaines scènes.
Si le tout reste cohérent, le thème principal n'est lui, pas assez approfondi ou bien trop vite expliqué. Le film souffrirait-il, comme son grand frère, d'un montage à la hache à cause des producteurs ?
Je l'ai trouvé quand même meilleur que Brazil!
Et Mélanie Laurent dans ses tenues sexy! ^-^