Ross Webster, patron d'une puissante société, découvre les talent cachés de l'informaticien Gus Gorman, véritable génie dans son domaine. Webster décide d'exploiter les dons de son employé, afin de prendre le contrôle de l'économie mondiale et d'anéantir Superman à l'aide d'une Kryptonite synthétique.
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Merci à gon17 qui a créé cette fiche
Richar Lester est un homme à principes qui compte une vingtaine de long-métrages à son actif. Fort de dix-sept ans dans le métier, le réalisateur américain succède à Richard Donner mais ne marque pas vraiment les esprits avec son « Superman II », un film pourtant acceptable et correct dans l’ensemble. C’est donc en 1983, trois ans plus tard, qu’il se voit chargé de réaliser le troisième opus des aventures de l’Homme d’acier avec cette fois-ci, un synopsis concentré sur un informaticien aussi brillant que dérangé, Gus Gorman. Le résultat est globalement maîtrisé et offre quelques scènes de course poursuite assez séduisantes. Certes, les effets spéciaux ont mal vieilli, mais cela fait aussi le charme des films d’antan. De plus, Richard Pryor est incroyablement crédible en homme de science et montre vite qu’une fois lâché en pleine nature, rien ne peut vraiment l’arrêter.
Quel nanar moisi au effets spéciaux tout pourris! Les acteurs sont super nuls!
Pourquoi avoir voulu en faire une pseudo-comédie?
On dirait un film de série Z!
Souvent les suites des sagas ne sont pas à la hauteur du 1er film. Ce Superman III non seulement ne fait pas exception à la règle mais se dégrade au fur et à mesure pour finir en bon vieux nanar. Scénario décousu et incohérent (inutile de relever toutes les contradictions et absurdités tellement elles sont nombreuses). Vaughn surnage à peine dans ce marasme. Le fait de faire passer le génie informatique pour un débile complet tout au long des 2 longues heures est franchement irritant (et la VF n'arrange rien). Au (petit) crédit de cet opus, une inventivité qui se maintient s'agissant des décors, décidément très bondiens dans l'esprit: le bureau de Webster, ainsi que la piste de ski sur le rooftop, sont assez impressionnant.