Alors qu’ils cherchent à s’affranchir d’un lourd passé, deux frères jumeaux reviennent dans leur ville natale pour repartir à zéro. Mais ils comprennent qu’une puissance maléfique bien plus redoutable guette leur retour avec impatience…
« À force de danser avec le diable, un beau jour, il viendra te chercher chez toi. » (Source : Allociné)
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Apparition
Merci à ririchard qui a créé cette fiche
C'est à la fin que l'on se dit que le film pouvait être intéressant. Mais le propos est confus et fait feu de tout bois. Bois par ailleurs ramassé par d'autres avant lui, ce qui fait que le film ne fait pas non plus dans l'originalité en dépit de ce qu'il veut nous faire croire...
Assez bonne surprise ce Sinners, un western horrifico-dramatique qui a l'audace de prendre tout son temps pour présenter impeccablement chaque personnage, prenant plus d'une heure pour se faire. On sent bien que, malgré l'accent de la promo, le côté horrifique n'est pas ce qui intéresse le plus Coogler tant cette partie se résout rapidement et de façon brouillonne. Le réalisateur et scénariste ici semble plus s'intéresser à la musique, le blues, le "vrai" et se saisit de ce sujet pour nous parler de racisme, de culture, de sous culture surtout, comment celle ci (la musique ici en l'occurence) rapproche les peuples, les âges (et ce à travers une scène de danse assez prodigieuse qu'on attendait pas et qui se révèle être le pinacle du film). Le tout s'étouffe malheureusement sous le poids des thématiques et on perd pied assez facilement, surtout quand le final se déploie. Un final osé en 2025, reprendre le mythe des créatures présentées et TOUS leurs clichés, il fallait le faire ([spoiler] l'ail, l'eau bénite, le pieu dans le coeur, il manquait que Sarah Michelle Gellar [/spoiler] et c'est avec un certain esprit de contradiction que j'y vois une sorte de rafraichissement des bestioles en question.
Un film très curieux donc, blindé de défauts mais rafraichissant malgré la lourdeur du procédé (bien foutu) du double emploi de Michael B. Jordan pas fort utile à l'ensemble si ce n'est pour se la péter.
Ni blanc, ni noir, soyez vampire. :)
Et une jolie bande son avec ça. Le film propose une réinterprétation moderne du mythe du musicien et du diable, qui tente de s'emparer de son âme et de son don.
Ça pioche dans toutes sortes de références : le blues qui est la musique du diable et des pauvres pêcheurs, par extension les différences sociétales, la période ségrégationniste et le KKK, la religion qui tente d'interdire la musique perçue comme néfaste. Cette même religion qui a tenté autrefois d'interdire certains accords de musique qui étaient réputés "attirer le diable".
La question du pacte avec le diable, également.
Bref beaucoup de choses. Trop de choses même à certains moments, de tel sorte que ça bouillonne et ça donne un côté très bizarre au film.
J'applaudis quand même le type qui a eu le cran de faire un film de vampire historique sur le thème de la musique et de la ségrégation raciale. C'est... complètement fou, et très frais.
le propos est confus en effet, certaines idées semblent se contredire. mais bon c'est plutôt réussi quand-même.
Enfin un film qui ose être fun. Mélanger la musique et le côté mystique des vampires. Mais c'est surtout une histoire sur deux jumeaux qui cherchent la liberté, non la ville elle-même, et ce que cela peut emmener face au racisme et la pauvreté.
Les scènes musicales et de danses sont sublimes. J'ai adoré.
Mais quel film ! Vraiment j’ai adoré . Surtout le personnage d’Annie qui est juste génial. Franchement foncez
Un film qui a tout misé sur la forme, rien sur le fond. Il en résulte un banal film fantastique pour adolescents sans saveur.