Rubber

Fallait être gonflé pour faire ce film :p Bah j'ai passé un bon moment, on rigole bien par l'absurde des scenes, un discour de début de film enorme puis v'la le concept quoi :D

Mais ils fument quoi les mecs qui inventent ces scénarios ? O_O

La scène de début promettait un bon film (ok un film barré mais que l'ont pouvais apprécier)et au final malgré quelques idées intéressantes, cela reste un film sans plus, voir un mauvais film. Par contre on peut saluer la prouesse des techniciens qui ont fait avancer un pneu tout seul et sans post-prod !

Alors ça c'est du nawak!! Complètement absurde et décalé. Scénario pour le moins original et...déroutant je dirais^^. Maintenant je pourrais dire que j'ai vu un film sur un pneu :), classe! Sinon 6,5, sa reste léger tout de même.

Ouais gros concept ! :D C'est con mais j'aime o/

Ennuyeux. Proposer une idée originale ne suffit pas.

Probablement le film le plus strange que j'ai pu voir... C'est tellement déroutant qu'on ne peut que rester scotché

Déroutant, c'est bien le mot ! En fait, je suis aussi déçu, pourtant ça aurait pu être vraiment bien barré et drôle. M'enfin, on salue le concept, et il faut dire que d'une certaine manière ça aurait pu être difficilement génial ^^ Au final je ne sais même pas pourquoi j'ai regardé ce film. No reason.

non, touket, tu ne peux pas détruire ce film dans ton prochain comm' , je vois déja ta critique :D

Mouahahah, je vais te faire ça aux petits oignons :DD.

Vous avez déjà eu cette sensation impressionnante d'être dans un endroit sans savoir pourquoi, de faire quelque chose d'horrible, au point d'en compter les secondes, d'avoir un vide absolu autour de vous, et du coup de ne pas pouvoir fuir, ce malaise terrible, oui je l'aurais vécu ici. Bon déjà, si j'ai décidé dans mon humble générosité de mettre 2,5 à cette "crevaison" cinématographique (quel jeu de mots :D), c'est uniquement pour les première minutes, presque sympathique. Mais les abysses sont proches, le précipice est énorme, d'ailleurs, ceux qui l'ont vu comprendront, mais quel est l'intérêt de ce film ? AUCUNE RAISON ;) ! Je sais pas pour vous, mais personnellement, voir un pneu rouler pendant 1h15, c'est aussi intéressant que mater un strip-tease de Susan Boyle pendant ce même laps de temps. Mais c'est ce que nous propose Quentin Dupieu. Le "film dans le film" ne sert à rien, à part à rallonger un film déjà trop long. Je me demande encore l'intérêt du pneu, à ben si, parce qu'il peut rouler, sinon c'est plus chiant pour qu'il puisse se déplacer, mais vu la façon dont il tue les gens, ça aurait pu être un tabouret, le sex-toy de ma grand-mère ou une girafe en carton, ça aurait fait aucune différence. En parlant des morts, elles sont toutes pareilles, mal faites (bonjour la poupée). Au bout d'une heure et quinze minutes, notre cerveau est fatigué d'avoir supporté ça, une vraie bouse comme j'en vois peu, et heureusement, merci d'avoir lu ce long et constructif commentaire jusqu'au bout ! (P.S. : les acteurs sont aussi très mauvais, j'avais pas jugé utile de le préciser :p)

Hahaha :') Je kiffe ton commentaire Touket!

Merci, je suis toujours très enthousiaste à l'idée d'apporter de la joie et de la bonne humeur :D.

Tu m'as presque donné envie de wisher Touket ! ^^

Moi j'ai adoré. C'est décalé à souhait, bourré de références cinématographiques (ouais, c'est un peu de la branlette mais ça fait toujours du bien XD), c'est du grand n'importe quoi mais c'est original et assez malin.

Qu'est ce que je me suis ennuyée... J'ai bien assez de voir dans ce film un aspect cinématographique mais ci ce n'est un hommage à Kubrick avec le tricycle, je n'ai rien vu de spectaculaire.
Certes, la photographie est audacieuse, intéressante, nette et les détails sont super bien captés. La musique est vraiment bien et le côté docu insecte m'a bien plu avec toute cette pointe de dérision sur le spectateur ( ça va reprendre, il ne se passe rien,...)l'intro et la fin sont vraiment atypique: les héros du film se présente à la fin: les pneus sous l'insigne Hollywood.
Mais voilà, je n'ai pas accroché du tout, c'est dommage, c'était trop lent pour moi.

Décalé comme je l'aime. Excellente réalisation, musiques vraiment bien pensées, belle photographie et de très bonnes répliques. Incroyable comme ils sont arrivés à donner vie à un pneu. J'ai ressenti un panel impressionnant de sentiments dans ce vulgaire pneu : la jalousie, la colère, l’allégresse (la scène où il zigzague sur fond de mélopée est géniale).
Et puis franchement, "vous n'avez aucunes raisons de ne pas regarder ce film".

Je suis tombée dessus par hasard et je n'ai pas pu m'empêcher de le regarder jusqu'au bout. Vraiment très étrange XD

Je peux pas vraiment dire pourquoi mais j'ai adoré ce film perso'.
D'un côté, tu l'regardes en te débranchant le cerveau, parce qu'après tout, "No reason".
De l'autre, avec les derniers plans notamment, tu te dis "Tiens, mais le mec a quand même quelque chose à dire".

Bref, je sais pas pourquoi mais je le reverrai sans hésiter.

En fait c'est pas un film, c'est une expérience. Esthétiquement c'est vachement beau (tourné à la MkIII !), mais je suis pas persuadé que le film soit vraiment du "no reason", j'y vois comme une critique du système Hollywoodien (la fin vient appuyer ces propos en quelque sorte) mais aussi des spectateurs qui "bouffent" les films qu'ont leur sert sur un plateau sans vraiment ce poser de questions.

Je pense qu'il faut le voir plusieurs fois pour vraiment le comprendre

Tain mais il fume quoi le Quentin? Faut qu'il arrête: c'est déjà la deuxième bouse qu'il nous pond! (après un Steak bien moisi).
Absolument aucun intérêt! Dire qu'il y a des gogos qui on produit ça! Que de pognon gaspillé!
Au début du film, il y a un shérif qui dit que chaque grand film a son moment de "no reason"; et bien ce film n'est absolument pas un grand film!
Je mets 2 pour la belle Roxanne!

Quelques bonnes idées, des morceaux sympathiques mais un manque cruel de rythme.

Cet hommage au "Aucune raison" a au moins le mérite de m'avoir bien fait rire. C'est une parodie de thriller peu ambitieuse mais bien ficelée, ce qui suffit à la rendre drôle et plaisant. En fait, tout l'intérêt du film réside dans le malin plaisir que Dupieux prend à tordre la narration filmique.
Il y a différents niveaux à l'histoire de ce film : celui des vrais spectateurs (nous), celui des personnages pour lesquels le but du film est de tuer les spectateurs fictifs, celui des spectateurs fictifs, et enfin celui des personnages proprement dits (le pneu, la fille...). Excepté le nôtre, ces différents niveaux d'histoire sont pourtant au même niveau matériel (dans le même espace-temps). J'aime ce genre de métalepses (pardon du gros mot), et ici, c'est assez rondement mené pour me scotcher à l'écran.

Je le note pas parce que je crois ne pas avoir compris O.o

C'est le genre de film où tu te dis juste après le clap de fin "bordel, j'ai aimé ou pas?" puis finalement tu te remémores les scènes, tu te marres, et tu comprends que non, tu n'as pas aimé.... Tu as ADORÉ! Ce film c'est n'importe nawak, du no reason tout du long, mais finalement tu restes scotché devant en te demandant comment tout ça va finir.... Sans chercher à comprendre car finalement il n'y a rien à comprendre! Ou plutôt si, comme vu dans un autre commentaire, on peut y voir une dénonciation du système cinématographique où l'on pond des films souvent sans intérêt juste pour divertir la populace en quête de spectacle et de sensationnel... Bon et puis j'ai été subjugué par l'esthétique du film, j'ai adoré la façon dont c'était tourné... On ne sort pas indemne de ce film, mais c'est une véritable expérience en soi!

dans la lignée de Non-film ça parle de cinéma, de l'art de la fiction même dans le sens général, la suspension d'incrédulité, le rapport entre spectateurs, acteurs et réalisation, rien que le plan final "Hollywood" sorte de signature de Quentin et dire "regardez ce qui m'inspire mais je fais autre chose, ça n'a pas de sens mais on peut en trouver." Non franchement j'aime bien.

Pour reprendre un jeu de mots pompeux et qui a déjà fait son bout de chemin un peu partout, Rubber est un film sacrément gonflé. L'histoire d'un pneu psychopathe qui crève tout le monde, au pays du tout voiture pourrait être une allégorie, mais cela me parait trop facile et peut-être qu'il n'y a tout simplement "no reason" à ce déferlement de folie.

L'aspect méta, l'idée du film dans le film, obligent à avoir une lecture à plusieurs vitesses et à s'interroger sur les ambitions réelles du réalisateur. Ce qui est certain, c'est qu'on est loin de l'enfumage. On serait tenté de se dire qu'il y a quelque chose qui ne tourne pas rond là dedans, que ça sent de gaz.

Et pourtant, Dupieux arrive sans-plomber son film, à faire passer plusieurs messages sous forme de métaphores : faire gober ce que l'on veut aux spectateurs, exposer la recette pour faire un mauvais film, se moquer tout simplement de tous ceux qui essaient de trouver un sens à Rubber.

Finalement, et si tout ça n'était qu'une vaste blague :)