Charlie, une jeune fille de 17 ans. L’âge des potes, des émois, des convictions, des passions. Sarah, c’est la nouvelle. Belle, culottée, un parcours, un tempérament. La star immédiate, en somme. Sarah choisit Charlie. (Source : Allociné)
Adapté du livre Respire de Anne-Sophie Brasme
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Non renseigné
Merci à Kaly qui a créé cette fiche
Le pire quand on prend une claque devant un film, c'est de ne pas y être préparée.
Wow.
Les 20 premières minutes c'est du bon gros cliché, même plan que la vide d'Adèle, belle photo, mais déjà vu pas de prise de risque niveau plan, par contre comme l'on souligné d'autre avant moi, le reste est une bonne claque.
Les 20min du film correspondent à la bande annonce pas de surprise et la bande annonce ressemble à La Vie d'Adèle aussi non le reste du film est à couper le souffle, très belle réalisation et impressionnante performance de la part des actrices.
J'ai connu ce qu'a connu Charlie, l'influence/l'admiration pour une amie qui en fait n'en est pas une alors le scénario m'a malheureusement fait revivre quelques mauvais moments de ma vie. Mais c'est d'aillerus pour ça que je tiens à dire chapeau car tout y est !
J'ai lancé le film sans même avoir lu le synopsis et je suis restée scotchée devant mon écran durant l'heure et demi qu'il dure. J'ai trouvé ça vraiment simple et sans fioritures, que ce soit dans le jeu des acteurs et la mise en scène, et pourtant c'est extrêmement frappant.
Je pense que pour trouver ce film nul il faut n'avoir aucune idée de ce que c'est de vivre ce que Charlie a vécu ... Je l'ai vécu. Il est vrai qu'au début du film il faut un petit temps pour que l'histoire se mette en place, mais c'est normal et pas spécialement désagréable. Ensuite, ça prend en intensité, pour ne plus s'arrêter de s'intensifier encore. La fin est brillante ... Autant dire que moi je n'ai pas eu le courage de le faire mais j'y avais pensé plus d'une fois, j'ai juste mis ça sur papier avant de tout détruire. Toujours est-il que ce film est incroyable ! Et j'en remercie Mélanie Laurent et les actrices principales pour ce travail fourni ! Je suis vraiment époustouflée !
J'ai l"impression de m'être pris un parpaing dans la gueule...
Une claque, différent du livre, mais c'est tout aussi incroyable. Un coup de poing.
Un putain de claque. Un film qui fait beaucoup réfléchir.
Comme tout le monde le dis, j'ai aussi reçue une claque en pleine tronche. La fin est sublime, surtout quand on ne s'y attend mais alors PAS DU TOUT !!!!!!
Woah! Bouleversant!
Ma critique à lire sur mon blog :http://reglisseaupaysdesmerveilles.blogspot.fr/2017/05/critique-de-respire.html
L'histoire de Charlie est une histoire de filles. Pas de femmes...Ces histoires sont celles de personnages en manque de maturité, des personnes vénéneuses qui vous rongent jusqu'au plus profond de vous-même. Petit à petit, le poison se diffuse dans vos veines jusqu'à atteindre votre cœur. Ce reproche de manque de maturité ne peut être fait à Mélanie Laurent qui passe pour la seconde fois derrière la caméra et réalise un film réussi qui prend aux tripes.
L'ouverture du film se fait sur des plans larges qui filment une ville française, tout ce qui est de plus normal. Petit à petit, la caméra s'immerge dans une chambre d'adolescente, celle de Charlie, avec comme fond sonore une sonnerie de portable et une dispute d'adulte. L'écho de la dispute se fait de plus en plus fort. Le ton du film est-il donné? Une histoire de dispute qui se réglera comme de nombreuses histoires avec un rapprochement et une réconciliation de ce couple duquel Charlie est spectatrice? Non, le couple, le véritable, le duo qui crève le cœur c'est celui de Charlie et de Sarah, une nouvelle élève du lycée. Une amitié va se lier entre les deux filles mais très rapidement Charlie cultive une adoration pour Sarah. Sarah, quand à elle, profite de la situation et n'hésite pas à jouer les manipulatrices. Jusqu'où peut aller la perversion d'un adolescent? Sarah hypnose son public et petit à petit la vie de Charlie bascule. La désillusion est totale mais le compte à rebours est lancé. Mensonges, trahisons, crises, sautes d'humeurs sont les principaux attributs du serpent Sarah. La morsure est effective et le poison se répand dans le corps et l'esprit de Charlie, personnage attachant (Joséphine Japy) dans lequel de nombreux spectateurs s’identifieront. De la même manière que les plans resserrés de la caméra sur son visage, Charlie doit s'extirper de ce fléau mais l’étreinte se resserre toujours plus autour d'elle. Charlie doit respirer mais à partir d'un moment, Charlie étouffe !
Un film n'aura jamais aussi bien porté son nom. Je ne parlerais pas du livre, ni de comparaison car je ne l'ai tout simplement pas lu. Ce film parvient à être solaire (dans la forme) alors qu'il parle d'un sujet grave, qui se passe malheureusement trop souvent dans les lycées, collèges,... En fait, c'est ça l'adulescence, adolescence. C'est supposé être une période merveilleuse, insouciante et pourtant, ces jeunes aiment ajouté du drama, de la méchanceté gratuite pour diverses raisons: ici, la jalousie. L'envie d'être une autre personne, un autre jeune pour qui, en apparence, la vie est tellement belle et facile. Les deux actrices principales sont à couper le souffle et je pense sincèrement que Lou De Laage est l'actrice idéale pour interpréter Sarah. Cette fille belle et cool avec qui tout le monde veut être amis mais qui est en fait une manipulatrice et ce que j'ai par dessus tout aimé c'est cette confusion de qui est tantôt la victime, tantôt le bourreau dans cette histoire. Bravo Mélanie Laurent.
Mon avis ne diffère pas des autres, c'est un chef-d'oeuvre.
Coller ce film dans une note, le réduire à un nombre est monstrueusement difficile. Respire est réalisé avec une minutie et un soin des détails irréprochables.
1h30 de silence assourdissant, une douceur et une langueur lancinante de la caméra qui introduit le malaise, grandiose.
Le malaise est d'abord insidieux, juste assez pour nous faire faire deux trois mouvements parasites histoire de rester dans le contrôle, nous aussi. Puis lentement, le rythme cardiaque accélère, sans pour autant influencer celui du film. On croit toucher l'apogée quelques fois, sûrs que ça ne peut pas devenir plus paralysant, et pourtant.
Je connaissais déjà la fin, mais le coup n'aurait pas pu être plus fort. La dernière scène est le coup de grâce, qui souligne inutilement la qualité de ce à quoi on vient d'assister.
J'ai eu du mal a me plonger dans les premières minutes du film, puis au bout d'un moment je me suis laissée porter pour à la fin ressentir les émotions les plus profondes de Charlie. Ce film me laisse avec un sentiment d'angoisse et d'étouffement. Bravo
Ce deuxième film réalisé par Melanie Laurent nous prend aux tripes !! la tension dramatique nous laisse K.-O jusqu’à la fin.
25 premières minutes bof, après ça s'accélère
Un film difficile
Une fin qui cloue sur place
À voir sans hésiter...