Autrefois le siège en plein essor du géant pharmaceutique Umbrella Corporation, Raccoon City est aujourd'hui une ville à l'agonie. L'exode de la société a laissé la ville en friche... et un grand mal se prépare sous la surface. Lorsque celui-ci se déchaîne, les habitants de la ville sont à jamais... changés... et un petit groupe de survivants doit travailler ensemble pour découvrir la vérité sur Umbrella et survivre à la nuit.
(Source : Allociné)
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Apparition
Non renseigné
Merci à ririchard qui a créé cette fiche
Pff, un cauchemar. Par où commencer ? Je voulais quand même le voir par curiosité en sachant très bien que j'en sortirai déçu mais pas à ce point là. Ce Resident Evil ne ressemble à rien. Il pourra divertir les fans les plus indulgents parce que c'est toujours sympa de voir Wesker jouer du piano pour libérer un passage...mais sinon que retenir de cette adaptation ? Il y a trop de personnages, le casting est mauvais, le scénario manque de fluidité, aucun travail d'écriture, les scènes se ressemblent toutes, les effets-spéciaux sont d'un autre âge, c'est très mal éclairé, souvent mal filmé et même un peu bavard pour du Resident Evil. Et puis cette fin affreusement bâclée... avec une tendresse profonde pour les fans de Leon Kennedy. Un gâchis !
Hormis la fin qui est expéditive et bâclée, j'ai plutôt passe un bon moment devant cette nouvelle adaptation. Alors oui, tout va très vite, et il y a beaucoup de personnages. Mais j'ai l'impression que c'est une adaptation destinée aux fans de la série, qui y verront énormément de références aux deux premiers épisodes, plus qu'un film destiné à conquérir un autre public. Étant un grand fan de la saga, je n'étais pas vraiment perdu car j'étais en terrain connu, mais pour la personne qui ne connait absolument pas le background, j'imagine que tous s'enchaine beaucoup trop vite. Les effets spéciaux sont dégueulasses, mais si le film fait vieillot, j'ai l'impression que c'est pour coller aux années 90, en tout cas, c'est vraiment comme cela que je l'ai pris et non comme un foirage. Vraiment dommage que le film n'ai pas été plus long pour lui donner une belle fin mais le paris de mettre les deux premiers RE dans le même scénario était peut être trop audacieux.
Oh, la belle prise !
Gros fan de la licence, j'ai adoré la première saga dans mes jeunes années avant de me rendre compte que c'était vraiment pas top en même temps que cette dernière s'enfonçait dans un marasme des plus indigeste.
J'étais donc assez excité par ce reboot.
Et j'ai plutôt aimé ! On peut vite évacuer les (gros) points négatifs qui sont le scénario et sa narration. Pourquoi aller se perdre dans un arc narratif inintéressant sur l'enfance des Redfield ? C'est long et sert juste une exposition au forceps (et un minuscule payoff en milieu de métrage). J'ai globalement eu un gros problème avec l'exposition de ce film, qui est vraiment fainéante comme pas permis et servie par des dialogues indigestes.
Mais en vrai, j'y crache dessus mais ça sert de ouf une des qualité de ce Resident Evil qui est le côté nanardesque du film. Quand un des personnages raconte à Claire « OLALA TU REVIENS DONC DANS LA VILLE OU TU AS GRANDIS POUR REVOIR TON FRERE A QUI TU NE PARLES PLUS » bah c’est rigolo ces gros sabots, ça renforce le côté série B (ou C.. allez Z), mais ça reste mauvais quoi. Et justifier de la médiocrité/fainéantise par « on s’en fout c’est du nanar » je trouve ça pas très recevable.
J’ai un peu les même doléances concernant les effets spéciaux numériques, qui font vraiment datés mais renforce effectivement la vibe 90’s qui se dégage du film.
Par contre, ce qui est bon, c’est la réalisation. Il y a graaaaave de bonnes idées et de scènes dans laquelle le real se décarcasse pour proposer quelque chose qui sorte un peu des sentiers battus. Je pense notamment à un plan séquence dans une voiture, à une scène d’agression de zombies dans le noir complet éclairé uniquement par le feu des canons, ou encore l’introduction du Licker qui était vachement intelligente. C’est cool de voir ça !
J’ai aussi adoré le fan service. Je suis grooos client des clins d’œil qui sont glissés dans le film, qu’ils soient petits (les clés donnés à Claire, certains personnages qui font juste un coucou) ou plus gros (les costumes, ou même des scènes copiées collées du jeu), ça marche avec moi.
Alors voir que ce reboot prend à bras le corps les 3 premiers jeu de la licence jusqu’au bout des ongles bah ça me fait plaisir.
Du coup, est-ce que j’ai passé un bon moment ? OUI !
Est-ce que je le recommande ? Aux fans, incontestablement. Aux amateurs de nanars ? Pourquoi pas ! Mais sinon, je pense que vous pouvez passer votre chemin
Quand on évoque les films "Resident Evil" en ma présence, j'ai toujours une crise, résultat du stress post-traumatique induit par l'inoculation de toute une série de films tous plus atroces les uns que les autres.
Hormis les OAV en images de synthèse pondu par Capcom, la saga a été sacrément malmenée en dehors du médium vidéo-ludique, et c'est avec mon optimisme légendaire que j'attendais donc avec curiosité et impatience ce nouveau film "live" de la franchise.
Porteur d'espoir avec sa merveilleuse idée de se dissocier les navets de Paul W.S. Anderson, et de proposer enfin quelque chose qui ait des airs de Resident Evil, Johannes Roberts a hélas fini par nous poser un nouvel étron dans les yeux, suite non avouée de "Two Girls, One Cup".
Les jeux RE, en tout cas les 6 premiers, sont nanardesques au possible dans leur mise en scène, c'est un fait, c'est assumé. Il suffit de revoir la scène d'intro en images réelles du premier jeu pour s'en convaincre. Mais ingame, c'est du survival-horror qui se prend au sérieux et qui demande parfois d'utiliser ses méninges.
Là où "Welcome to Raccoon City" excelle, c'est dans sa retranscription en mode série Z d'une histoire de zombies. C'est bourrin et débile comme l'intro du premier jeu de 1997, mais justement, à trop faire dans le déglingo, on finit par décrocher. Si les jeux avaient été aussi cons, ils n'auraient pas eu autant de succès. Et il est donc dommage que le mélange entre l'histoire ras des paquerettes, et le scénario un peu plus fouillé ne soit pas au rendez-vous.
De plus, on ne pourra que regretter la tartine écoeurante de fan-service, enfoncée avec les pieds dans nos gosiers. De la référence, en veux-tu, en voilà, à tous les coins de pellicule. On va retrouver un marasme issu de RE1 et RE2, sans queue ni tête, des trucs balancés sans contexte (coucou Lisa Trevor ou encore les jumeaux Ashford...) sans arrêt. C'est comme si on vivait en boucle le meme "Pointing Rick Dalton". Du coup on ne sait plus trop si on est dans l'hommage ou simplement dans le remplissage bête et gratuit.
Et quand on voit ce qu'il est advenu du personnage de Leon Kennedy, je pense qu'on peut s'asseoir sur l'hommage. Mais qui est le con qui a osé défoncer à ce point là l'un des piliers de Resident Evil ? On est quand même sur le type qui s'endort au boulot, qui ne se réveille pas quand un camion citerne explose à 30 mètres de lui ! On est quand même sur le blaireau dont le seul background révélé est d'avoir tiré dans le fion d'un collègue. On est quand même sur le gars qui ne sert strictement à rien pendant tout le film, sauf à la toute fin quand il trouve un bazooka et qu'il fait feu sur ses potes, dans un train.
Le reste du casting est loin de relever le niveau. Il y a tellement de personnages qu'aucun n'est assez mis en avant, et donc tout le monde est plus ou moins gâché, tout comme les effets spéciaux franchement datés, qu'une image très sombre peine à cacher.
Frisant parfois avec le fan-film, mais proposant quelques séquences inspirées et inspirantes, il n'en reste pas moins le meilleur film live Resident Evil. Et c'est déjà bien.
Alors. Bon. Il faut savoir que j'ai commencé le film avec les meilleures intentions du monde, c'est promis. J'adore la saga vidéoludique, je suis l'un des premiers à ignorer ses nombreuses incohérences et à aimer son côté nanardesque. Et j'ai même vu la saga entière d'Anderson!
Ce n'est pas une adaptation fidèle? Pas grave. Les personnages sont un peu différent? Pourquoi pas après tout, surprenez moi!
Le soucis c'est que ce film n'a pas de bonnes intentions. Il a été écrit par un gosse. Mais pas n'importe quel gosse attention! Un gosse qu'on a été cherché dans les années 2000!! RIEN NE VA. Les lieux emblématiques de la saga sont inexploités, les personnages ont étés massacrés entre Leon qui se fait victimiser du début à la fin, Chris qui passe pour un gros débile, Wesker qui ne sait pas ce qu'il fait là ou Sherry qui s'en fiche [spoiler] de voir sa mère de faire abattre et de voir son père se transformer en énorme monstre avant que sa ville entière ne se fasse balayer (avec surement ses amis dedans...) [/spoiler] BRAVO.
Il n'y a pas de fun dans ce film! Pas d'action, pas d'enjeu, pas de bonnes grosses répliques bien grasses à se mettre sous la dent. C'est pas un nanar, c'est un très mauvais film qui dévore votre cerveau. (ma blague est aussi nul que le film)
Oh allez c'est bon je le fini pas la ça en vaut pas la peine
Une purge comme le reste de la saga Resident "Milla Jovovich" Evil....
La derniere 1/2 Heure nanardesque ...... dommage !
D'accord les jeux sont des nanars mais ils sont divertissants et efficace en terme de frousse, du moins les trois premiers. Là, c'est d'un vide absolu, on en regrette presque les films d'Anderson, c'est dire !
Côté fan service on n'est pas déçu mais tout se passe trop vite: condenser les deux premiers jeux dans un seul film n'est pas une bonne idée!
Le manoir Spencer n'est pratiquement pas exploré et Leon Kennedy qui passe pour le débile de service alors que ce n'est pas le cas dans les jeux!