Histoire inspirée d'une expérience malheureuse arrivée en 2020 à Teddy Lussi-Modeste, aussi professeur de français dans un collège d'Aubervilliers, accusé à tort de harcèlement par une élève de 13 ans, et des déchaînements qui s'en étaient alors suivis (mise en grève des professeurs, menaces de mort, plaintes au commissariat…). (Source : themoviedb)
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Merci à CaroFtn qui a créé cette fiche
Cette histoire nous a paru invraisemblable ! Mais peut-être avons-nous tort...
Ça m'a aussi paru fake, pour ma part, en lien avec des choix de réalisation qui ne me convenaient pas.
Le problème est que le film, inspiré d'un vécu personnel, semble servir d'exutoire, et de fait, ça flirte parfois avec un aspect documentaire. Des dialogues réalistes, mais sans intérêt narratif (si ce n'est que de dire que la jeunesse tourne mal), des scènes longues où l'on observe, mais qui ne donnent pas de rythme. Des personnages parfois un peu caricaturés et qui se limitent à une ou deux convictions exprimées lors d'une conversation.
La recherche de la vérité ne fait pas mouche, parce que dans le fond, on ne se prend guère au jeu des acteurs.
La lenteur du film n'a pas dû aider à les crédibiliser.
Au demeurant, après avoir vu "La Salle des Profs", je ne peux pas m'empêcher de comparer les deux films.
Je ne dirais pas que "Pas de vagues" est inintéressant, d'autant que le sujet est bon, mais il n'est pas autant réussi dans son traitement.
Ça y est pourquoi les parents se plaignent ; prof de français ou pas, un kebab gratuit c’est un kebab gratuit
hormis Shaïd Boumedine peu convaincant globalement ça marche, il y a une montée en tension mais ça aurait pu aller plus loin pour montrer la montée du stress lors de ses interactions avec les élèves ou les autres profs de l'établissement. Il y a des trucs qui marchent très bien comme la scène à la police. certains personnages sont malheureusement un peu éclipsés comme Leslie et son frère mais après c'est logique vu qu'on suit le prof.
En France, on est doués pour faire des films comme celui ci où le stress est omniprésent et sur ça, j’ai adoré on est happé du début à la fin en revanche et malheureusement on est doués pour des fins ouvertes et ça c’est moins jouissif. François Civil est excellent même si l’histoire du couple gay on y croit sans plus dans le jeu des deux acteurs.
Le film ne sait pas où il va, et on le comprend bien avec cette fin bâclée. Dommage aussi que tout soit si invraisemblable et fantasmé, tant dans les situations que dans les dialogues. Ca saute encore plus aux yeux quand on a l'habitude des salles de classe !
C'est dommage, car le film a au moins l'intérêt d'aborder un sujet difficile et que la prestation de François Civil est impeccable. Il souffre évidemment de la comparaison avec La Chasse, infiniment plus pertinent.
Un film poignant dans lequel un professeur est accusé à tord de harcèlement envers une élève, et dans lequel on va naviguer entre les différents problèmes actuelles (justice, éducation...).
Malgré des stéréotypes très marqués (on se trouve dans une école de Seine Saint-Denis avec ses élèves bien clichés), on se prend dans l'histoire très rapidement grâce à une réalisation excellente pour montrer la descente aux enfers du personnage principal, au fil de l'enquête et des différents rebondissements.
J'aurais aimé plus de dentelle dans le jeu d'acteur sur des scènes qui sont sensés être les plus "fortes" du film (je regrette qu'il n'y en ait pas une marquante d'ailleurs"), mais également un background et un développement des personnages plus complets (notamment sur les élèves où plusieurs questions restent en suspens à la fin du film).
Vraiment peu crédible.
L'impression de revoir Un métier sérieux, quel manque d'originalité.
Vraiment peu crédible.
L'impression de revoir Un métier sérieux, quel manque d'originalité.
Vraiment peu crédible.
L'impression de revoir Un métier sérieux, quel manque d'originalité.