Megalopolis est une épopée romaine dans une Amérique moderne imaginaire en pleine décadence. La ville de New Rome doit absolument changer, ce qui crée un conflit majeur entre César Catilina, artiste de génie ayant le pouvoir d’arrêter le temps, et le maire archi-conservateur Franklyn Cicero. Le premier rêve d’un avenir utopique idéal alors que le second reste très attaché à un statu quo régressif protecteur de la cupidité, des privilèges et des milices privées. La fille du maire et jet-setteuse Julia Cicero, amoureuse de César Catilina, est tiraillée entre les deux hommes et devra découvrir ce qui lui semble le meilleur pour l’avenir de l’humanité. (Source : Allociné)
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Merci à MoonFace qui a créé cette fiche
Pardon Francis, mais j’ai rien compris.
Extravagant et déconcertant, le film bouscule nos habitudes dans un geste aussi flamboyant que confus.
Les poupées russes du néant...
Un film audacieux mais raté.
J'ai l'impression d'avoir vu un mix entre "Romeo + Juliet" de Baz Luhrmann pour le côté théâtral, "Agora" d'Alejandro Amenabar pour les références appuyées à la Rome antique et "Southland tales" de Richard Kelly pour le côté fable fantastique.
Malheureusement, la sauce ne prend jamais et au bout d'une heure de film, on ne comprend plus rien ...
Au vu des retours de Cannes et de la presse en général, on s'attend à un truc assez perché et on est pas déçu de ce côté là. Le souci étant de poser un avis dessus se révèle compliqué, ça demande un recul monstrueux parce que, personnellement, je ne sais pas trop ce que j'ai vu en visionnant le film. Un délire aussi psyché et ambitieux, ça passe ou ça casse et souvent de mon côté ça casse. Le gars derrière moi à la salle ne faisait que se prendre la tête entre les mains, le petit couple de séniors devant ont conclu face à l'écran noir avant le générique en disant "Je n'ai rien compris".
Alors on pourrait en faire des tonnes face à une oeuvre créée et portée par un FF Coppola qui a surement un melon plus mûr que le personnage de Shia Labeouf, on pourrait aussi crier à la masturbation intellectuelle mais il n'en reste pas moins une oeuvre assez personnelle, déconcertante certes mais qui restera unique. Indigeste, fou et à ne voir qu'une fois pour ma part.
J'aime bien l'idée d'aller au cinéma pour voir ce genre de film hors du commun. Après, peu importe ce qu'on en pense, dans le fond, l'important est de penser.
Le jour où on manquera d'ovnis cinématographiques sera un jour bien triste.
Un film fou et unique. J'ai adoré.
J'ai détesté.
C'est verbeux, confus, laborieux et creux. La psychologie des personnages n'existe pas. La logique de l'univers n'existe pas. Le sens profond de cette utopie n'existe pas. J'ai eu l'impression de regarder pendant 2h30 un patchwork qui voulait me faire croire qu'il y avait une intrigue, qui me vendait du progressiste en recyclant pléthore de vœux clichés. On en revient à l'amour comme valeur suprême, faites des gosses et les gens beaux et riches qui sauvent le monde (osef s'ils ont privés des pauvres migrants de foyers pendant les 3/4 du film vu que c'était pour la bonne cause). Au-delà de la morale fumeuse, j'ai pas eu la sensation que le film avait beaucoup de choses à dire de notre monde ou de notre humanité, ni qu'il esquissait concrètement de l'espoir en l'avenir. J'ai toujours pas compris comment la femme de César était morte ni ce qu'était le megalium (physiquement ou symboliquement).
Les décors et costumes étaient top. J'suis à deux doigts de penser que ça aurait pu être une bonne comédie musicale, avec de la musique.
Horrible, incomprensible, a fuir!