A Detroit, en 1995, Jimmy Smith Jr. a des rêves plein la tête, mais il lui manque encore les mots pour les exprimer. Sa vie d'adolescent se déroule entre banlieue blanche et quartiers noirs, le long de cette ligne de démarcation que l'on nomme 8 Mile Road. En dépit de tous ses efforts, Jimmy n'a jamais franchi cette barrière symbolique et continue d'accumuler les déboires familiaux, professionnels et sentimentaux.Un jour, il participe à un clash - une joute oratoire de rappeurs - où il doit faire face à Papa Doc, le chef de la bande des " Leaders du Monde Libre ". Paralysé par le trac, il reste muet et doit quitter la scène sous les huées de la foule. Cette nouvelle humiliation l'oblige à un salutaire examen de conscience. Quelques jours plus tard, Jimmy se retrouve forcé de tenter un come-back...
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Ni fan de rap, ni fan d'Eminem... mais ça se regarde !
Pas fan non plus de rap ou de Eminem, mais j'ai apprécié ce film. 7/10
Rocky dans le milieu du rap, quoi...
Ça se laisse regarder.
Street Lourd !
Nostalgie du début des années 2000... *.*
Drop the Mick !! J'aurais du voir ce film beaucoup plus tôt. Eminem est fantastique en acteur. Il est tout en retenue et c'est impeccable. Un bon film qui prône des valeurs gagnantes et qui montre une version complètement différente, sans préjugés, des rappeurs. La violence est présente mais elle est répliquée par les mots et c'est stupéfiant. Ce n'est pas œil pour œil, dent pour dent. La puissance des mots fait plus mal qu'autre chose.
Et puis, c'est aussi l'histoire d'un jeune qui veut que les choses bougent pour lui, qui va se battre pour ses rêves et a les pieds sur terre. J'ai beaucoup apprécié ce côté là du film.
Sans parler de la BO, des rap d'Eminem... La scène finale est magique.
Peu être un petit soucis de rythme mais sinon c'est à voir absolument.
C'était aussi cool que dans mes souvenirs.
Le scénario, bien que très convenu, ne tombe jamais totalement dans le pathos, et offre finalement un feel good movie des plus sympathiques.
La BO est magistrale et aide à appuyer des moments musicaux d'anthologie (sérieux, la dernière battle à la fin, quelle claque).