Fabrice, acteur de comédie, réalise qu’il n’a pas sa carte de fidélité alors qu’il fait ses courses. Malgré la menace d’un vigile, il parvient à s’enfuir. Commence alors une cavale sans merci, pour celui qui devient rapidement l'ennemi public numéro 1. Alors que les médias s’emparent de l’affaire et que le pays est en émoi, le fugitif, partagé entre remords et questions existentielles, trouve un point de chute inattendu, quelque part en Lozère.
(Source : Allociné)
Adapté de la BD ZaÏ zaï zaï zaï de Fabcaro
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Merci à Disnel qui a créé cette fiche
Le seul truc que je regrette, c'est de ne pas du tout connaître la BD d'origine car apparemment elle est excellent et à en lire quelques planches, effectivement. Caricature de la société actuelle, le film est complétement débile et ça en fait sa force. L'humour complétement absurde fonctionne à merveille ici. Heureusement qu'il ne dure pas trois plombes, car les mises en abyme de fin deviennent rapidement lourdes. Les acteurs sont excellents !
Après l'adaptation au théâtre, voici l'adaptation au cinéma. Et si la première avait eu la bonne idée de changer totalement de format pour se concentrer sur le texte, on a ici à faire à un copier coller bête et méchant des planches de l'oeuvre originale. Ca marche souvent (faut pas déconner non plus, ça reste très drôle), mais faut bien reconnaitre que certaines parties ne fonctionnent pas du tout à l'image.
Et malgré sa petite heure 20, l'impression d'avoir mangé une tartine sur laquelle la confiture serait trop étalée était assez désagréable.
C'est tellement nul, tellement raté que nous avons abdiqué au bout d'une heure à peine...
Pour la prise de risque, j'applaudis. Adapter du Fabcaro à l'écran et donner vie à des successions de cases et de planches littéralement immobiles, c'est un sacré défi.
Peut-être qu'avec une réelle ambition visuelle, le rendu sur pellicule aurait été plus percutant. Là, hormis entendre les dialogues fabuleux de la BD, et rire de situations complètement absurdes, il n'y a rien de nouveau et l'intérêt du film est donc très très limité.
Lisez Fabcaro.