En pleine représentation de la pièce "Le Cocu", un très mauvais boulevard, Yannick se lève et interrompt le spectacle pour reprendre la soirée en main.
(Source : themoviedb)
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Merci à sajftl qui a créé cette fiche
Un nouveau Dupieux efficace.
Le sens du dialogue et les performances des acteurs font quasiment tout. Bien que ce soit globalement une comédie, certains points sont angoissants; personnellement, cela a impacté mon ressenti à la baisse même si je comprends la volonté derrière.
Yannick, ça doit être le cauchemar de tous les réalisateurs, scénaristes et acteurs. A chaque représentation, y a-t-il un Yannick dans la salle ?
Sans ça, c'est presque un cri du cœur à avoir le droit d'être diverti, dans une société où le temps libre est rare.
Très intéressant. Par contre, dommage que Yannick passe pour un con régulièrement. (Que les acteurs de la pièce se foutent de lui, ok. Mais si nous spectateur, on considère que c'est un connard avec son humour complètement naze, ça casse le truc.)
Une idée très intéressante mais j'aurai aimé que ça aille plus loin dans la réflexion. Tous les thèmes sont pertinents : l'ontologie de l'art - performance ou divertissement, la notion de temps - travail opposé au temps libre, le rapport de classe là dedans - sommes-nous égaux face à ces enjeux. Plus largement, « Yannick » questionne au loin la liberté. Somme-nous libres lorsque nous assistons à une pièce de théâtre. N'est pas une prise en otage, avons-nous notre mot à dire, pouvons-nous intervenir ? La réponse du film est que non. En effet, le personnage de Yannick dans le film est dépeint comme un marginal, si ce n'est comme un danger.
Le film aurait pu aller plus loin, il y a des maladresses, mais la discussion qui en ressort est fertile.
Raphaël Quenard est formidable.
Le cinéaste change de ton et de registre. C'est comme un brûlot politique sous couvert d'une farce anodine...
Ressentir le plaisir, le besoin de théâtre.... au cinéma. Fort !
Très bien joué et heureusement court.
Après, c'est du Dupieux...
On a affaire ici au moins absurde de tous les Dupieux que j'ai pu voir et, franchement, ça rafraichit totalement chez ce cinéaste qui commence à s'auto caricaturer. Un avis peu partagé dans la sphère disons mais à raison de deux films par an sur un postulat absurde, Dupieux s'essouffle et retrouve ici une fraicheur bienvenue par un synopsis simple qui, finalement, ne lui ressemble pas beaucoup. Bien sûr, Raphaël Quenard y est pour beaucoup dans cette sensation de fraicheur, son personnage est attachant et le discours général, écrit certes avec la subtilité d'un Snyder en rut devant ses personnages, soulève un tas de questionnements intéressants, de la place du spectateur, de la fonction de l'Art, à qui ce dernier est supposé réservé, bref. Pour le coup, le film aurait duré un peu plus longtemps que ça m'aurait pas dérangé.
Un petit bijou.
Un film très étrange et spécial mais pas moins inintéressant !
J’ai l’impression de regarder une pièce de théâtre qui passe à la télé dans les années 2000 et rien que pour cette ambiance c’est génial ! On a un Raphaël Quesnard impérial dans son rôle qui arrive même à nous toucher sur la fin et un Pio Marmai également très bon ! Concernant le scénario, c’est un peu court pour nous emporter complètement, des longueurs sont très bien placés pour tout nous montrer mais des précisions sur des personnages ou d’autres actions n’auraient pas été de trop !
Une belle réflexion sur l’art et les artistes qui nous est proposé mais qui aurait pu aller plus loin !
J'ai bien cerné l'idée du film, qui se veut être original, mais cela ne l'a pas fait avec moi.
Le jeu d'acteur de Raphaël Quenard est selon moi le seul point positif du film, je suis complètement passée à côté. Rien de drôle selon moi, tentatives d'humour sur des sujets tous plus problématiques les uns que les autres qui m'ont donc plus mis mal à l'aise qu'autre chose. Facile de deviner même sans le savoir que le réalisateur est un homme...et c'est toujours dommage. Quelques réflexions intéressantes sur la portée de l'art, les classes sociales, mais qui sont abordées de manière bien plus fines et intéressantes dans de nombreuses autres œuvres. Échec complet pour moi mais ce n'est pas l'opinion majoritaire donc tentez peut-être votre chance.
Le jeu d'acteur de Raphaël Quenard est selon moi le seul point positif du film, je suis complètement passée à côté. Rien de drôle selon moi, tentatives d'humour sur des sujets tous plus problématiques les uns que les autres qui m'ont donc plus mis mal à l'aise qu'autre chose. Facile de deviner même sans le savoir que le réalisateur est un homme...et c'est toujours dommage. Quelques réflexions intéressantes sur la portée de l'art, les classes sociales, mais qui sont abordées de manière bien plus fines et intéressantes dans de nombreuses autres œuvres. Échec complet pour moi mais ce n'est pas l'opinion majoritaire donc tentez peut-être votre chance.