En 2003, Tommy Wiseau, artiste passionné mais totalement étranger au milieu du cinéma, entreprend de réaliser un film.
Sans savoir vraiment comment s'y prendre, il se lance… et signe THE ROOM, le plus grand nanar de tous les temps. Comme quoi, il n'y a pas qu'une seule méthode pour devenir une légende !
(Source : Allociné)
Adapté du livre The Disaster Artist de Greg Sestero et Tom Bissel
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
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Apparition
Apparition
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Apparition
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Merci à Tix qui a créé cette fiche
En direct du Festival International de Cinema de Mar del Plata (Argentine)
Quand, avant la projection, James Franco répond à la question du pourquoi avoir entrepris un tel film, ce dernier répond de la manière suivante : "Il aurait été fou de ne pas réaliser un tel film, tout comme il était fou de le faire !". James Franco s'est lancé dans l'entreprise de glorifier le plus gros navet de l'histoire d'Hollywood: The Rom réalisé par Tommy Wiseau.
Dans The Disaster Artist, Franco traite l'aventure que fût l'écriture, la production et la mise en scène de The Rom sorti en 2003. C'est James Franco lui-même qui se glisse dans le rôle de Tommy Wiseau, narcissique sans modération, qui réalise un film déjanté. Concrètement, que vaut cette mise en abîme d'acteurs jouant des acteurs dans leur propre film ? La ressemblance est troublante, Franco excelle dans sa performance d'acteur rate. Le personnage est folklorique, surprenant et vraiment drôle. Dans ce long-métrage, qui est déjà son douzième, Franco s'est fait plaisir en s'entourant d'une bande de copains et d'acteurs fantastiques jouant des rôles ridicules. Lors de l'avant-première, l'ambiance fut incroyable avec un rire contagieux. Appuye sur play, décapsule des bières, ouvre un paquet de chips et partage un moment entre amis autour de cette merdique réussite, qui vous fera certainement bien rigoler !
A lire sur mon blog:https://reglisseaupaysdesmerveilles.blogspot.com.ar/
J'ai adoré ce film en tout point.
Déjà, l'hommage rendu à The Room est grandiose. On sent qu'un travail méticuleux de mimétisme a porté ses fruits, tant tout ressemble à l'original. A commencer par James Franco, monstrueux dans son rôle de Tommy Wiseau. Il a tout compris du personnage et ça se sent. Il en va de même pour son frère Dave, exceptionnel lui aussi... comme le souligne mon VDD, on voit que c'est une bande de pote qui s'amuse ensemble et qui déborde de talent, et ça fait plaisir.
Et même techniquement, c'est plutôt réussi, notamment au niveau de la musique qui s'inspire des thèmes originaux sans jamais tomber dans le plagiat. J'ai bien aimé l'aspect documentaire, caméra à l'épaule, qui renforce l'immersion.
Mais c'est avant tout la nouvelle lecture qu'il nous offre sur The Room que The Disaster Artist brille. Le final, grandiose, changera tout nouveau visionnage de l'oeuvre original.
Un hommage brillant à une oeuvre à part, et surtout aux personnes qui croient en leurs rêves.
What a big real Hollywood movie Mark ! :O
Les frères Franco + Seth Rogen. J'étais obligé de le voir :D.
Étrange, extrêmement gênant lorsque les acteurs, particulièrement Wiseau, jouent les scènes du film qu’ils réalisent, mais je comprend pourquoi ce film a du succès. James Franco colle parfaitement à son personnage, Dave Franco est un peu plus en retrait de ce côté mais reste très bien également. The Disaster Artist m’a donné très envie de regarder The Room et d’en découvrir davantage sur Tommy Wiseau qui est un véritable ovni.
Excellent. J'ai perçu d'abord Tommy avec énervement, puis avec pitié et compassion, et à la fin il me rendait triste, un côté enfantin, naïf et brisé. C'est dingue qu'on ne sache toujours pas qui il est, d'où il vient et comment il a payé tout ça, même à la fin. (et on le voit en scène post-générique :p)
Je le connaissais par des mêmes, des reprises sur Internet, et je me suis demandé quoi voir en premier, The Room lui-même ou celui-ci. Mais imaginant bien que ça se terminerait par la clôture et sortie dudit film (et même si ça me spoilait), j'ai préféré voir celui OH HI MARK !