Adapté librement (comme l’indique d’emblée le titre et le changement de sexe du personnage principal) d'une pièce de Rainer Werner Fassbinder (que son auteur avait aussi porté au grand écran en 1972, Les Larmes amères de Petra von Kant). La version originale de l’œuvre était centrée sur une célèbre créatrice de mode, veuve de son premier mari et divorcée du deuxième, habitant avec une styliste et assistante qu'elle se plaît à humilier, et qui s'éprend d’une belle jeune femme d'origine plus modeste à qui elle propose de partager son appartement et de bénéficier de ses appuis pour se lancer dans le mannequinat... (Source : themoviedb)
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Non renseigné
Merci à Lady P. Crawley qui a créé cette fiche
Une catastrophe. J'ai vraiment pas compris comment on avait pu laisser faire ça. Ce film est ridicule. Y a rien, c'est lourd, c'est long, c'est poussif, c'est absurde, c'est théâtral dans le sens grossier, genre pas fin quoi. Toutes les phrases sont des phrases toutes faites, que les comédiens déblatèrent comme des grandes sentences philosophiques sur le monde.. Arrêtez donc de réciter des proverbes et allons gratter sous la surface. Ca n'arrive jamais. Que c'est nul. Tout le long on se demande si c'est une parodie ou si c'est premier degrés ? Mais ça manque de distance ironique pour développer un aspect comique. Y a vraiment rien qui va. Consternant.
Je mets 2 parce que c'est beau visuellement sinon ç'aurait été zéro. Les images auraient mérité d'être couverte de musiques au lieu des dialogues. Un peu à la manière de la bande-annonce qui était incroyable. Tout ce qu'il y a de beau dans le film est dedans, sur cette reprise de "In my room" de Nancy Sinatra. Donc conclusion, regardez la bande-annonce et restez en là.
François Ozon entre deux comédies UGC signé des films parfois intéressants comme ce Peter von Kant qu'il est amusant de décrypter au fil des séquences...