"Oddity" est un petit joyau d'épouvante, un cauchemar tissé de mystère qui vous transporte dans les brumes de la campagne irlandaise. Une femme assassinée, une sœur jumelle aveugle en quête de vérité, et une atmosphère aussi oppressante que les murs de l'asile abandonné qui hante les environs. Le réalisateur Damian Mc Carthy manie avec brio les codes de l'horreur folklorique : chaque élément, de l'étranger borgne à la maison isolée, en passant par la trappe dissimulée dans une demeure labyrinthique, contribue à créer une tension palpable.
Mais le véritable clou du spectacle, c'est ce "cadeau" macabre : un mannequin en bois, aussi terrifiant que la vérité qu'il renferme. L'horreur s'insinue lentement, comme une ombre grandissante, jusqu'à vous saisir à la gorge. Un crime énigmatique, une touche de paranormal, des objets hantés, et un suspense qui vous maintient en haleine jusqu'à la dernière seconde. Les acteurs sont impeccables, les images sublimes, et l'histoire, originale et dérangeante, vous laisse un goût amer dans la bouche, longtemps après le générique.
"Oddity" est un petit joyau d'épouvante, un cauchemar tissé de mystère qui vous transporte dans les brumes de la campagne irlandaise. Une femme assassinée, une sœur jumelle aveugle en quête de vérité, et une atmosphère aussi oppressante que les murs de l'asile abandonné qui hante les environs. Le réalisateur Damian Mc Carthy manie avec brio les codes de l'horreur folklorique : chaque élément, de l'étranger borgne à la maison isolée, en passant par la trappe dissimulée dans une demeure labyrinthique, contribue à créer une tension palpable.
Mais le véritable clou du spectacle, c'est ce "cadeau" macabre : un mannequin en bois, aussi terrifiant que la vérité qu'il renferme. L'horreur s'insinue lentement, comme une ombre grandissante, jusqu'à vous saisir à la gorge. Un crime énigmatique, une touche de paranormal, des objets hantés, et un suspense qui vous maintient en haleine jusqu'à la dernière seconde. Les acteurs sont impeccables, les images sublimes, et l'histoire, originale et dérangeante, vous laisse un goût amer dans la bouche, longtemps après le générique.