Elisabeth Sparkle, vedette d’une émission d’aérobic, est virée le jour de ses 50 ans par son patron à cause de son âge jugé trop élevé pour la suite de sa carrière. Le moral au plus bas, elle reçoit une proposition inattendue, celle d'un mystérieux laboratoire lui proposant une « substance » miraculeuse : si elle se l’injecte, elle deviendra « la meilleure version » d’elle-même, « plus jeune, plus belle, plus parfaite » grâce à une modification cellulaire de son ADN. (Source : Wikipédia)
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Merci à LN31 qui a créé cette fiche
The Substance n'est pas pour les âmes sensibles. Ce film choquant, dégoûtant et horrifiant est un coup de poing satirique visant directement la culture des célébrités, la misogynie et le culte de la jeunesse. La réalisatrice Coralie Fargeat crée une expérience viscérale qui vous laissera sous le choc, vous interrogera et vous donnera peut-être même la nausée.
Dès le premier plan brillant sur le Hollywood Walk of Fame, La Substance vous prend à la gorge et refuse de vous lâcher. Demi Moore livre une performance qui marquera sa carrière, et les aspects techniques du film sont impeccables. La conception sonore, en particulier, est magistrale, vous immergeant dans l'univers troublant du film. Chaque mastication, chaque gargouillis, chaque bruit est amplifié à un degré perturbant. Les 2h30 passent à toute vitesse, vous laissant en redemander alors même que vous souhaitez désespérément que cela se termine.
Ce film est un classique culte instantané, mêlant une bande originale fantastique à une satire sociale acérée qui semble à la fois actuelle et intemporelle. Il restera gravé dans votre mémoire longtemps après le générique de fin.
BORDEL c'est un chef d'œuvre, très dégueulasse, très dérangeant, mais la réal est juste génial. Dès les 10 premières minutes je savais que j'allais aimer. Le meilleur Body Horror pour moi
Un fond acceptable pour une forme creuse et sans interet. Choquer pour choquer, jme suis vraiment ennuyé, je pense que le genre n'est pas fait pour moi, j'en avais deja marre de voir des culs au bout de 10 min de film. Film qui d'ailleurs pourrait etre facilement 45min plus court
Un mélange de Tarantino et de Stephen King.
J'ai adoré!
La cinéaste sature tout, bourre son film d'effets tapageurs jusqu'à réduire ses personnages à des vignettes et à rendre son histoire grotesque, superficielle, comme vidée de toute substance. Pire, elle hésite entre le premier et le second degrés et par là rend son film illisible. Tout ça pour ça et tant pis pour nous !
J'ai bien aimé le film sur la forme. Ça m'a fait penser à du Darren Aronofsky par moments (Requiem for a dream, Black swan). Mais sur le fond, c'est assez pauvre : on a l'impression de regarder un épisode de "Masters of horror" ou du "Cabinet des curiosités" (on pense en particulier à l'épisode "La prison des apparences" de Ana Lily Amirpour) étiré sur 2h20. Et puis, le final grand-guignolesque peut passer pour un bel hommage à Brian Yuzna mais il n'a aucun sens. Décevant.
Film de fou !
Tous les plans de caméra sont bien dosés et rythmés. L'intrigue est spéciale, elle nous remet en question sur énormément d'aspects différents, la musique va complètement avec l'aspect dérangeant, surréaliste et intriguant du film, les actrices jouent très bien. Un film marquant qui a le mérite de ne pas être un énième remake ou une énième suite mais qui possède bien sa propre originalité.
Je vous laisse ce lien vers la bande sonore que je trouve vraiment top ^^https://www.youtube.com/watch?v=WqnXdy9sJ4U&list=PLs1HqEzGO8SfU0ekHrFIYnRQi_-gdbYHB&index=2
Il a été un poil survendu à sa sortie, mais quand même, c'est un bon film, et ce n'est pas tous les jours que l'on croise un représentant du genre fantastique.
Horrifique gentiment à la fin, pas dans le sens effrayant, mais dans le sens crado. Et puis bon... Elle aime les photos macros, Coralie Fargeat. :)
Pour le reste, l'ensemble est fun. Assez peu de dialogues, beaucoup de symboliques, des acteurs à fond et une très belle mise en scène.
La ligne directrice est jusqu’au-boutiste et assumée, c'est sans doute ce qui rend ce film aussi marquant. On ne va pas en avoir d'autres comme ça, avant un petit moment.
Deux semaines que je cherche mes mots pour ce film mais force est de constater qu'il me laisse... Sans voix ! Probablement la meilleure séance de ciné de l'année dans la vision du Cinéma décrite comme étant une expérience collective face à un long métrage tellement la salle était partagée entre le dégoût, le rire nerveux mais aussi le rire franc. C'est très rare qu'un film fasse autant réagir lors de mes séances et rien que pour ça, The Substance mérite d'être vu en salles.
Pour ce qui est du film, c'est une réussite, c'est fou, ça va jusqu'au bout du bout de son propos en assumant haut et fort, il pleut des références par dizaines sans que ça devienne lourdingue. Effectivement, ce film va marquer l'année et il faudra attendre un bon moment avant d'être à nouveau aussi confus lors d'une projection !
ça ne laisse pas indifférent
Le genre de film que tu sais pas comment noter... Une chose est sûre, ça te reste en tête pendant longtemps
Gore, violent, le film raconte tellement de choses sur la peur de vieillir dans le star système d'un point de vue féminin à Hollywood. La mise en abîme est sublime, les plans en macro et certaines séquences font penser à Requiem For A Dream (les piqures au même endroit, la quête de cette émission télé si importante) mais le principe de la Substance m'a fait penser à "L'autre Célia", une nouvelle que j'avais lue dans l'anthologie d'Hitchcock "Histoires épouvantables". Âmes sensibles s'abstenir....
Je ne sais pas si j'ai aimé ou pas. Je vois bien la performance et le but était bien de mettre mal à l'aise (c'est très réussi, pour le coup..) mais ça vire vraiment au nanard sur la fin, ils sont allés beaucoup trop loin dans le délire je pense.
"The Substance" interroge sur un sujet intéressant et se pose donc comme un film qui se doit d'être parfait sur le fond, c'est le minimum syndical. Concernant la forme, pour un art visuel disons que c'est obligatoire, et franchement, la mission est accomplie : on a droit à une succession de plans travaillés, qui seraient dignes d'un clip musical de mauvais goût, alliant simplicité, images tape à l’œil, et couleurs criardes.
Et que dire des maquillages et autres effets animatroniques ? Tout parait réel et tangible, et surtout absolument dégueulasse. Les effets pratiques sont bel et bien là, pour notre plus grand bonheur, quand aux CGI elles sont reléguées aux arrières plans. C'est donc une déferlante de fluides gélatineux immondes, et de bruitages sincèrement crado qui donnent le "La" et immergent dans une ambiance putride.
Et donc, le fond ? Oui ben... c'est le fond ! Critiquer le star-system et le culte de la jeunesse et du corps parfait en nous montrant des meufs à poil et des formes lascives ? Alors certes c'est fait le manière à lorgner vers la beaufitude mais le seul message qui ressort alors c'est "rincez vous l’œil". Et visiblement c'est la marque de fabrique de Coralie Fargeat.
The Substance est donc jubilatoirement crade et désespérément con.