Un tueur à gages et un policier vont tout faire pour arrêter un cercle de prostitution enfantine.
D'après le film belge La Mémoire du tueur (2003).
(Source : Allociné)
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Non renseigné
Merci à LN31 qui a créé cette fiche
Même à presque 70 ans, toujours un plaisir de voir Liam Nesson casser des gueules. Plutôt efficace même si le scénario n'est pas hyper passionnant et que la maladie d'Alzheimer de Liam ne sert à rien d'autre qu'à justifier le titre du film. Apporter cette vulnérabilité au personnage aurait pu être intéressante si c'était un poil exploité.
Monica Bellucci est insupportable par son jeu d'actrice proche du néant sur ce film.
j'ai tenu 40 minutes....
Une vraie purge...
Mouais, bof.
Le début est pas mauvais et on se demande où ça va nous mener. Réponse : pas très loin.
Dès que le film commence son second acte, l'histoire perd toute crédibilité. Les personnages virent au cliché, le méchant est inintéressant. Les péripéties s'enchainent sans véritable sens, les problèmes de mémoire d'Alex Lewis connaissent une évolution si rapide en 24h-48h qu'on se demande à quoi il carbure, et pourtant ils ne sont pas suffisamment exploités par l'intrigue.
En bonus : vous avez le trope du mec qui nettoie sa plaie béante avec de l'alcool avant de se cautériser en s'auto-enflammant.
Et le trope du méchant qui veut tuer un témoin gênant sur son lit d'hôpital.
Signe que rien ne va plus.