Un groupe de jeunes adolescents revenant de leur soirée de promotion de fin d'étude se retrouvent perdus en plein Texas suite à un accident de voiture dans les bois, dont le conducteur de la seconde voiture se fait tuer. Ils partent chercher de l'aide mais attirent bien vite la convoitise de la famille Sawyer, famille cannibale. Ainsi, cette nuit de bal va se transformer en véritable cauchemar.
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Merci à vaan38 qui a créé cette fiche
Première partie plutôt sympa, avec une tension qui s'installe et une ambiance assez oppressante qui rappelle un peu le premier. Mais la suite a vraiment du mal à être captivante, y'a de bons gros kamoulox scénaristiques et ce film enlève tout côté flippant à Leatherface, c'est dommage. Il n'est plus présenté que comme un gosse qui se fait victimiser par tout le monde, et le personnage perd vraiment de sa superbe...
Quatrième opus consacré à Leatherface, « Massacre à la tronçonneuse : La Nouvelle Génération » sort ironiquement tout juste 20 ans après le chef d’œuvre de Tobe Hooper avec une probable volonté de cibler un jeune public en quête de sensations fortes. L’intention était louable, et pourtant, ce long-métrage est tout simplement consternant ! Ici, l’une des familles les plus dérangeante des États-Unis est complétement tournée au ridicule et cela est très frustrant pour les amateurs du genre. Si les premières minutes du film sont relativement encourageantes, la suite se noie dans un marasme de nullité qui fait clairement honte au (beau) cinéma du début des années 90.
Sans surprise, ni Matthew McConaughey ni Renée Zellweger ne parviennent à exister dans ce navet qui tient plus de la parodie qu’autre chose. L’ultime déguisement (tout en femme) de Leatherface met un point d’honneur au rendu catastrophique du film. Ce qui est surprenant, en revanche, c’est de savoir que le réalisateur de ce volet (Kim Henkel) n’est autre que le scénariste du classique de Tobe Hooper. Il faut croire qu’à force de vouloir toujours plus, on finit par se perdre soi-même.