Daniel Calparsoro Alfred Pérez Fargas Aura Garrido, Belén Rueda, Àlex Brendemühl...
"LE SILENCE DE LA VILLE BLANCHE" est l'adaptation cinématographique du roman du même nom, première partie du phénomène littéraire de la trilogie de la ville blanche (Planète) écrit par l'auteure Eva García Sáenz de Urturi.
Vitoria, 2016.
Les corps d'un garçon et d'une fille de vingt ans apparaissent nus dans la crypte de la vieille cathédrale.
Unai López de Ayala, un inspecteur expert en profils criminels, doit traquer le meurtrier rituel qui terrorise la ville depuis deux décennies. La succession imparable de crimes et une enquête policière contaminée par les réseaux sociaux pousseront Unai à la limite, le confrontant à un assassin caméléon et impitoyable qui pourrait être plus proche qu'il ne le pensait.
(Source : deAplaneta)
Aura GarridoRôle principal
Belén RuedaRôle principal
Àlex BrendemühlRôle principal
Javier ReyRôle principal
Manolo SoloRôle secondaire
Ramón BareaRôle secondaire
Sergio DoradoRôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rubén OchandianoRôle tertiaire
Pedro CasablancRôle tertiaire
Itziar ItuñoPetit rôle
Joseba ApaolazaPetit rôle
Ramón AgirrePetit rôle
Itziar AtienzaPetit rôle
Joseba UsabiagaPetit rôle
Itziar AizpuruPetit rôle
Non renseigné
Merci à Lady P. Crawley qui a créé cette fiche
C'était pas mal mais tout n'est pas expliqué. Je n'ai rien compris à cette histoire de kraken... Et ce frère caché, c'est lui le meurtrier mais pourquoi il est censé être mort et c'est son colloc de fac finalement..?! Enfin bon pas très clair tout ça...
Ils ont voulu faire un film ultra compliqué (histoire familiale...) alors que c'est un simple meurtrier...
c'est bien mais sans plus.
Une bonne histoire, mais trop de choses inutiles (course poursuite quil n'ont pas de sens), un fin baclée. Film qui s'oublie vite et ne marquera pas les esprits
L'intrigue initiale est intéressante mais le dénouement n'explique rien et l'on connait bien trop tôt l'assassin, ce qui enlève beaucoup au suspense. Bref, ce film n'a au final pas grand intérêt.
Incompréhensible et fade, le film n'obéit à aucune logique interne et aligne les séquences sans même se soucier de la vraisemblance.