Aux abords du Kilimandjaro, le "Berceau de la Vie" abrite le plus mystérieux et le plus terrifiant des fléaux : la Boîte de Pandore, dont les germes pourraient en quelques heures anéantir l'Humanité. Au moment où Lara Croft, l'archéologue de charme, s'apprête à prendre possession de l'orbe contenant les coordonnées de ce trésor, un commando chinois fait irruption dans le temple sous-marin et s'en empare.
Sauvée de la mort par ses fidèles assistants Bryce et Hillary, l'aventurière regagne son manoir, où elle reçoit bientôt la visite de deux émissaires du MI 6. Elle apprend ainsi que le commanditaire des tueurs et de leur chef Chen Lo n'est autre que le Dr. Jonathan Reiss, un mégalomane cynique, soupçonné de fournir des armes biologiques high-tech aux plus offrants... (Source : Allociné)
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Merci à gon17 qui a créé cette fiche
Je préfère regarder quelqu'un jouer au jeux vidéo ;)
Le jeun video était meilleur oui!
2001 : le commerce du jeu vidéo est en plein essor. Parmi la ribambelle de titres aussi convenants qu’audacieux, Lara Croft, sorte d’oracle, dont l’univers riche et varié met sur les devants de la scène une aventurière au fort caractère. Surfant sur sa forte popularité, les studios hollywoodiens accordent leur confiance à Simon West (« Les ailes de l’enfer ») afin d’adapter à l’écran l’environnement et l’esprit du jeu de la meilleure des manières. Le résultat séduit, les critiques sont généreuses. C’est donc avec l’assurance d’avoir déjà dans sa poche une grande quantité de fans indémodables que voit le jour en 2003 « Lara Croft Tomb Raider le Berceau de la Vie », un nouvel opus centré sur la très fameuse boîte de Pandore aux abords du Kilimandjaro. Sitôt passé l’explication, le film prend rapidement un air à la Indiana Jones, alternant entre scènes d’action spectaculaires et énigmes casse-tête. S’il n’est pas d’une originalité grandissante, Jan De Bont (« Speed », « Twister ») donne à son long-métrage beaucoup de fraicheur et d’assurance, le tout orchestré par un Alan Silvestri en quête de renouveau. Intéressant sans être passionnant, ce Lara Croft vaut également pour ses seconds rôles attrayants à l’image de Djimon Hounsou et Simon Yam qui sont concernés par leur sujet. Et cela ne peut faire que plaisir à voir.
Le premier volet se fait souvent démonter, mais il faut au moins reconnaître qu'on ne s'ennuie pas devant... non ? Son histoire est plutôt efficace, les scènes d'action s'enchaînent, je trouve que c'est un divertissement honnête surtout si on le range dans la case des plaisirs coupables.
Dans le deuxième il n'y a vraiment pas grand chose d'intéressant. Tout est beaucoup plus fade, que ce soit l'histoire, les perso, l'action, même le montage et les effets spéciaux sont à la ramasse alors que c'était déjà pas glorieux dans le précédent. Mais la palme de la honte c'est que le climax est probablement la portion la plus inintéressante et soporifique du film. Bleuarg.
Mais quelle daube !
Franchement c’est une blague ? On frôle la parodie, et si on y est pas, alors on est en plein dans le domaine du ridicule.
La crédibilité de ce film est en dessous de zéro.
Et dire qu’ils ont cramé 95M$ pour pondre cette flaque !
Je ne pensais pas qu’on pouvait sortir une telle gitanerie au cinéma en toute sérénité. C’est sans gène.
Les combats sont risibles, les effets spéciaux en carton, sans parler des cascades … Ils ont osé doubler Lara avec un quinqua, le tout en zoom au ralenti. Bref, ayant poncé Tomb Raider II sur PC dans ma tendre enfance, le mythe s’effondre. Au moins on aura bien rigolé.