Emma, 27 ans, Française, part vivre à Berlin et décide de rentrer dans une maison close afin de découvrir et comprendre les prostituées, ces femmes qui sont payées pour être femmes et seulement ça, sujet de son nouveau roman. Tel du gonzo-journalisme, Emma devient l’une d’entre elles et son expérience qui ne devait durer initialement que quelques semaines va durer deux ans. L’écriture de son livre était-elle une excuse pour qu’Emma puisse vivre un fantasme difficilement avouable dans notre société ? (Source : themoviedb)
Adapté du livre La maison de Emma Becker
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Non renseigné
Merci à LN31 qui a créé cette fiche
Je trouve que le film passe complètement à côté de son sujet. Il oublie en particulier de parler des autres prostituées, pour préférer un enchaînement de scènes de sexe entrecoupé de pseudo réflexions. Peut-être le sujet n'était-il pas fait pour être vu au cinéma ? On ne peut même pas dire que Ana Girardot ait des choses spécialement intéressantes à jouer. Les très beaux mots d'Emma Becker n'apparaissent que trop peu. Quand le film se termine, on a l'impression de n'avoir vu qu'une bande-annonce... Dommage.
Je rejoins ton avis vdd, le sujet de base est pourtant intéressant, mais on a que très peu d'empathie pour les protagonistes car à aucun moment on ne connaît réellement les "filles", que ce soit leur parcours, leurs motivations ou leurs ressentis, on reste en surface tout du long, le roman est sans doute plus intéressant vu qu'il est moins soumis à la censure et doit comporter beaucoup plus de détails sur le réel quotidien de ces femmes.
Grand passionné du spectre sexuel dans son ensemble (2024 j'assume ouais, tu vas faire quoi ?), l'histoire d'un reportage au coeur des maisons closes, c'était forcément intéressant mais finalement, il ne se raconte rien d'intéressant, on enchaîne les clients et les baises avec tous les clichés que ça peut produire (le forceur, le timide..). L'intérêt du film est donc bien trop limité.