Rome dans la splendeur de l’été. Les touristes se pressent sur le Janicule : un Japonais s’effondre foudroyé par tant de beauté. Jep Gambardella – un bel homme au charme irrésistible malgré les premiers signes de la vieillesse – jouit des mondanités de la ville. Il est de toutes les soirées et de toutes les fêtes, son esprit fait merveille et sa compagnie recherchée. Journaliste à succès, séducteur impénitent, il a écrit dans sa jeunesse un roman qui lui a valu un prix littéraire et une réputation d’écrivain frustré : il cache son désarroi derrière une attitude cynique et désabusée qui l’amène à poser sur le monde un regard d’une amère lucidité. Sur la terrasse de son appartement romain qui domine le Colisée, il donne des fêtes où se met à nu "l’appareil humain" – c’est le titre de son roman – et se joue la comédie du néant. Revenu de tout, Jep rêve parfois de se remettre à écrire, traversé par les souvenirs d’un amour de jeunesse auquel il se raccroche, mais y parviendra-t-il ? Surmontera-t-il son profond dégoût de lui-même et des autres dans une ville dont l’aveuglante beauté a quelque chose de paralysant… (Source : Allociné)
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Apparition
Non renseigné
Merci à flofoo qui a créé cette fiche
une petite perle....
Le début est spectaculaire le reste est vraiment passionnant, avec une belle photographie et une vision incroyablement lourde de Rome. Le film s'ouvre avec un coup de canon et se ferme avec une croisière sur la rivière, et tout le reste est juste merveilleusement immersif la vie, la mort, l'amour, la nostalgie, et la bande son est tout simplement fantastique. Vraiment mérité cette Oscar du meilleur film étranger.
La Grande Bellezza est un pur bonheur.
Ce film est un grand bordel, mais que c'est plaisant ! On se prend un torrent d'images, de son, de narration antichronologique pour servir une ambiance et des émotions bien réelles.
J'ai été pas mal touché par les thématiques abordées et toute l'idée que dégage le personnage de Jep, que le l'age n'est qu'un nombre et qu'il est tout à fait possible de (re)commencer sa vie à 65 ans. Ajoutez à ça des questions sur la mort, la religion et notre rapport à cette dernière, la nostalgie...
Les dialogues sont savoureux, la BO top, la mise en scène plein d'idées merveilleuses... Mais je ne comprends pas comment ce scénario peut se tenir tant tout me semble chaotique, ce qui se fait un poil ressentir et peut perdre le spectateur je pense.