En coupant à travers champs pour aller porter le déjeuner à son père, Patricia rencontre Jacques. Elle a dix-huit ans, il en a vingt-six. Elle est jolie, avec des manières fines de demoiselle ; il est pilote de chasse et beau garçon. Un peu de clair de lune fera le reste à leur seconde rencontre. Il n'y aura pas de troisième rendez-vous : Jacques est envoyé au front. Patricia attendra un enfant de cette rencontre. Les riches parents du garçon crieront au chantage, Patricia et son père, le puisatier, auront seuls la joie d'accueillir l'enfant. Une joie que les Mazel leur envieront bientôt et chercheront à partager, car Jacques est porté disparu...
Adapté du livre La fille du puisatier de Marcel Pagnol
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Petit rôle
Petit rôle
Merci à Achranide qui a créé cette fiche
Un vrai coup de coeur. J'ai adoré!
Cette adaptation est tout simplement horrible. Les accents faux, les acteurs soporifiques (Astrid Berges m'a donné l'impression de lire un prompteur), bref grosse déception. Et puis pourquoi réadapter une oeuvre dont le premier film tient du chef d'oeuvre !?
Je ne connaissais pas l'œuvre et j'ai beaucoup aimé cette histoire, il faudra un jour que je me décide à lire du Pagnol mais les souvenirs de textes étudiés en classe ne me donnent pas envie. En tout cas, je n'ai pas encore été déçue par les adaptations qu'en fait Daniel Auteuil. Les acteurs ne sont pas mauvais sans être très bons (à part Auteuil et Merad, évidemment) et ça se laisse regarder, personnellement j'ai vraiment bien aimé.
C'est long et fade. De plus, les prises de vues se ressemblent toutes, c'est sans cesse le même zoom en avant, ce qui rend l'ensemble un peu grossier, terne. Astrid Bergès est aussi transparente qu'une anguille (j'exagère mais elle ne m'inspire rien). Son interprétation est translucide. Le seul acteur a vraiment sortir du lot c'est Daniel Autueill, qui joue son rôle juste comme il faut, ni trop peu, ni trop... Maintenant, j'avoue que la fin m'a eue. C'est mon côté fleur bleu qui a pris le dessus. Et je me suis prise au jeu...