Un ouvrier au chômage découvre un groupe discret qui fabrique des lunettes noires. Intrigué, il en essaie une paire et découvre un monde effrayant : de nombreux humains sont en réalité des extraterrestres aux visages hideux et écorchés ; les panneaux publicitaires ordonnent la soumission dans des termes dignes de Big Brother. Avec un autre ouvrier, il affronte les envahisseurs. Mais quel jeu joue Holly, la séduisante responsable des programmes du canal 54 ?
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Merci à baba qui a créé cette fiche
Un film de Carpenter avec un Ancien Catcheur.
Film qui nous montre "la réalité".
Très bon film de Carpenter :)
Marrant, mais il fait quand même très : "on a un catcheur, faut qu'on le fasse défoncer des gens et tirer partout"
Mais il a une bonne ambiance, dommage qu'il laisse énormément de questions sans réponses pour que l'on puisse former un tout cohérent dans notre tête (quid du reste de la planète ? vers la fin on a une information, mais pourquoi les résistants pensent avoir une chance ?)
J'ai trouvé la scène du combat entre les deux potes teeeellement longue, aussi, en mode testostérone ; j'aurais bien aimé voir la nouvelle dont le film est adapté.
Mon préféré de Carpenter (oui, même avant The Ting), pour sa critique. Le fait que le film démarre comme un Raisins de la colère dans les faubourgs est à prendre comme tel pour être intéressant, de même que l'interminable bataille à mains nues (vraiment interminable).
Un très bonne lecture de la société, mais un peu long par moment.
Un peu déçue par ce classique. Le fond est génial, les designs de la "réalité" et des "autres" super chouette... malheureusement je trouve le rythme pas du tout maîtrisé, il y a beaucoup trop de longueurs et le film s'arrête à un moment qui promettait d'être fun. Dommage !
Autre point négatif: la musique abominablement chiante.
"I'm here to chew bubble-gum and kick ass... And I'm all out of gum"
Ce 13é film de John Carpenter, aux airs de nanar, s'offre une critique de la société capitaliste et du consumérisme. Il n'y va pas par quatre chemins pour nous assener son message, mais oublie hélas de creuser le fond de l'histoire et laisse en suspens bien trop d'interrogations.
Le jeu d'acteurs est abominable, un peu comme dans "Dark Star", et cela fait partie du contrat. On lorgne donc du côté de la comédie d'action voire du buddy-movie, toujours réalisé avec les moyens du bord. A ce titre, les maquillages dégueulasses façon années 50 (d'ailleurs les plans avec les extra-terrestres sont en noir et blanc pour bien souligner cette volonté) sont là pour prouver s'il en était besoin, que Carpenter trouve toujours des astuces pour arriver à son objectif avec trois fois rien.
Le mal est encore une fois déshumanisé, et sans visage, puisque la peau est inexistante sur les faciès des extra-terrestres, qui ont tous la même tête.
Un spectacle assez dingue, un film plein d'ambition, à voir avec une dose de second degrés. Et à montrer à tous les complotistes.
Côté casting on retrouve Keith David de "The Thing" et plus discrètement, Robert Grasmere, vu dans "Prince of Darkness".
Des dialogues toujours d'actu 34 ans aprés ^^
De la merde en barre de 1000...