Delia se réveille chaque matin avec une gifle de son mari Ivano. Elle se lève, prépare le petit-déjeuner de leurs trois fils, vide l'urinoir de son beau-père alité, puis quitte la maison pour affronter, sans relâche, son quotidien, fait de divers travaux sous-payés (réparer le linge, régler les parapluies, suspendre les draps), utile pour rassembler un peu d’argent qui n’est jamais suffisant. Toute la journée, elle continue de recevoir des gifles de toutes parts. Car Delia n'est pas seulement pauvre, elle est aussi une femme. (Source : themoviedb)
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Non renseigné
Merci à MoonFace qui a créé cette fiche
Un avatar factice du néoréalisme tellement fabriqué et opportuniste qu'on en vient à douter de sa sincérité...
Un film italien d'une grande force !
Paola Cortellesi nous montre içi l'histoire d'une femme, victime de violences conjugales, avec une grande poésie ! La réalisation est fantastique avec des scènes magnifiques (la danse lors d'une dispute) en noir et blanc ! Les touches d'humour tout au long du film nous permettent de respirer dans une ambiance où chaque faux pas de Delia, nous fait frissonner car nous savons ce qui va se passer par la suite ! C'est aussi un message plein d'espoir qui nous est offert et un message politique fort pour la société italienne qui voit encore mourir beaucoup trop de femmes sous les coups de leurs compagnons !
J'étais à fond. ^^ Rarement autant ri devant un film qui traite des violences conjugales.
La photographie en noir et blanc est magnifique, beaucoup apprécié les acteurs, et la conception de l'intrigue m'a paru bien fichue, assez pour ne pas en décrocher. Carton plein pour moi.
Confus, brouillon. Quelques bonnes idées de mise en scène mais cela reste creux. Dommage
Un film oh combien important !