Depuis quelques temps, Heather Langekamp reçoit de terrifiants coups de fils anonymes. Son fils Dylan se comporte bizarrement et ne cesse de parler d'un homme qui vient le chercher quand il dort. Pour Heather, Freddy est bel et bien vivant !
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Bon, que dire sur ce septième Freddy... déjà, le retour de Wes Craven derrière la caméra se ressent de façon flagrante et fait plaisir. Il y a aussi un retour de Wes Craven au scénario, et là, je suis plutôt mitigé.
Le concept du film (qui joue à fond la carte de la mise en abyme) est bien sympathique, la frontière entre la réalité et la fiction qui disparaît peu à peu est aussi une bonne idée... par contre l'explication fumeuse sur "pourquoi Freddy est en fait réel" prête vraiment à rire. De plus ce cher Freddy est devenu très fade, autant dans son look que dans son attitude. Le ton du film est d'ailleurs sérieux, trop sérieux. Revenir aux bases est une bonne chose mais enlever tout trait d'humour en gardant tout de même des scènes farfelues, c'est un mélange qui marche mal. Le dernier quart d'heure parait donc plus ridicule qu'autre chose et ce pauvre Krueger ferait presque pitié : là où il avait le contrôle total dans les opus précédents, il n'est plus ici que l'ombre de lui-même et se laisse avoir comme un bleu.
Une bonne idée de base mal exploitée, mais ce concept de mise en abyme (ainsi que cette angoisse des coups de téléphone au début du film) sera réutilisée dans la Saga Scream avec beaucoup plus de succès. Disons qu'ici Wes Craven était en mode "bac à sable".
Très, très bonne première heure ! Mais le reste virerait presque au nanar, c'est vraiment dommage après une aussi bonne première partie !