Pour retrouver un auteur de best-sellers d'épouvante brusquement disparu, John Trent, détective, va pénétrer dans l'univers romanesque et épouvantable de l'écrivain. (Source : Allociné)
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Apparition
Apparition
Apparition
Merci à Achranide qui a créé cette fiche
Une plongée fascinante dans la folie (ou pas) de Sam Neill qui est juste bluffant dans ce film. Carpenter nous livre un film intelligent et hypnotisant même si on nage de temps en temps dans le flou. Fascinant !
Très bien, mais je n'ai pas réussi à bien me laisser happer par le film. Seuls trois points m'ont marqué : le tableau, le bus bleu, la poursuite de fin.
Quelle ambiance !
J'ai vraiment adoré cette perte de repères progressive qui s'opère, avec toute idée de cohérence de ce monde qui s'estompe peu à peu.
Si la fin est peut-être un peu en dessous, tout le côté étrange et dérangeant est parfaitement représenté à l'écran pendant tout le reste du temps.
Un énorme coup de coeur, et un excellent film fantastique.
Un plaisir de voir Sam Neill sombrer dans la folie comme Carpenter sait faire couler ses personnages !
L'inquiétante étrangeté est bien mise en scène, on a droit à une progression dans l'horreur, dans la folie. Carpenter distille ses effets et cela fonctionne impeccablement. Plusieurs visionnages paraissent essentiels pour saisir l'ensemble même si je ne suis pas sur qu'à part admirer la folie, il n'y ait pas grand chose à comprendre !
Dans "In the Mouth of Madness", Carpenter nous emmène en terrain connu. Après "The Fog" et dans une moindre mesure "The Thing", nous revoici dans un film à l'ambiance Lovecraftienne.
L'auteur aimait à décrire la folie, et beaucoup de ses récit décrivent des personnages qui perdent la raison après avoir été témoins d'un mal indicible que ne sera presque jamais totalement visible. Ici, on retrouve donc la folie ainsi qu'un mal qu'on ne fera qu’entr’apercevoir. A noter aussi, la musique d'intro fortement inspirée par Metallica, groupe ayant composé entre autres "The Call of Ktulu" et "The Thing That Should Not Be" clairement inspirées par Lovecraft, et que Carpenter a lui-même annoncé qu'il aurait voulu utiliser une musique de Metallica mais qu'a cause du budget serré il n'avait pas pu acheter les droits.
Le film prend des airs de production à petit budget, on est clairement dans une toute autre dynamique qu'avant 1986 et l'age d'or du cinéaste qui enchaînait les succès au box-office.
Il dépeint toutefois avec brio une plongée dans la folie, et propose une ambiance oppressante et crédible.
Côté acteurs ayant déjà travaillé avec Carpenter, on retrouve David Warner, qui tenait un petit rôle dans la 3é partie de "Body Bags". Et puis à noter, l'apparition d'un jeune Hayden Christensen, 8 ans avant "Attack of the Clones".
Du très très bon, la plongée dans la folie est vraiment passionnante, j'ai pas décroché une minute !
Ca a quand même un poil mal vieilli, notamment dans ses effets spéciaux. J'ai eu du mal à rentrer dedans, mais sans doute car je viens juste de finir Alan Wake 2, qui s'inspire vraiment beaucoup de ce film. Un peu l'impression de revoir la même hsitoire ahha.
Je comprends pas pourquoi je n'ai pas vu ce film plus tôt, étant fan de Alan Wake !