Rome, 1943, en pleine Seconde Guerre mondiale.
La Ville éternelle accueille le cirque où travaillent Matilde, Cencio, Fulvio et Mario, qui sont comme frères et sœurs.
Israel, le propriétaire du cirque et leur père putatif, tente d'organiser leur fuite à tous, à travers l'océan, mais il disparaît, et les quatre personnages sont soudain complètement perdus. Sans personne pour les assister, et surtout sans le cirque, ils n'ont plus leur place dans la société et se sentent comme des phénomènes de foire dans une ville en guerre.
(Source : Allociné)
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Apparition
Apparition
Non renseigné
Merci à LN31 qui a créé cette fiche
Mainetti avait prouvé son talent avec Lo chiamavano Jeeg Robot qui n'avait pas à pâlir avec son budget de 1,2 millions. Là on a une prod beaucoup plus importante pour un film d'aventure de freaks, une sorte de X-men européen pas édulcoré, qui n'hésite pas à montrer la violence de la guerre ce qui permet un film avec des enjeux, un bon mélange entre le drame et la comédie avec des personnages marqués plutôt bien écrit. Un très beau travail sur les décors, les effets visuels, je trouve peut-être la fin un peu longue. Le film brille essentiellement dans la première moitié.
J'ai beaucoup aimé l'atmosphère du film, à l'image de cette scène d'introduction qui passe de la niaiserie la plus totale à la violence de la guerre sans épargner le spectateur.
Malheureusement, la narration ultra pataude vient ralentir un film qui s'en retrouve extrêmement long... pour rien.
Un film de super-héros qui fait du bien. Avec ses 12 petits millions d'€uros de budget, Freaks Out met à l'amende toute les productions Marvel, sur absolument tous les plans, et ça fait vachement plaisir.
Déjà, c'est bien réalisé, quoi qu'un peu long avant la bataille finale. On a une vraie vision artistique, qui rappelle un peu ce que Guillermo Del Toro faisait sur Hellboy, mais on reste loin du pompage insipide heureusement.
Les personnages, qu'ils soient bons ou mauvais, ont tous une vraie personnalité, on s'intéresse à eux, et ils arrivent à s'extirper des vulgaires clichés pour se donner du relief.
Pas d'humour à deux balles pour désamorcer les séquences de tension, une violence assez crue, d'excellents moments de pur héroïsme, des effets spéciaux simples mais vraiment beaux...
J'applaudis.
Le MCU peut aller se cacher.
Intéressant, mais raté à mon sens. L'histoire anecdotique de quatre glandus mutants se mélange avec la grande histoire tragique de la déportation et de la seconde guerre mondiale. Pourquoi pas, mais dans ce cas-là, il aurait mieux valu en faire une histoire sérieuse, plutôt que du gros burlesque avec un nazillon qui veut les capturer pour détruire le monde et qui hésite à les tuer, puis si, puis non, puis si, puis non...
Au final, on ne sait plus trop si le film est destiné aux enfants (avec un scénar un peu poussif) ou aux adultes (humour bien graveleux).
Mais bon, ça fait plaisir de voir un film de super héros indépendant des Marvel/DC. Et puis, la séquence d'introduction est vraiment magnifique.